L'injure peut être privée ou publique. Elle peut aussi avoir un caractère raciste, sexiste ou homophobe. Les sanctions pénales tiennent compte de ces différents éléments. L'injure publique relève d'une procédure spécifique qui permet de la réprimer tout en préservant la liberté d'expression.
Parole ou acte qui offense, qui blesse la dignité : Proférer des insultes. Sa conduite est une insulte.
Une injure est une parole offensante adressée délibérément à une personne dans le but de la blesser moralement, en cherchant à l'atteindre dans son estime de soi, son honneur ou sa dignité. Une insulte, quasi synonyme d'injure, est cependant considérée comme une injure moins grave. Une injure grave est un outrage.
Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal. Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte. La plainte avec constitution de partie civile est utilisable pour : un cas d'injure publique.
Il peut s'agir d'une expression outrageante, d'un terme de mépris ou encore d'une invective. En revanche, si on vous accuse d'un fait qui peut être vérifié, il ne s'agit plus d'une injure : vous devez porter plainte pour diffamation.
L'insulte publique est punie d'une amende pouvant aller jusqu'à 12 000 €. Si cette insulte a en plus un caractère raciste, sexiste ou homophobe, la peine peut atteindre 1 an d'emprisonnement et 45 000 € d'amende. L'insulte non publique est punie d'une contravention de 38 € maximum.
Comme l'explique Delphine Meillet, avocate au Barreau de Paris contactée par BFMTV.com, dans ce cas précis, un doigt d'honneur pourrait être considéré comme une injure publique. La peine encourue pour injure publique est de 12.000 euros d'amende et six mois de prison.
L'amende s'élève à 450 euros au maximum. La menace de délit ou de crime : considérée comme un délit, elle est punie d'une amende de 7 500 euros au maximum et de 6 mois d'emprisonnement. En cas de circonstances aggravantes, la peine pourra s'élever à 2 ans et à 30 000 euros d'amende.
Au sens figuré, le mot con est aussi un mot vulgaire en général employé comme insulte dans les pays francophones (ex : « gueule de con »), mais dans un sens très atténué, voire amical, dans le Midi de la France. Il désigne une personne stupide, naïve ou désagréable, de même que ses dérivés « connard » et « connasse ».
Pour pouvoir porter plainte pour menace, vous devez recueillir des preuves solides. Vous devez réunir tous les éléments en votre possession : témoignages, copie des courriers, enregistrements téléphoniques, … Pour plus d'efficacité, vous pouvez demander à un huissier de justice de constater ces preuves.
Elle se définit comme « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait » (article 29 de la loi du 19 juillet 1881 sur la liberté de la presse).
Les SMS injurieux sont néanmoins un délit , susceptible de poursuites , comme tout délit !! Merci encore !! si par contre ce comportement se répète et entraine une dépression, alors cela peut être du harcèlement moral. L'injure non publique est punie par une contravention de 38 € maximum.
1. Qui manque de courage, qui recule devant le danger, le risque : Tu n'y vas pas, tu n'es qu'un lâche. 2. Qui est méprisable, d'une grande bassesse, qui attaque une personne sans défense : Tirer dans le dos est l'acte d'un lâche.
● Fleur de nave
Notons: «la fine fleur», la «fleur des pois» (ce qu'il y a de plus élégant), etc. Toutefois dans le cas qui nous occupe «la fleur de nave» n'a rien de sympathique. En effet, la locution argotique est une autre façon de qualifier une personne de «niaise». Le terme «nave» est transparent.
Pays méditerranéens mal notés
Les Grecs sont également en tête concernant les comportements dangereux, un classement fermé par les Britanniques.
"ta gueule" est vulgaire et dans la plus part des cas méchant et "tais toi" est une forme plus polie mais c'est quand même un peu méchant (cela dépend aussi du contexte) “Ta gueule” est une expression plus familière que “Tais-toi” qui est plus standard.
Le mot le plus long de la langue française, si l'on se réfère aux dictionnaires usuels, est « anticonstitutionnellement » avec 25 lettres.
Il s'agit de « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait » (article 29 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse). En d'autres termes, pour qu'il y ait injure au sens de la loi, il doit y avoir atteinte à l'honneur de la personne visée.
Avec l'aide d'un professionnel des affaires criminelles, on peut déposer plainte même sans preuve réelle, y compris si le plaignant a été la victime dans une plainte civile. Il est bien entendu que cette plainte doit être faite avec la plus grande circonspection.
Le délit de coups et blessures volontaires est une atteinte délibérée à l'intégrité physique d'une personne. Il est passible d'une amende pouvant atteindre 150 000 euros et d'une peine d'emprisonnement de 30 ans.
Lorsqu'une personne est atteinte du phénomène de Raynaud, l'exposition au froid réduit anormalement la circulation sanguine et la peau devient pâle, d'un blanc cireux ou violette. Ce trouble est parfois nommé « syndrome du doigt blanc » ou « syndrome du doigt mort ».
Le doigt d'honneur était utilisé dès l'Antiquité
Le doigt levé évoque le phallus tandis que ceux qui sont repliés font penser au scrotum. Selon le poète Diogène Laërce, le philosophe Diogène de Sinope aurait brandi son majeur pour dire ce qu'il pensait de l'homme d'État Demosthène.
Pour boire un thé ou un café de manière distinguée, certaines personnes tiennent leur tasse en maintenant le petit doigt levé. Cette marque de raffinement remonte au Moyen Age. A cette époque, tout le monde avait l'habitude de manger avec les doigts, et la noblesse féodale ne dérogeait pas à la règle.