Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les observations sont : fatigue/asthénie, céphalées, insomnie, vertiges, dépression, douleurs articulaires et musculaires, alopécie.
Il s'agit de L-Thyroxine Henning qui devrait être une alternative au Levothyrox sur le marché français, disponible à partir de mi-octobre. Attention, pour avoir ces nouveaux médicaments, le médecin doit indiquer la marque et non "levothyrox ancienne formule".
Troubles digestifs : vomissements, douleurs abdominales, diarrhées, appétit augmenté, amaigrissement. Troubles cardiovasculaires : tachycardie, arythmie par fibrillation auriculaire ou extrasystoles, hypertension, douleurs thoraciques, angor, insuffisance cardiaque congestive, collapsus cardiogénique.
Les médicaments qui contiennent des sels de fer ou de calcium, de la colestyramine, du kayexalate, du sucralfate et les pansements digestifs peuvent diminuer l'absorption de ce médicament ; il est nécessaire de respecter un délai de 2 heures entre la prise de ces médicaments.
Le Levothyrox permet ainsi de compenser le ralentissement de certaines fonctions chez ces patients atteints d'hypothyroïdie : perte de mémoire, ralentissement du rythme cardiaque, intense fatigue, somnolence, frilosité, humeur dépressive, prise de poids, raideur musculaire… Voire des complications plus graves.
L'hormone de synthèse la plus prescrite est la thyroxine (T4) sous forme de lévothyroxine sodique en comprimé (Levothyrox®, Novothyral®, Levothyroid® ou Synthroid®). La majorité des personnes devront en prendre quotidiennement durant toute leur vie.
"Le Lévothyrox® est prescrit pour l'insuffisance thyroïdienne et 10% des femmes de 60 ans ont une insuffisance thyroïdienne. Souvent il y a très peu de signes. On conseille donc de faire des recherches de problèmes thyroïdiens. On va démarrer le traitement mais les patients ne vont pas maigrir grâce à ce traitement.
En cas d'hypothyroïdie fruste, si le taux de TSH est > 10 mUI/l lors de 2 examens successifs, un traitement substitutif doit être discuté avec le patient pour prévenir l'évolution vers une hypothyroïdie avérée et ses conséquences.
Le stress chronique a pour conséquence, un taux de cortisol élevé, une hormone qui peut causer certains dommages à la glande thyroïde et ralentir l'absorption des hormones thyroïdiennes.
Les niveaux d'hormones thyroïdiennes étaient légèrement élevés, mais restaient dans la fourchette des valeurs normales. Enfin, les sujets anxieux présentaient des anticorps dirigés contre la thyroïde. De tels résultats semblent indiquer que la fonction thyroïdienne serait impliquée dans le développement de l'anxiété.
Les patients qui ne peuvent attendre 1 heure après la prise de la lévothyroxine pour prendre leurs repas pourraient la consommer au couché à conditions de respecter 2 heures d'intervalle au minimum entre le dernier repas et la prise du médicament.
Levothyrox: l'ancienne formule du médicament sera finalement disponible jusqu'à fin 2022 au moins. Cette décision a été prise "en raison de la crise sanitaire et des difficultés que pourraient rencontrer certains patients pour changer de traitement en cette période", a annoncé le laboratoire Merck.
La douleur musculaire peut affecter tous les muscles du corps et est un symptôme d'hypothyroïdie. Les symptômes musculaires du corps tels que la raideur, la douleur, la faiblesse et les courbatures affectent 30 à 80% des personnes atteintes d'hypothyroïdie.
Ce médicament doit être pris le matin à jeun, au moins une demi-heure avant le petit déjeuner, car il est mieux absorbé lorsqu'il est pris à jeun que lorsqu'il est pris avant ou après un repas.
En effet, le métabolisme basal (c'est-à-dire le nombre de calories que notre organisme dépense au repos) est abaissé et sans adaptation des apports alimentaires, l'excès d'énergie consommée sera stocké dans le tissu adipeux, entrainant la prise de poids.
Les valeurs de référence normales diffèrent d'un laboratoire à l'autre et d'un continent à l'autre. En France, la TSH est considéré comme normale entre 0,5 et 5.0 mUI/l (TSH inférieure à 0,5 indiquant une hyperthyroïdie, supérieure à 5.0 indiquant une hypothyroïdie).
Les symptômes, le diagnostic et l'évolution de l'hypothyroïdie. En présence de symptômes évoquant une hypothyroïdie (fatigue, prise de poids, frilosité...), le médecin traitant confirme le diagnostic par des analyses de sang. Sous traitement, les symptômes disparaissent.
On ne peut pas guérir une hypothyroïdie mais il est tout à fait possible de la compenser en prenant chaque jour des hormones thyroïdiennes de remplacement. Une fois la dose efficace identifiée, le traitement est poursuivi à vie.
Une grande majorité de la population est carencée en vitamine D. Pourtant cette vitamine est indispensable au bon fonctionnement de la thyroïde en permettant aux hormones thyroïdiennes de pénétrer dans les cellules.
En cas d'hypothyroïdie, la dépense énergétique compense légèrement le dysfonctionnement de la glande thyroïde. En effet, les sports d'endurance (course à pied, marche, musculation, natation…)
Un taux élevé de TSH signifie que la thyroïde ne produit pas assez d'hormones thyroïdiennes : l'hypophyse doit donc sécréter plus de TSH afin de stimuler la production d'hormones T3 et T4. Un taux élevé de TSH peut être le signe précoce d'une hypothyroïdie.
Il joue un rôle dans la conversion de T4 en T3 active. Le magnésium permet ainsi d'éviter la baisse de l'activité de la thyroïde notamment chez les sujets agés mais aussi chez les sportifs après des efforts intenses.