La Julienne est un poisson sauvage également appelé Lingue. Vous retrouvez les filets de Julienne sur tous les étals des poissonniers. C'est un poisson à la chair d'un blanc nacré et assez ferme.
La lingue se pêche essentiellement à la palangre ou au filet, le long du talus continental et dans les eaux profondes des fjords.
La lingue appartient à la famille des morues. Elle vit sur des fonds rocheux dans le nord de l'océan Atlantique, à une profondeur de 200 à 500 mètres.
En fait, ce poisson présente un véritable intérêt économique. La lingue goûte un peu comme le cabillaud mais elle se vend 3-4 euros/kilo moins cher que ce dernier.
Si vous voulez faire cuire un filet de julienne entier et éliminer un maximum d'arêtes, faites une incision le long de l'arête centrale puis tirez dessus pour la dégager entièrement.
La lingue bleue est le nom d'un poisson membre de la famille des Lotidae, qui évolue dans les grandes profondeurs marines dans la région de l'Atlantique Nord-Est. Il se distingue par sa couleur gris olivâtre et une ligne latérale argentée, tout en présentant une forme très allongée.
Ce poisson rond porte deux noms différents : il se nomme bar lorsqu'il vit et est pêché dans l'océan Atlantique, et loup dans la Méditerranée. Ce nom de « loup » vient de sa voracité.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie. Simplement grillés, au beurre noir, aux câpres, farcis, en papillote, ils offrent une grande variété de présentation.
Avec sa chair semblable à celle de la dorade, d'où son surnom de dorade sébaste, le sébaste a pourtant des avantages bien à lui ! Au-delà de sa chair délicate qui se prête à toutes les associations, le sébaste fait partie des poissons bon marché et qui ont un profil nutrition quasi irréprochable !
Exemples de poissons non cacher : raie, esturgeon, anguille, turbot, carpe à cuir (appelée aussi carpe cuir), saumonette. Le saint-pierre, objet de contestation, ne doit pas être consommé.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Crustacés. La consommation des crustacés est prohibée par le judaïsme ; de même, plusieurs peuples refusent (ou refusaient) de manger les crabes, en Europe, en Afrique, etc.
l'appellation « Morue » s'applique en français à plusieurs taxons distincts. Morue, ou cabillaud, est un nom vernaculaire désignant en français des poissons de plusieurs espèces de l'ordre des Gadiformes. Ces poissons vivent dans les eaux froides.
On ne mange pas la peau, mais celle-ci apporte davantage de fermeté et de saveur à la cuisson. Une salade croquante combinée au loup de mer : tout simplement succulent !
Le mulet fait partie d'une famille d'une centaine d'espèces dont la plus répandue est le mulet cabot. Pour se régaler en toute sérénité, cuire à cœur pendant 1 minute à 60°C ou congeler à -18°C pendant 7 jours pour une consommation crue ou peu cuite.
Poisson "dit maigre" souvent présenté en filet, le lieu noir est très bon marché et sans arête, idéal pour les enfants. Il ne faut pas confondre le lieu noir avec le lieu jaune : ligne claire sur robe sombre pour le lieu noir et ligne sombre sur robe claire pour le lieu jaune.
Le dos de Cabillaud, un morceau de poisson sans arêtes
Pêché dans les Mer de Barents, de Norvège, de la Manche et Celtiques, ce poisson est très apprécié. C'est un poisson blanc comme le blanc et de nombreux autres espèces. Lorsqu'il est coupé en filets puis salé et séché, le Cabillaud se prénomme « Morue ».
- Frotter doucement le filet à rebrousse-poil afin de faire ressortir les arêtes. - Vous pouvez alors les ôter facilement en les pinçant entre deux doigts. - Pour les arêtes plus grosses ou résistantes, les coincer entres les lames du couteau économe et, d'un geste rotatif, les retirer du filet de poisson.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Par ailleurs, les poissons ne comportant ni nageoires ni écailles (anguilles, raies?), les reptiles, les mollusques sont exclus. L'animal, abattu rituellement, doit être vidé de son sang - porteur du principe vital, l'âme de la chair.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…