Autrefois ignorés, les arbres ont retrouvé leur place parmi les vivants grâce aux études scientifiques récentes. Ces êtres sont munis d'une « conscience de soi », d'une sensibilité et d'une forme d'intelligence, constatent les chercheurs. Les travaux récents de la biologie végétale ont ouvert la voie à une révolution.
Oui, les arbres sont intelligents
Bien que l'on ne l'explique pas encore scientifiquement, certains arbres de la même espèce font en sorte que leurs cimes ne se touchent pas, afin de ne pas se gêner, laissant entre elles une “fente de timidité”.
Les plantes ont ainsi conscience du type de lumière ou de contact, de la gravité et des signaux chimiques qui les atteignent, de leurs expériences passées et des conditions de leurs modifications physiologiques antérieures (Chamovitz, 2014, p. 166).
Donc c'est exactement ce que tu dis, quand on coupe une feuille à une plante, c'est comme à nous lorsqu'on nous coupe les cheveux ou l'extrémité des ongles, elles ne ressentent rien. Même lorsqu'on lui coupe trop de feuilles ou une branche, ce qui représente un danger, elle ne ressentira rien.
La souffrance des plantes, aussi hypothétique qu'inexistante. Il n'y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Nous ne pouvons donc pas dire aujourd'hui que les plantes souffrent.
Selon les recherches menées par Peter Wohlleben, spécialiste en écologie forestière, les arbres ont des émotions, ils sont capables de ressentir la douleur, la peur et même l'affection.
Aussi incroyable que cela paraisse, les plantes sont capables d'éprouver toute la gamme des émotions. Et comme on l'a récemment démontré, elles savent aussi, par les moyens les plus extraordinaires comme les plus simples, transmettre ce qu'elles ressentent. La nature ne cesse de nous parler, preuves à l'appui.
Les plantes sont des êtres vivants, il est donc normal de penser qu'elles peuvent ressentir la douleur, mais la réponse à cette question est négative : les plantes ne ressentent pas la douleur, car elles ne disposent pas du système nerveux et du cerveau pour traiter les stimuli de cette manière.
Pour stopper l'écoulement de sève et de gomme il y a plusieurs solutions : La plus efficace et surtout la plus protectrice est d'appliquer un "mastic fongicide de cicatrisation". C'est un produit que l'on trouve dans toutes les jardineries.
Est-ce que les animaux et les plantes sont des êtres vivants? Oui, car ils se nourrissent, se développent et se reproduisent, tout comme les êtres humains. D'ailleurs, en biologie, les êtres humains font partie des animaux.
Les arbres communiquent par l'air
Le système racinaire n'est toutefois pas le seul mode de communication des arbres entre eux. Ainsi ont-ils développé plusieurs sens, comme nous. Non seulement le toucher, mais aussi le goût, ou l'odorat, sinon la vue.
Pour que leur croissance soit verticale, les arbres ont besoin à la fois d'un « squelette », qui est obtenu par la rigidité et la résistance du tronc, et d'une « musculature » pour contrôler leur posture en générant des forces compensant l'effet de la gravité.
Les plantes réagissent physiologiquement à ces stimulations extérieures. Elles ne sont pas seulement capables de percevoir des signaux, elles peuvent aussi en envoyer. Autrement dit, elles communiquent entre elles. Il y a encore des découvertes fabuleuses à faire au sujet de la sensibilité des plantes.
Dans le monde végétal, en revanche, il n'y a pas d'organe dédié à la cognition (cerveau). L'information est donc traitée par toutes les cellules de la plante, là aussi par des signaux électriques et chimiques, mais sans être centralisée.
Dans leur constitution, les arbres sont déjà munis de solides défenses vis-à-vis des insectes herbivores. Leurs feuilles, par exemple, sont dotées de propriétés physiques et chimiques limitant la consommation des insectes : une cuticule épaisse rend ainsi la feuille difficile à déchirer et à digérer.
Les arbres attirent la pluie. Leur feuillage et leur système racinaire filtrent l'eau. Ils jouent également un rôle de stabilisateurs pour les sols. Et bien sûr, ils abritent une flore et une faune exceptionnelles.
En période de sécheresse profonde, les racines d'un arbre planté près de la maison vont contribuer à assécher le sol. Dans ce cas, le sol se contracte et s'éloigne de la fondation et il peut arriver que la fondation, qui n'est plus retenue par la masse de terre qui la soutenait, se relâche et se fissure.
Ainsi, la sève pourra circuler librement au printemps. Dès le mois de janvier et jusqu'à fin février, parfois même jusqu'en mars, la croissance des arbres est relancée au niveau de leurs bourgeons. Elle est alors si lente qu'elle reste invisible. Paradoxalement, c'est le froid qui va lever cette phase de dormance.
L'élagage d'un arbre est bénéfique, à la fois pour la santé et le développement de celui-ci. Cela lui permettra d'orienter sa croissance, d'améliorer son esthétisme et d'être rééquilibré pour que ses ressources végétales puissent se répartir au mieux dans ses branches.
Aucune étude scientifique sérieuse n'a jamais décelé la moindre trace de souffrance chez les plantes. Actuellement, les plantes ne sont donc pas reconnues comme des êtres pouvant éprouver des émotions et une capacité à souffrir.
Depuis 30 ans, les travaux des biologistes révèlent que les plantes sont sensibles au toucher et aux flexions. Lorsqu'elles sont soumises au vent, elles ont une croissance en hauteur moins importante mais un meilleur ancrage racinaire et une croissance en épaisseur plus visible.
Une étude récente publiée dans la très sérieuse revue Science permet de constater que les plantes réagissent aux agressions en déclenchant un système de défense similaire à celui qui existe chez les animaux quand bien même elles ne possèdent pas de système nerveux.
FemininBio : Vous publiez “Les émotions cachées des plantes”. Ce serait donc vrai ? Les plantes ressentent des émotions ? Didier van Cauwelaert : Oui, absolument !
L'hylophobie (aussi connue sous les termes de xylophobie ou ylophobie) est un trouble psychologique caractérisé par une peur irrationnelle des bois, forêt ou des arbres.
Peur irraisonnée des forêts.