si vous ne voulez pas utiliser le service en ligne, vous pouvez porter plainte en vous déplaçant au commissariat ou à la gendarmerie ou en écrivant au procureur.
Pour être conseillé dans vos démarches, contactez la plateforme Info Escroqueries du ministère de l'Intérieur au 0 805 805 817 (appel et service gratuits, ouvert de 9h à 18h30 du lundi au vendredi). Vous pouvez également contacter le 3018 (appel et service gratuits) du lundi au vendredi de 9h à 20h.
Si vous êtes victime d'infractions mentionnées ci-dessus, vous pouvez directement déposer plainte auprès d'un service de Police nationale ou de Gendarmerie nationale ou bien adresser un courrier au Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance compétent.
Outre les conséquences purement juridiques, les utilisateurs de logiciels piratés ou contrefaits peuvent rencontrer les problèmes suivants : Exposition aux virus, disque endommagé ou logiciel défectueux. Documentation produit inadaptée ou indisponible. Absence de garantie.
Cela n'empêche nullement que les hackers soient aussi des spécialistes en informatique. La différence notable entre ces deux pratiques est que le hacker aide à colmater ces failles tandis que le pirate cherche à les exploiter.
gendarmerie nationale : le centre d'action contre les criminalités numériques (C3N) du Service central du renseignement criminel (SCRC) : [email protected].
La SSI en France | Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information.
Sous la casquette de C-NTECH, ces gendarmes peuvent être sollicités pour effectuer des extractions de données téléphoniques, aider à identifier un individu via son URL, son adresse mail, ou son adresse IP, réaliser de la veille ou de la recherche d'informations sur les réseaux ou les différentes plateformes Internet ( ...
Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix. Retrouvez les coordonnées des commissariats de police et les moyens de contact des brigades de gendarmerie. Le dépôt de plainte est gratuit et ne peut pas être refusé. La plainte est ensuite transmise au procureur de la République.
pour un délit (agression sexuelle), la victime peut porter plainte jusqu'à ses 38 ans (âge de sa majorité + délai de prescription de 20 ans). Pour un crime (viol), elle peut porter plainte jusqu'à ses 48 ans (âge de sa majorité + délai de prescription de 30 ans).
Il suffit de se rendre sur le site de ce service public pour prendre rendez-vous dans un commissariat ou une gendarmerie : https://www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr. Pour déposer plainte, intégralement en ligne, vous pouvez aussi faire une plainte en ligne avec Qualiplainte.
Vous pouvez déposer une plainte en ligne sur www.moncommissariat.fr ou vous rendre dans un service de police ou de gendarmerie. Le site www.cybermalveillance.gouv.fr a été également créé pour vous renseigner dans vos démarches.
Blocages fréquents ou ordinateur particulièrement lent. Programmes inconnus qui se lancent au moment du démarrage de votre ordinateur. Programmes se connectant automatiquement à Internet. Activités inhabituelles telles que des modifications de mots de passe.
La cybersécurité ne se limite pas à se protéger de malveillances externes. Bien souvent, les risques sont intimement liés à l'interne, de façon accidentelle ou intentionnelle. Mieux connaître ces menaces, c'est déjà les anticiper.
La sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité (SDLC) a été créée par arrêté le 29 avril 2014. Placée sous l'autorité d'un contrôleur général, elle est composée d'environ 150 personnels (policiers, gendarmes, administratifs, ingénieurs, techniciens et contractuels).
Les cyber-criminels, comme on les appelle, ont largement envahi ou envahiront le monde virtuel, commettant des délits, tels qu'utilisation de codes d'accès confidentiels, piratage, fraude, sabotage informatique, trafic de drogue, commerce pornographique à caractère pédophile et "cyber-harcèlement".
se trouvant sur internet. Le site PHAROS : PHAROS : Plateforme d'Harmonisation, d'Analyse, de Recoupement et d'Orientation des Signalements , géré par des policiers et gendarmes spécialisés, permet de signaler les contenus illicites se trouvant sur internet.
Qui se cache derrière Pharos ? La Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) et sa section nationale : l'office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC).
Les avantages d'Internet font l'unanimité. Mais son utilisation n'est pas sans danger. Les logiciels malveillants et les actes de piratage informatique peuvent produire d'énormes dommages chez les particuliers et les PME en occasionnant la perte de données ou l'interruption de services par exemple.
De manière générale, on peut dire que les pirates essaient de pénétrer dans les ordinateurs et les réseaux pour l'une des quatre raisons suivantes. Le gain financier de nature criminelle, soit le vol de numéros de cartes de crédit ou la violation des systèmes bancaires.
LE HACKING OU PIRATAGE
L'article 323-1 du code pénal sanctionne«le fait d'accéder ou de se maintenir frauduleusement, dans tout ou partie d'un système de traitement automatisé». La peine encourue est 2 ans d'emprisonnement et 30000€ d'amende.