Le t est souvent doublé dans les mots commençant par at- : attendre, atterrir, ... Exceptions : atavisme, atèle, atelier, atermoyer, athée, athlète, atlantique, atlas, atmosphère, atome, atone, atours, atout, atrabilaire, âtre, atroce, atrophie et leurs dérivés.
« J'appelle » ou « j'appele » ? Pour ne plus se tromper et savoir s'il faut doubler la consonne, s'il faut un ou deux « l », un ou deux « t », il faut prononcer le mot. Par exemple j'appelle prend deux « L » car lorsqu'on le prononce, le dernier « e » est muet.
Le s de mésange et le s de oiseau se prononcent [z] parce qu'ils sont entre deux voyelles. On est obligé de mettre deux s à passereaux pour obtenir le son [s] parce que le s est entre deux voyelles. En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z].
On double la consonne avec les mots ayant le préfixe « re » devant un mot commençant par un « s ». La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc. L'usage tend cependant à imposer un seul « s ».
NOTEZ: Il y a toujours 2 P à appeler, un P pour celui qui appelle et un autre P pour celui qui reçoit l'appel. Notez également que la première règle (avec double consonne) s'applique aussi pour le verbe jeter.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
- On double la consonne après une voyelle accentuée : émission. Le doublement du « c » : - Dans les mots commençant par « ac- », le « c » est généralement doublé : accabler, accalmie, accaparer, etc., sauf acabit, acacia, académie, acajou, acanthe, acariâtre, acolyte, acompte, acoustique, acuité, etc.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
III Consonnes doubles : les adverbes en -ment
évident → évidemment.
Devant une consonne double, la lettre e se prononce « è » et ne prend jamais d'accent. Exemples : la chouette, le dessin, la terre, l'antenne, la libellule. Le son [ k ] s'écrit le plus souvent avec la lettre c devant les lettres : r, a, o, u, l.
Des mots aussi courants que parasol ou télésiège, par exemple. En fait, ce sont surtout des mots commençant par S auxquels on a ajouté un préfixe : antisismique, antisémite, ou antisocial ne prennent qu'un S après "anti", il est bien entre deux voyelles, et pourtant on ne le prononce pas "z".
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
ż est aussi un [j], mais plus dur. ś est un [ch] mouillé, tandis que sz est plus proche du [ch] français. u se prononce toujours [ou], sensiblement comme ó qui est toutefois plus dur. w est toujours prononcé [v].
Bonjour. La règle: Les mots les plus courants commençant par ap prennent 2 p sauf apaiser, apercevoir, apéritif, apesanteur, apeurer, apiculture, apitoyer, aplanir, aplatir, aplomb, apostrophe, après, ... Je viens de consulter mon dictionnaire,j'ai trouvé plusieurs mots qui prennent un seul p.
Pour savoir si la consonne est simple ou double, le truc, c'est de revenir à la prononciation. Si le e est un e muet (c'est-à-dire prononcé [ə], comme dans je ou demi, ou bien élidé comme dans p'tit), alors il n'y a qu'une consonne.
Définition Consonne
Lettre qui n'a point de son par elle-même et ne se prononce qu'en s'appuyant sur une voyelle. Les consonnes et les voyelles. Il y a dix-neuf consonnes en français : b, c, d, f, g, h, j, k, l, m, n, p, q, r, s, t, v, x, z.
On écrit ff
Le double f, pour sa part, se rencontre souvent à la limite entre un préfixe et un radical, même lorsque la fabrication du mot remonte au latin : diffusion, suffire, effeuiller, affolement, offensif, et cetera.
DIPHTONGUE, subst. fém. LING. Voyelle qui, au cours de sa tenue (ou émission), subit une variation de timbre et qui, de ce fait, peut être considérée comme la fusion en une seule syllabe de deux éléments vocaliques perçus comme différents, successifs, et dont l'un est plus fermé que l'autre.
prennent toujours deux m, sauf lorsqu'ils sont suivis du son [é]. Les mots qui commencent par hom, ou qui contiennent la syllabe hom prennent un m, sauf : homme, hommage, bonhomme. Les mots commençant par somm prennent deux m, sauf somatique, somatotrope, somation (homonyme de sommation). mm/ e de neige.
Le son « ch » est prononcé « ch » dans la plupart des mots français tels que : Charade- écharpe- avalanche- chaloupe- chien… Il est parfois prononcé « k » dans des mots dont la plupart sont d'origine grecque tels que : chorégraphie- chromer- chronologie– chorée- archétype – archange- manichéen- orchidée- orchestre…
La diérèse provoque inéluctablement un hiatus, puisque le lecteur va prononcer deux voyelles l'une après l'autre. D'habitude, notre langue évite les hiatus, jugés désagréables. Mais le poète peut créer volontairement un hiatus afin d'exprimer le déplaisir, l'absence d'harmonie.
Il y a trois accents en français : l'accent aigu qui porte uniquement sur le e (é) ; l'accent grave qui porte sur le e, le a et le u (à, è, ù) ; l'accent circonflexe qui porte sur toutes les voyelles, sauf le y (â, ê, î, ô, û).
Le doublement de la consonne finale et l'ajout d'un -e
Pour former leur féminin, on doit doubler la consonne finale de certains adjectifs se terminant par -as, -is, -os, -en, -on, -et, -ot,-el, -il, -eil, -ul. On doit aussi leur ajouter un -e.
20 consonnes écrites : B, C, D, F, G, H, J, K, L, M, N, P, Q, R, S, T, V, W, X, Z ; 18 consonnes phonétiques, ou contoïdes : b, d, g, v, z, ʒ, p, t, k, f, s, ʃ, m, n, ɲ, ŋ, ʁ, l ; 3 semi-consonnes phonétiques : j, ɥ, w.