Le symptôme le plus fréquent d'un sarcome des tissus mous est l'apparition d'une masse ou d'une enflure. Elle peut être associée à une sensibilité locale et parfois à de la douleur à mesure que la masse grossit. Dans le cas du sarcome des os, le symptôme le plus fréquent est la douleur, souvent plus vive la nuit.
Les sarcomes évoluent de manière très différente suivant leur type et leur grade: ils peuvent se développer rapidement ou très lentement. Ils ne provoquent des métastases que dans 30% des cas.
L'herpès-virus lié au sarcome de Kaposi (HVSK) est aussi appelé herpès-virus humain 8 (HHV-8). Ce virus peut causer l'apparition d'un type rare de sarcome appelé sarcome de Kaposi (SK). Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) fait augmenter le risque de SK et de sarcome des tissus mous.
Le cancer des tissus mous affecte différents tissus tels que les muscles, les tendons ou les tissus adipeux, conjonctif et nerveux. Ces tumeurs sont appelées « sarcomes ». Chez l'adulte, les sarcomes se forment le plus souvent aux dépens du tissu conjonctif, des muscles lisses ou du tissu adipeux.
Bien qu'ils puissent se former n'importe où sur le corps, les parties les plus courantes sont la tête, le cou, les bras, les jambes, le tronc, l'abdomen et le rétropéritoine. Il peut y avoir des tumeurs des tissus mous bénignes, intermédiaires ou malignes.
Les os sont en effet les organes les plus exposés aux lésions secondaires d'une tumeur. Mais certains cancers présentent un risque plus élevé d'avoir des métastases osseuses, les cancers du sein, de la prostate et le myélome multiple en premier lieu.
les carcinomes sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes). Exemples: cancers du sein, des poumons, de la prostate, de l'intestin, etc. les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (dits tissus de «soutien»). Exemples: cancers de l'os, du cartilage, etc.
La chirurgie est la pierre angulaire du traitement curatif des sarcomes, quand celle-ci est possible et que la maladie n'est pas métastatique. Elle peut être associée à de la radiothérapie et/ou à de la chimiothérapie.
La chirurgie est le traitement principal des sarcomes lorsqu'ils sont localisés. L'exérèse chirurgicale consiste à enlever la tumeur sans la rompre avec une marge de tissu sain suffisamment large autour, afin de minimiser le risque de récidive locale.
Plusieurs dispositifs extérieurs à la famille et à l'équipe soignante peuvent également aider le patient à accepter la maladie et à faire face : il peut par exemple trouver du soutien auprès de structures d'écoute et d'information. Il peut aussi être bénéfique d'échanger avec un psychologue ou psycho-oncologue.
Le médicament anticancéreux le plus souvent utilisé dans les sarcomes est la doxorubicine. Dans les cas de sarcomes des tissus mous, cette molécule est parfois associée à l'ifosfamide ou à la dacarbazine. Dans les ostéosarcomes, elle est associée au cisplatine et au méthotrexate.
Sarcome : quel risque de récidive ? Dans le risque de récidive locale, la qualité de la chirurgie entre fortement en jeu, mais la gravité et la taille de la tumeur traitée comptent également : plus elles sont importantes, plus le risque de rechute augmente.
Le traitement du sarcome doit être décidé par une équipe pluridisciplinaire (oncologue, chirurgien, radiologue…) spécialisée. Si une opération doit être pratiquée, elle doit être réalisée par un chirurgien entraîné à ce type de tumeurs.
Les sarcomes ne sont pas héréditaires et sont souvent dus à des facteurs environnementaux. Il reste cependant que certaines maladies héréditaires, sont associés avec un risque de faire développer un sarcome des tissus mous.
Ils sont généralement ovales ou ronds et peuvent se développer rapidement n'importe où dans le sein. Ils peuvent provoquer une gêne et même devenir douloureux. Enfin, les tumeurs cancéreuses du sein sont souvent dures, parfois douloureuses, de forme irrégulière et se différencient bien du tissu mammaire environnant.
Les tissus mous sont les tissus qui maintiennent le squelette et les organes, comme les muscles, la graisse et les tendons. On parle aussi de tissus mous pour désigner les vaisseaux sanguins et les nerfs.
Résumé Les tumeurs bénignes contenant de la graisse, dont notamment le lipome, sont les tumeurs des tissus mous les plus fréquentes. Le liposarcome est beaucoup plus rare mais constitue, cependant, le second sarcome des tissus mous en fréquence.
La survie à la plupart des cancers de la peau autres que le mélanome est excellente. La survie relative après 5 ans pour le CBC est de 100 %.
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
L'envie de dormir ressentie par les patients atteints d'un cancer peut survenir à tout moment de la journée et pas nécessairement après un effort, elle peut être particulièrement intense et handicapante. Manque d'énergie, sensation d'épuisement, somnolence…
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant. Il se développe plusieurs mois, voire plusieurs années avant l'apparition des premiers symptômes.