Ni l'un ni l'autre ne connaît la réponse. Lorsque deux sujets — deux noms au singulier — sont liés par la conjonction ni, le verbe se met au singulier quand seul l'un des deux sujets pourrait accomplir l'action : Ni Jean ni Michel n'est le père de cet enfant.
Accord du verbe
Le verbe s'accorde avec le sujet, au pluriel, lorsqu'il est placé avant la locution : Elles n'ont voulu venir ni l'une ni l'autre.
Ni toi ni ta femme n'êtes inscrits sur les listes électorales. (On accorde à la 2e personne et non à la 3e.) Le verbe se met obligatoirement à la 3e personne du singulier lorsque l'action ne peut se rapporter qu'à un seul des sujets singuliers : Ni votre candidat ni le mien ne sera nommé à ce poste.
L'un ou l'autre : l'exclusion
En règle générale, on emploie l'un ou l'autre pour désigner des éléments qui s'excluent mutuellement. Le verbe qui suit l'un ou l'autre se met alors au singulier. L'un ou l'autre sera présent lors de l'arrivée du dignitaire à l'aéroport.
L'un et l'autre : pronom indéfini composé
Lorsque la formulation l'un et l'autre est employée comme pronom indéfini composé, le verbe qui la suit se met le plus souvent au pluriel, puisqu'elle évoque généralement une idée de pluralité.
La locution l'un et l'autre, elle, est employée pour exprimer l'équivalence entre les éléments auxquels elle fait référence. Elle signifie « l'un aussi bien que l'autre ». Ces trois frères musiciens brillent les uns et les autres par leur talent.
N'importe quel, quiconque.
Le mot « quatre » est un adjectif numéral et nom masculin invariable. Quel que soit le contexte, au pluriel comme au singulier, on écrit toujours « quatre ». La plupart des nombres cardinaux (un, deux, trois, …) sont invariables en nombre.
Toi et moi = pluriel première personne (Toi et moi sommes venus). La première personne l'emporte sur la troisième. Lui et moi = pluriel première personne (Lui et moi sommes venus). la deuxième personne l'emporte sur la troisième.
On parle de négation totale lorsqu'elle porte sur l'ensemble de la proposition. Je n'entends rien. → La négation est totale car elle porte sur l'ensemble de la phrase. On parle de négation partielle lorsque la négation ne porte que sur un élément de la proposition (le sujet ou un complément).
La politesse veut que l'on implique autrui en premier, ainsi dans une énumération de personne on finira toujours par « et moi » . Donc « toi et moi » semble être plus correct.
La conjonction de coordination « ni » permet de relier deux groupes dans une même négation. La négation complète est « ne… ni… ni… ». Le mot « ni » n'est donc jamais seul et est toujours accompagné d'un deuxième « ni ».
Lorsqu'ils sont formés à partir d'un nom en -on, les verbes en -onner prennent deux n : poison - > empoisonner ; prison - > emprisonner ; ... Lorsque le verbe est formé à partir d'un mot ne se terminant pas par -on, il prend ou non deux n : téléphone - > téléphoner ; couronne - > couronner ; plafond - > plafonner, ...
Lorsque le complément direct du verbe (CD) est le pronom neutre le (l'), le participe passé employé avec l'auxiliaire avoir est invariable. Le pronom le (l') est neutre lorsqu'il reprend une phrase, une phrase subordonnée, une partie de texte ou une idée sous-entendue. Il équivaut alors à cela.
Qui vient,
qui se situe après ; suivant, futur : Les années qui viennent.
Retenons tout d'abord que lorsque le terme «même» se retrouve placé après un pronom personnel (moi, toi,...), ce dernier devient un adjectif. Il doit donc s'accorder en nombre avec le pronom qu'il qualifie. Exemple: «moi-même», «eux-mêmes».
Place des pronoms personnels dans la phrase impérative
Dans les phrases impératives avec affirmation : moi, toi, soi, nous, vous, lui, leur, eux, elle, elles, le, la, l', les, y et en, se placent après le verbe.
Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. À retenir : C'est moi qui = je, c'est toi qui = tu, c'est lui/elle qui = il/elle, c'est nous qui = nous, c'est vous qui = vous, ce sont eux qui = ils.
Zéro, employé comme nom
Le nom zéro prend un s au pluriel, contrairement aux autres numéraux cardinaux. Jérôme a de la difficulté à se rappeler combien il y a de zéros dans un million. Il écrit ses zéros comme d'autres écrivent la lettre o.
La locution fait référence à un avenir proche avec plus ou moins d'assurance. Le fait de parler seulement de "quatre matins" donne un délai assez court avant de revoir la personne concernée. C'est un peu comme dire "à bientôt".
«La règle de l'invariabilité vaut pour tous les numéraux cardinaux». Ainsi, cent et vingt prennent la marque du pluriel lorsqu'ils ne sont pas suivis d'un autre adjectif numéral. On écrira donc: «quatre-vingts» mais «quatre-vingt-dix». De la même manière, on notera: «Cinq cents» mais «cinq cent cinquante».
Les mots qui se ressemblent ou PARONYMES
Un paronyme est donc un mot qui ressemble fortement à un autre, de par sa forme ou son orthographe, mais sans avoir le même sens. Il y a parfois juste une lettre ou une syllabe qui change. Quand on entend les deux mots, on peut donc facilement les confondre.
La technique de substitution emploie le trope, procédé consistant à détourner un mot, une expression de son sens propre, pour l'employer dans un sens figuré ou imagé ou encore à remplacer un mot par un autre mot ou par une expression, considérés comme équivalents par glissement de sens.
Définition ancienne de SUCCESSIF, IVE adj.
Qui suit, qui succede, qui vient l'un aprés l'autre.