Le défunt peut être inhumé dans les cimetières suivants : Celui de la commune où le défunt habitait. Celui de la commune où il est décédé Celui où est situé le caveau de famille.
Si l'entourage souhaite enterrer leur proche en dehors des communes prévues de fait par la législation, une demande doit être adressée au maire de la ville envisagée.
Le lieu d'inhumation : plusieurs possibilités
Obligatoirement placé dans un cercueil (ou une urne), le corps de la personne décédée est enterrée dans un cimetière. L'inhumation dans un cimetière peut alors s'effectuer de plusieurs manières : tombe en pleine terre (concession ou terrain commun);
Inhumation d'un cercueil
Une inhumation dans le terrain d'une propriété privée est possible à titre exceptionnel. Les formalités peuvent être accomplies par l'opérateur de pompes funèbres.
Les concessions proposées sont de l'ordre de : 10 ans : 1m² – 414 € – 2m² : 828 € – m² supplémentaire : 828€ 30 ans : 1m² – 1422 € – 2m² : 2844 € – m² supplémentaire : 2844 € 50 ans : 1m² – 2229 € – 2m² : 4458 € – m² supplémentaire : 4458 €
Le tarif varie en moyenne de 350 euros à 1200 euros par emplacement et est affiché publiquement en mairie. Une fois cette somme versée intégralement auprès de la municipalité, la case est utilisable jusqu'à échéance de la concession.
Le caveau familial se transmet de génération en génération. Autrement dit, à la mort du fondateur le caveau familial se transmet aux enfants qui le transmettront à leur tour aux petits-enfants. Il est détenu en indivision par tous les descendants.
Chacun peut souhaiter y être enterré avec son conjoint et ses enfants communs (sauf cas particuliers). Sauf volonté expresse du fondateur, il est interdit d'exclure un membre de la famille. On ne peut pas non plus imposer une personne étrangère à la famille, sauf accord de tous les indivisaires.
En effet, les cendres du défunt sont assimilées à un corps, par conséquent, de la même manière que pour les inhumations sur des propriétés privées, il convient d'obtenir au préalable l'autorisation préfectorale évoquée précédemment. Il sera également nécessaire d'obtenir l'accord du propriétaire.
Si la dispersion des cendres d'un défunt dans un jardin privé n'est pas autorisée, elle est envisageable dans un champ, une prairie ou une forêt. Il est en principe interdit de disperser les cendres de crémation d'un défunt dans une propriété privée, comme un jardin.
En France, le prix des obsèques s'élève en moyenne à 3350 euros pour une inhumation tandis que le prix moyen d'une crémation est de 3609 euros *. À ces frais d'obsèques, il faut penser à intégrer le coût de la concession dans un cimetière (librement fixé par la mairie), le coût de la marbrerie, etc.
La location d'une chambre funéraire est onéreuse. Elle coûte en moyenne 80 euros par jour. Certaines sociétés proposent une facturation forfaitaire à 400 euros, quelle que soit la durée.
La grande question de savoir quel est le meilleur endroit pour cacher un cadavre et, ainsi, réaliser le crime parfait, se pose donc à nouveau. Pistes de réponses avec quelques albums: – Dans un lac. Quand la mer est un peu loin, comme c'est le cas à Chicago, le plus simple reste le grand lac tout proche.
La mutuelle n'opère un remboursement de frais d'obsèques que si le défunt est un membre. En d'autres termes, il faut que votre proche ait souscrit à ce service de la mutuelle et soit à jour dans le règlement de la rente.
L'inhumation est aussi possible dans une autre commune, mais le maire peut la refuser. Si le défunt résidait à l'étranger, il peut être inhumé dans le cimetière de la commune dans laquelle il est inscrit sur la liste électorale, même s'il n'y possède pas de sépulture de famille.
Dans les pays occidentaux, il est souvent conseillé d'attendre 3 jours avant de procéder à l'enterrement d'un proche. Cette pratique n'est pas une obligation légale ni religieuse. D'un point de vue pratique, ce délai est souvent nécessaire pour organiser la cérémonie et finaliser les obsèques.
La crémation n'est pas autorisée par le Coran.
Pour les Musulmans, ce qui peut blesser un vivant, peut aussi blesser un mort. La souffrance affligée au corps du défunt serait donc encore bien perçue. Cela serait vu comme une destruction ne respectant pas le corps.
Un business lucratif et opaque. Après la crémation des défunts, les restes sont pulvérisés, pour ne remettre que des cendres aux familles. Mais tout ne brûle pas. Prothèses en titane, dents en or, stérilets en cuivre… Autant de métaux qui ne peuvent être jetés.
Rien du tout. Cependant, si les os dégagent des gaz qui brûlent eux aussi, la plupart d'entre eux ne brûlent pas à cette température. Ainsi, à l'issue de la combustion d'un corps, il subsiste les os les plus importants du corps humain. Ils sont souvent reconnaissables pour la plupart.
En moyenne, il faut prévoir : 1 400 à 1 900 euros pour un caveau 1 place. 2 200 à 3 000 euros pour un caveau 2 places. 3 000 à 4 000 euros pour un caveau 3 places.
Le maire peut-il refuser une telle demande ? Réponse : L'article R 2223-8 du CGCT établit qu'aucune inscription ne peut être placée sur les pierres tumulaires ou monuments funéraires sans avoir été préalablement soumise à l'approbation du maire.
L'utilisation d'un cercueil est obligatoire en France quel que soit le mode d'obsèques sélectionné par la famille. Toutefois, le choix du cercueil doit obéir à certaines règles selon le type de sépulture envisagé : crémation ou inhumation. En effet, les articles R.
Il s'agit du concessionnaire lui-même, de son conjoint, de ses ascendants et descendants ainsi que de leurs conjoints, de ses alliés, de ses enfants adoptifs, voire d'une personne étrangère à la famille avec laquelle le concessionnaire était uni par des liens d'affection et de reconnaissance.
Si l'un des héritiers paie le renouvellement de la concession, le paiement vaut pour tous les héritiers. en cas de décès du propriétaire de la concession, pensez à donner l'adresse des héritiers au gestionnaire du cimetière.
2223-12 du CGCT énonce : "Tout particulier peut, sans autorisation, faire placer sur la fosse d'un parent ou d'un ami une pierre sépulcrale ou autre signe indicatif de sépulture." Toutefois, les monuments funéraires placés sur la concession sont qualifiés d'immeubles par destination et appartiennent en propre aux ...