Dirigeons-nous alors vers les dictionnaires. Le Petit Robert est très clair, le mot fait son pluriel avec deux «s».
Le mot maman s'écrit comme il se prononce, sans lettre muette, sans consonne double.
En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit. Cette terminaison « s » ne se prononce pas. Les marques du pluriel sont souvent muettes à l'oral. Un cheveu -> des cheveux.
belle-mère, belles-mères.
belles-mères. La mère du conjoint ou de la conjointe.
Il est vrai que le mot quatre contient l'idée de pluriel, car c'est un nombre plus grand que 2, mais il ne prend jamais de s de pluriel. Ce qui se met au pluriel, c'est plutôt le nom qui suit : les quatre saisons , à quatre pattes , quatre frères , entre quatre murs .
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux. Les noms en -s, -x et -z ne prennent pas de marque du pluriel.
Exceptions : pneu, landau et bleu prennent un –s au pluriel. Les mots en -al au singulier ont un pluriel en -aux. Exceptions les plus courantes : carnaval, festival, chacal, récital, fatal, banal, natal, naval prennent un –s au pluriel.
Le Petit Robert est très clair, le mot fait son pluriel avec deux «s». On écrit ainsi «grands-mères», «grands-pères», «grands oncles» et «grands-tantes». Soit, l'exact opposé du Trésor de la langue française. Selon ce dernier, il n'existe en effet qu'une seule règle: «grand-mères», «grand-mamans».
beau-frère, beaux-frères
2. Frère du conjoint ou de la conjointe.
arrière-grands-mères.
papa (n.) 1. homme qui a donné naissance à un ou plusieurs enfants (ex: père de famille, mon père-->papa).
Papa aime et maman aussi. Ils dispensent le même amour tous les deux. Les deux sujets papa et maman sont coordonnés par et.
Ce qui est sûr, c'est qu'employés comme nom communs, les termes de parenté ne prennent pas de majuscule : une habitude à la papa, un air de grand-père, la maman de mon copain, etc.
Plur. : des ails (pluriel courant) ou des aulx (vieux ou régional). Ail s'emploie rarement au pluriel (on dit des gousses d'ail, des têtes d'ail).
La forme plurielle comme nous la connaissons de nos jours ne s'est imposée qu'à partir du XVIème siècle. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le terme “obsèques” désigne une pluralité, notamment une pluralité de rituels permettant d'honorer une personne décédée.
Pour « amour », les poètes ont pris l'habitude de le mettre au féminin. C'est pourquoi on va le retrouver au féminin, même au singulier, dans certaines poésies. Par contre au pluriel, dès que le mot désigne une représentation de Dieu en peinture ou en sculpture, il faut le laisser au masculin.
Lorsqu'il y a un seul s dans le mot, il peut donner soit le son [z] soit le son [s]. En effet, la règle générale est que le son [z] se produit lorsque le -s- est précédé et suivi par une voyelle. Dans le cas contraire, il s'agit du son [s].
Déterminant numéral cardinal, avec le sens d'« aucun », zéro est singulier et invariable.
Un impératif et un infinitif joints par un trait d'union forment ce nom masculin invariable. - Plur. : des laissez-passer.
Hormis « vingt » et « cent », aucun adjectif numéral cardinal ne prend de « s » (cinq, sept, huit…).