Le nucléaire est l'une des énergies les moins émettrices de gaz à effet de serre (GES) au monde. Son très faible taux de CO2 - quatre fois moins que le solaire par exemple - en fait une énergie indispensable à la transition bas carbone.
Un impact bien connu : les rejets radioactifs et les déchets
Toutes les installations nucléaires rejettent de la radioactivité dans l'environnement. Ces pollutions contaminent les fleuves, les océans, les nappes phréatiques et l'air.
Outre la lutte contre le dérèglement climatique, l'énergie nucléaire permet de lutter contre la pollution atmosphérique. Une centrale nucléaire n'émet ni dioxyde d'azote, ni dioxyde de soufre, ni particules fines ni poussières, qui contribuent à la pollution de l'environnement, (air, eau et forêts).
Les centrales nucléaires n'émettent que très peu de CO2, elles contribuent donc à la lutte contre le changement climatique. Les émissions de CO2 d'une centrale nucléaire sont comparables à celles des énergies renouvelables.
Ils proviennent par exemple des circuits d'épuration et de filtration d'une centrale nucléaire, collectant une partie des éléments radioactifs engendrés par le fonctionnement de l'installation (tritium, carbone 14, iode, autres produits de fission ou d'activation, gaz rares, etc.).
La sortie du nucléaire s'impose pour de multiples raisons : le risque inacceptable d'un accident majeur comme à Tchernobyl ou à Fukushima, des déchets radioactifs extrêmement dangereux pour des milliers d'années, une production d'électricité extrêmement centralisée, sécuritaire et non démocratique, l'utilisation et la ...
En effet, la production d'électricité d'origine nucléaire génère des quantités démesurées de déchets : chaque année, 23 000 m3 de déchets nucléaires sont produits. Une partie de ces déchets sont hautement radioactifs et le resteront pendant plusieurs milliers d'années.
Inconvénients de l'énergie nucléaires :
Les déchets nucléaires, particulièrement le transport et le stockage des combustibles usés. Les déchets radioactifs sont nocifs pour l'environnement ainsi que pour la santé de la population.
Le principal risque retenu est celui d'un accident au sein d'une centrale nucléaire, qui conduirait à un rejet massif d'éléments radioac fs dans l'atmosphère à par r de l'enceinte de confinement du réacteur. L'accident le plus grave aurait pour origine un défaut de refroidissement du réacteur nucléaire.
LE CHARBON
est la source d'énergie la plus émettrice de CO2 (1 123 kg par tonne équivalent pétrole), devant le pétrole (830), le gaz naturel (651), le solaire photovoltaïque (316), l'éolien (32) et le nucléaire (19). (Sources : Nations unies, Ademe, EDF).
Ces problèmes de corrosion ont été détectés ou soupçonnés au niveau de soudures des coudes des tuyauteries d'injection de sécurité (RIS) - qui permettent de refroidir le réacteur en cas d'accident - reliées au circuit primaire. Cette corrosion dite «sous contrainte» se traduit par des petites fissures.
Le nucléaire émet moins de CO2 que l'éolien.
Concrètement, aujourd'hui, l'électricité nucléaire est parmi celles qui produisent le moins de CO2 sur l'ensemble de son cycle de vie. Évidemment, la construction (ou le démantèlement) d'une centrale nucléaire ou l'extraction de l'uranium émettent des gaz à effet de serre.
Ce type d'exposition détruit certaines cellules (sanguines, digestives, gamètes), détériorant la moelle osseuse ou la muqueuse intestinale. Une exposition forte concerne principalement les personnes les plus proches de la source radioactive, à savoir les sauveteurs et le personnel des centrales.
Nous pouvons citer la vétusté et la faiblesse de la protection des centrales, le (non) traitement des déchets radioactifs, l'extraction de l'uranium et ses méfaits sur les populations locales, les risques de prolifération et l'utilisation de déchets radioactif dans des armes sales, le transport de ces matières sur les ...
Pour le secrétaire d'État allemand à l'Environnement, Stefan Tidow, le nucléaire « n'est pas une énergie verte ni durable », en raison du coût et des risques d'accidents, d'autant que « la question de la gestion des déchets n'est pas résolue ».
Le plus grand risque pour l'environnement est dû aux résidus miniers laissés par le broyage et le traitement du minerai d'uranium. Ces résidus conservent 85 pour cent de la radioactivité du minerai d'origine sous forme de produits de désintégration qui se regénèrent sans cesse.
Mais alors, l'énergie nucléaire est-elle renouvelable ? La réponse est NON, puisqu'elle utilise, pour générer de l'électricité, un élément radioactif qui existe en quantité limitée.
#1 Une énergie bas carbone
Le nucléaire est l'une des énergies les moins émettrices de gaz à effet de serre (GES) au monde. Son très faible taux de CO2 - quatre fois moins que le solaire par exemple - en fait une énergie indispensable à la transition bas carbone.
Le nucléaire ne rejette pas de CO2 mais seulement de la vapeur d'eau ; C'est une énergie qui est disponible toute l'année ; C'est aussi une énergie qui ne coûte pas chèr à produire et elle permet de produire de l'électricité en grande quantité ; Une centrale nucléaire a une durée de vie assez longue (40 ans).
La France dispose peu de ressources énergétiques (gaz, pétrole ou charbon) sur son territoire. Combinée aux chocs pétroliers des années 70, la France a décidé de recourir à l'énergie nucléaire pour assurer sa sécurité d'approvisionnement et acquérir une souveraineté.
Pour Vincent Peillon, «l'énergie la plus propre, c'est le nucléaire»
Le nucléaire est une énergie propre
C'est plutôt FAUX car l'impact environnemental et sanitaire de la production nucléaire n'est pas négligeable (surtout en cas d'accident), même s'il est faible, selon la Société française d'énergie nucléaire (Sfen).
Il s'agit de l'« Introduction, directe ou indirecte, par l'activité humaine, de substances radioactives dans l'environnement, susceptibles de contribuer ou de causer un danger pour la santé de l'homme, des détériorations aux ressources biologiques, aux écosystèmes ou aux biens matériels, une entrave à un usage légitime ...