Lecture : en 2021, la France exporte 68,9 milliards d'euros (FAB) de biens en Allemagne et importe 81,2 milliards d'euros (CAF) de biens en provenance d'Allemagne.
Le taux d'exportation est plus élevé dans l'industrie (42,7 %) et le secteur des transports et de l'entreposage (26,8 %).
Les trois principaux clients de la France sont : l'Allemagne (pour 68,6 milliards d'euros) ; l'Italie (pour 39,1 milliards d'euros) ; et la Belgique (pour 37,2 milliards d'euros).
Alors que la France a exporté 508 milliards d'euros de biens l'an passé, le premier secteur d'exportation reste l'aéronautique, avec des chiffres qui progressent pour la deuxième année consécutive.
Le marché intérieur consomme, chaque année, environ la moitié de la production et le reste des grains récoltés est destiné à l'exportation, ce qui permet à la France de se classer au rang de 5ème exportateur mondial de blé, derrière la Russie, les Etats-Unis, le Canada et l'Ukraine.
Coût du travail et manque d'ouverture
Selon les résultats de cette enquête publiée ce mardi 22 novembre, ce sont avant tout les coûts, que ce soit de production (67% des répondants citent cette raison), de transports (51%) et de douanes (50%), qui freinent les exportations françaises.
1. L'Allemagne demeure le premier partenaire commercial de la France en dépit d'une part en baisse. Inversement la France est le quatrième partenaire de l'Allemagne.
Elles promeuvent la concurrence des marchés. Il en résulte une régulation des prix favorable au pouvoir d'achat des ménages, à l'emploi et à la compétitivité-prix des producteurs locaux. 3. Rendant les entreprises plus compétitives et innovantes, les importations constituent un puissant moteur d'exportations.
L'économie française s'appuie sur des secteurs puissants et dynamiques : L'agriculture a connu un développement spectaculaire depuis 1945. La France est aujourd'hui la 1re puissance agricole de l'Union européenne. Elle produit et exporte massivement (blé, viande, produits laitiers, fruits, vin…).
Deux membres de l'Union européenne, l'Allemagne et le Royaume-Uni, se sont jusqu'à présent engagés concrètement à soutenir la France dans ses opérations militaires extérieures contre la menace jihadiste, d'autres pays n'ayant pour l'instant qu'exprimé leur solidarité après les attentats de Paris.
La France se place derrière l'Inde (+8,50%), à la 7e position. L'Hexagone perd en effet une place avec un PIB s'élevant à 3 140 mds$ en 2022. Dans le reste du top 10, nous retrouvons l'Italie à la 8e place avec un PIB de 2 272 mds$, suivie par le Canada (2 189 mds$).
Les États-Unis sont restés le premier importateur de marchandises. Leurs importations se sont élevées à 2 610 milliards de dollars EU en 2018, soit une hausse de 8,5%.
Dans quels secteurs la France importe-t-elle le plus? L'Insee révèle que l'importation de produits d'équipement, comme les matériaux informatiques, est très élevée. En août 2017, la France en a importé 1,495 milliard d'euros de plus qu'elle n'en a exporté.
Le classement reste largement dominée par la Chine, dont la valeur des exportations est quatre à cinq fois plus élevée que celles de la France, suivie par les États-Unis et l'Allemagne.
manufacturés en volume, s'appuie sur plusieurs caractéristiques des exportations : géographie, secteur, compétitivité-prix, taille des entreprises… pairs. Le principal atout de l'Allemagne réside ainsi dans sa capacité à attirer la demande dans les pays émergents.
L'Allemagne est fière de ses exportations. Elles témoignent de la grande qualité de ses produits et de la belle compétitivité de ses entreprises, garantissant l'emploi, la croissance et la prospérité.
Plus solides, plus riches, mieux armées pour l'avenir: c'est en substance le portrait que de BPIfrance dresse des entreprises qui exportent. On y apprend entre autres que les PME multinationales comptent 3,5 fois plus de salariés que la moyenne (96 contre 27) et surtout qu'elles vendent plus... même en France.
Pourquoi exporter ? L'exportation de biens et de services est une source de richesse pour un pays (emplois, hausse des revenus). C'est aussi un levier de croissance clairement identifié pour les entreprises qui, en diversifiant leurs marchés, sont amenées à être plus compétitives, plus innovantes et s'adaptent.
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
Pétrole, gaz, mais aussi blé… La France dépend partiellement de la Russie, mais elle est aussi le premier employeur étranger dans ce pays. Les sanctions infligées à la Russie, après l'invasion de l'Ukraine, pourraient également peser sur les échanges commerciaux.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).