La meilleure place en classe économique se situe à l'avant à condition de ne pas être trop près du “galley” (cuisine) et des toilettes. Si votre siège est situé près ou au-dessus des ailes, vous risquez de ne pas pouvoir profiter pleinement de la vue. Sauf si vous êtes installé côté fenêtre.
Pour avoir la meilleure vue, il faudra choisir une place à côté d'un hublot, mais pas au niveau des ailes ou juste derrière le niveau de celles-ci. Si vous voulez dormir, les places à côté des hublots permettent de s'appuyer sur la paroi de l'avion et de ne pas être dérangé.
Il apparaît que ce sont les sièges arrière qui seraient les plus sûrs. Le siège où l'on courrait le moins de risques se trouverait même au milieu de la dernière rangée. Au contraire, les places situées à proximité des ailes ou à l'avant de l'avion seraient beaucoup moins sûres.
Les personnes qui sont assises à l'avant de l'avion (section première classe et classe affaires) ont 49% de chances de survivre au crash. Si vous êtes assis juste devant ou derrière les ailes, cette probabilité est de 56%. Les passagers assis à l'arrière ont un taux de survie moyen de 69%.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
Essayez-vous à la relaxation
Apprendre quelques exercices de relaxation peut vous aider à surmonter votre peur de l'avion et notamment lors du décollage et de l'atterrissage – deux moments critiques pour les phobiques de l'avion. Avant de voler, apprenez des exercices de respiration.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
Rester immobile dans l'avion donne froid
Les compagnies aériennes comme Air France règlent la température de la climatisation entre 18°C et 22°C en moyenne. Sauf que tout le monde reste vissé sur son siège. Nous produisons donc très peu de chaleur et l'immobilisme n'aide pas à se réchauffer.
Prévoyez un coussin de voyage, des bouchons d'oreilles, un masque pour les yeux. En cas de jambes lourdes, enfilez des bas de contention. Et surtout, pensez à bien vous hydrater pendant le vol.
Inspirer 3 secondes, expirer 6 secondes. Répéter l'exercice jusqu'à ce que la crise de panique s'arrête. «Rester concentré sur sa respiration permet au cerveau d'oublier les raisons de son angoisse».
- Se mettre dans une situation non-stressante. Il faut prendre le temps d'arriver très en avance à l'aéroport, pour pouvoir se déplacer à un rythme très lent, détendu. Il ne faut pas courir dans tous les sens. Je conseille aussi aux voyageurs d'enregistrer leurs bagages la veille du départ directement sur internet.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Ainsi, les turbulences ne présentent aucun risque en avion ; il s'agit juste d'une question de confort pour les passagers, raison pour laquelle les pilotes les évitent si cela est possible.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Le cerveau va associer l'avion à un danger de mort. C'est pour cette raison que les personnes phobiques ne parviennent pas à se rassurer. Une fois dans l'avion, leur corps va envoyer des signaux. Dans cette situation perçue comme dangereuse, le cerveau émotionnel envoie une alerte.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).
Ce que vous pouvez faire pour vous endormir facilement dans l'avion, c'est prendre un cachet de mélatonine au moment quelques minutes après le décollage, afin de déclencher « artificiellement » l'envie de dormir.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
Dans un Boeing 767, il fait toujours plus de 7 °C dans la soute à bagages, mais la soute à vrac (où sont logés les animaux) peut être chauffée à plus de 18 °C. Des casiers à température contrôlée sont aussi prévus pour l'envoi de marchandises thermosensibles.
La soute à bagages d'un Boeing 767 est maintenue à une température constante de 7°C, tandis que le compartiment de vrac (où sont transportés les animaux) peut atteindre des températures de 18°C.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Pour voyager en cabine, votre animal doit être placé dans une caisse de transport pour chien ou chat d'une taille maximale de 40 cm x 24 cm x 20 cm. Au-delà, il devra voyager en soute.