Où le trouver ? Le phasme n'est normalement pas attiré par les jardins, mais peu parfois s'y retrouver via le transport de plantes ou la proximité de son habitat. Il favorise les milieux ombragés : lisières et bordures de route ou forêts, sur des plants épineux tels que les rosiers, ronciers, aubépines…
Les Bacillus, assez rares, se repèrent sur les rosiers, les myrtes, les pruniers et les bruyères arborescentes. Le phasme gaulois se cachera dans les ronces, les rosiers mais également les genêts, les aubépines et les prunelliers.
En ce moment, il est beaucoup difficile d'en trouver qu'au mois de juin car leur nombre à énormément chuté avec l'été. Sinon il faudra attendre le mois d'avril et à l'aide d'un parapluie japonais, le jour, battre les herbes hautes sous les rosiers, les jeunes éclos sont beaucoup plus nombreux...
Comment et où peut-on se procurer des phasmes? Bonjour. Vous pouvez vous procurer plusieurs espèces de phasmes, ainsi que d'autres insectes à élever, auprès de l'OPIE (Office pour les insectes et leur environnement).
Attention : ne pas relâcher les phasmes du Vietnam ou moroses dans la nature car ce ne sont pas des espèces endémiques.
En ce qui concerne ceux que l'on sur- nomme «<phasme-bâton», la femelle est généralement plus grande que le mâle et son abdomen est plus large, surtout au stade adulte. Durée de vie : - incubation de l'oeuf : environ 2 mois; - jeune : environ 4 - 5 mois; - adulte : environ 5 mois.
deux phasmes ont donc mué! Constat:les phasmes ont seulement goûté la feuille de salade. Le reste des aliments est intact. Pour le WE, nous avons mis une feuille de trois plantes de la classe( tamaya, spathiphyllum et cypérus) mais aussi deux feuilles séchées.
Ils s'hydratent avec l'eau qui est dans les feuilles. Les phasmes peuvent ne pas manger pendant quelques jours. Après leur mue, ils peuvent la manger. Quand ils ont très faim, ils peuvent aussi se manger entre eux.
Et s'il doit fuir, il est capable d'abandonner à son prédateur jusqu'à trois pattes, elles repousseront ! Le phasme est un insecte parfaitement inoffensif, que l'on peut prendre dans le creux de la main. Pas de souci, il se promènera sur votre bras sans aucun danger pour vous.
Assurez-vous d'arroser leur vivarium si vous y mettez les feuilles pour éviter qu'elles se déshydratent. Vous n'avez pas à mettre à l'intérieur de l'habitat un bol d'eau s'il y a des bébés phasmes moroses à l'intérieur sinon, ils vont se noyer. La majorité de ces insectes mangent des feuilles de houx ou de ronce.
Les prédateurs du phasme sont : la mante religieuse, la chouette, les petits singes, les opossums et certains lézards.
Le Phasme Bâton a une activité essentiellement nocturne, pendant laquelle il se nourrit de feuilles de ronce, lierre, … Le jour, il dort en imitant parfaitement une brindille, accroché par les griffes des pattes avant. Il ne bouge pas. Si on l'ennuie, il se laisse tomber comme une brindille de bois mort.
C'est une espèce très polyphage, elle va consommer du lierre, des ronces, rosiers, aubépines, millepertuis, noisetiers et chênes … Pour les nourrir, donnez leur des branches avec feuilles que vous aurez préalablement placées dans un petit pot en verre avec de l'eau pour éviter qu'elles ne se dessèchent trop rapidement.
Le phasme ne fait pas de bruits, pas d'odeurs, ne pique pas, ne mord pas… c'est un insecte très sympathique et calme !!! Il mange : - du lierre - des ronces - des rosiers… Il est donc herbivore.
Le phasme bâton est un insecte dont le corps ressemble à un petit morceau de bois très allongé. Comme tous les insectes, il a six pattes. Il a aussi deux mandibules et deux antennes. Il vit un an, pond des œufs et se nourrit de ronces ou de lierre.
Le phasme scorpion ou phasme à tiare
Le phasme à tiare (Extatosoma tiaratum) est originaire d'Australie et Nouvelle Guinée.
Où le trouver ? Le phasme n'est normalement pas attiré par les jardins, mais peu parfois s'y retrouver via le transport de plantes ou la proximité de son habitat. Il favorise les milieux ombragés : lisières et bordures de route ou forêts, sur des plants épineux tels que les rosiers, ronciers, aubépines…
Une fois adulte, ils le font moins voire plus du tout. Le jour, les phasmes restent statiques, c'est la nuit qui se déplacent pour manger. On dit que les phasmes sont nocturne. Ne savant pas sauter, ils sont obligés de grimper.
De nombreux phasmes feuilles, quel que soit leur stade, meurent à cause du manque de nourriture. Il faut donc positionner correctement les branches qui serviront à les nourrir. Une branche un peu trop éloignée des phasmes feuilles est un obstacle pour une alimentation régulière, et ils pourraient en mourir.
Pour faire éclore ses œufs de phasmes :
Il faut les déposer dans une boîte confinée avec des petites aérations. Au fond, il faut mettre 1 à 2 cm de substrat (plus, si l'espèce enterre ses œufs). Le substrat le plus couramment utilisé est de la vermiculite, vendue en animalerie.
Il n'y a pas à se tromper : les femelles sont bien plus grosses, plus longues et ont deux petites pointes sur la tête. Le mâle est tout fin et plus petit. La femelle mesure 16 cm, le mâle, 14 cm. Ce phasme brun ressemble à s'y méprendre à un petit bout de bois sec.
Un petit truc pour savoir si les oeufs d' Extatosoma Tiaratum ( entre autres ) sont viables : en les plaçant dans un petit récipient d'eau , ceux qui flottent sont mauvais ceux qui coulent sont ok !
Cela nous a permis de découvrir que les phasmes scorpions sont des insectes, des invertébrés : ils n'ont pas de squelette. Ils grandissent et se transforment en muant, ils changent de peau et mangent leur mue. Pour les nourrir, nous leur apportons des ronces, des orties et d'autres plantes.
Voici une liste non exhaustive de plantes qu'ils peuvent consommer : ronces, eucalyptus, noisetier, chêne, framboisier, Photinia, fougère, Pyracanthe, lierre, pommier, hêtre, châtaignier, aubépine, millepertuis, troène. Les ronces sont en général acceptées par bon nombre de phasmes.
De nombreuses espèces de phasmes étant inoffensives et d'élevage facile, on les retrouve fréquemment en milieu scolaire. Les phasmes y sont essentiellement élevés afin d'observer leur mimétisme, stratégie adaptative permettant de prendre conscience du processus d'évolution des espèces.