Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire. Le néocortex représente le centre des fonctions cognitives supérieures et concerne ainsi par exemple la stratégie, les raisonnements spatiaux et long terme, la perception, la pensée consciente ou encore le langage.
Elles sont situées tout près de l'hippocampe, dans la partie frontale du lobe temporal. L'amygdale est essentielle à notre capacité de ressentir et de percevoir chez les autres certaines émotions. C'est le cas de la peur et de toutes les modifications corporelles qu'elle entraîne.
Le cortex cérébral permet de parler, imaginer, planifier, créer. C'est la partie qui a le plus évoluée depuis son apparition. Enfin le cerveau limbique est aussi appelé le cerveau émotionnel. Il nous permet de mémoriser les ressentis, d'éprouver les émotions, il englobe l'hypothalamus, l'amygdale et l'hippocampe.
L'état du cerveau chez des personnes exposées à un épisode émotionnel est donc modifié, ce qui change la qualité ou l'intensité de sa réponse à d'autres stimuli ou événements qui surviendraient par la suite. en étant soumis à des images ou des situations censées provoquer les émotions voulues.
Cette émotion peut être déclenchée par un événement « extérieur » (rencontre, dispute, bonne ou mauvaise nouvelle…) ou par une pensée, une image, un souvenir… La nature ne laissant rien au hasard, si les émotions existent, c'est qu'elles ont une utilité !
Le cerveau est constitué de trois grandes parties : le néocortex, le système limbique, et le système reptilien. Ce dernier représente le cerveau primaire, responsable des instincts (survie, fuite…). Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.
Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur.
L'amygdale reçoit constamment des informations sensorielles qu'elle évalue. Fonctionnant comme un système d'alerte, le complexe amygdalien du cerveau décode les stimuli afin de pouvoir orienter et dicter des réactions comportementales.
Toute émotion est liée à un événement déclencheur. Lequel, selon les individus et le contexte, va provoquer des réactions émotionnelles spécifiques. Tout dépend de l'évaluation de la pertinence du stimulus et de sa valeur : positive ou négative, agréable ou désagréable.
Des chercheurs ont montré que plus notre cerveau répond fortement à nos battements de cœur, plus nos pensées se rapportent à nous-mêmes. Un résultat qui soutient la théorie selon laquelle le sentiment de soi résulte du suivi par le cerveau de l'état interne du corps.
Le système limbique est un ensemble de noyaux de neurones connectés à la fois au cerveau reptilien et à l'écorce cérébrale, le cortex. Ces neurones réagissent à la colère, tout en ayant un effet notable sur le comportement.
Par rapport à la stimulation simulée, la stimulation DLPFC a réduit de façon significative la réactivité de l'amygdale, une zone prépare le cerveau à anticiper la sensation de peur ou de menace, et a simultanément augmenté l'activité dans les régions corticales associées au contrôle attentionnel.
Le cortex moteur est loin d'être la seule région du cerveau impliquée dans la commande et le contrôle des mouvements. Il faut également mentionner le rôle important des ganglions de la base et du cervelet. Les ganglions de la base interviennent dans une boucle complexe reliant différentes aires corticales.
Le cerveau, ce super outil de stockage
L'hippocampe est une petite région du cerveau ancien (limbique), ayant la forme d'un cheval de mer. L'étude de patients devenus amnésiques après une opération chirurgicale du cerveau a montré que l'hippocampe joue un rôle fondamental dans la formation de nos souvenirs.
L'hémisphère gauche prendrait en effet majoritairement en charge ce qui est analytique : les chiffres, les calculs et tous les processus liés à la numération. Mais à lui reviendrait aussi l'essentiel du traitement du langage, à l'oral comme à l'écrit.
Le stress, anglicisme signifiant "tension" issu du latin stringere ("mise en tension") n'est pas une émotion ni un sentiment mais une réaction biologique et psychique, spontanée, naturelle, en cascade, de l'organisme face à son environnement.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
Les troubles de l'humeur sont des troubles mentaux impliquant des troubles émotionnels consistant en de longues périodes d'excessive tristesse (dépression) ou d'excessive gaieté ou exaltation (manie), ou les deux.
Pour prévenir un blocage émotionnel inconscient, rien de mieux que de se laisser submerger par des pensées positives et de se tenir à l'écart autant que possible de toute situation inconfortable pouvant affecter le subconscient.
D'abord il s'agit de prendre conscience de son état émotionnel, de le ressentir et de l'accepter. Ce travail de conscience de soi et d'écoute de l'intérieur est la première étape nécessaire à l'identification de ses besoins non satisfaits et à la démarche de changement.