Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même. Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme.
Le refus du travail a-t-il un sens ? Si le refus du travail a un sens, c'est que le travail en lui même est insensé ou absurde. Le problème soulevé par cette question est donc celui du sens du travail que l'on peut interpréter comme étant le problème de la valeur du travail.
Cf. la condamnation divine dans la Genèse lorsqu'il est dit à Adam : « Tu travailleras à la sueur de ton front ! ». Le travail apparaît comme une condamnation, c'est donc un devoir de travailler.
Par une conversion dialectique exemplaire, le travail servile lui rend alors sa liberté car il sait comment s'y prendre pour dominer la nature tandis que le maître, qui ne sait plus travailler, a de plus en plus besoin de son esclave et devient en quelque sorte esclave de l'esclave.
Le travail transforme la nature mais, selon Marx, il transforme aussi l'homme lui-même. En travaillant, l'homme actualise ses dispositions, y compris celles qui lui sont propres et concernent la conscience et l'esprit. C'est donc par le travail que l'humanité se construit.
Le travail est un vecteur de développement personnel et préserve nos capacités intellectuelles. Et il ne faut pas oublier que le travail est valorisant, nous assigne un rôle dans la société, un statut social et une reconnaissance de la part des autres déterminant pour une bonne santé mentale.
Le travail, c'est la plus grande bénédiction que Dieu a donné à l'homme. Certains hommes se croient d'une nature trop active pour s'astreindre à un travail quelconque. Quand un homme parle à un autre homme, qui ne comprend pas, et que celui qui parle ne comprend pas non plus, ils font de la métaphysique.
Moins de sécurité – Vous devrez assumer la responsabilité de toujours trouver du travail à faire. Cela signifie que vous serez parfois sans travail et, par conséquent, sans revenu.
Plus qu'une manière de subvenir à nos besoins, le travail est désormais un vecteur d'épanouissement et de réalisation de soi : il donne un sens à notre vie et nous permet de nous sentir utile à la société. La question du bien-être et de la qualité de vie au travail prend donc tout son sens.
Au-delà d'être une source indispensable de revenus, le travail apparaît comme un vecteur de sociabilité pour beaucoup de salariés, notamment chez les femmes et les plus jeunes. C'est l'occasion de faire de nouvelles rencontres, d'y nouer des amitiés et parfois même d'y trouver nos futurs partenaires professionnels.
Selon les actifs français (72%), le travail permet effectivement de se sentir heureux de manière générale. Ils sont aussi 44% à se rendre chaque jour « avec plaisir au travail ».
La valeur travail est un concept économique ancien, que l'on retrouve chez Adam Smith, David Ricardo et Karl Marx. Ce concept part du principe que le prix de vente d'un bien ou d'un service est uniquement fonction de la quantité de travail qui a été nécessaire pour sa production ou sa réalisation.
Le travail est une nécessité. En effet, l'Homme n'a pas le choix, il est obligé de travailler, car s'il ne travaille pas, il meurt. La nature, spontanément, ne lui fournit pas de quoi survivre. Donc plutôt que de parler d'obligation, on peut dire que le travail est une contrainte.
A cette question, on peut répondre que par le travail comme source de libération, l'homme perd sa soumission à la nature et gagne son autonomie. Mais l'homme peut aussi y « perdre son âme » : le travail peut, au lieu de transformer l'homme, menacer sa propre vie, comme dans le travail forcé.
Conclusion : Le travail apparaît comme une activité dont l'Homme ne peut pas se passer, parce qu'il est une nécessité lié à sa nature mais aussi parce que le travail est un moyen pour lui de se libérer et de s'épanouir. Cependant, il n'y a pas de travail sans technique.
le travail est un moyen de vivre rien de plus. certe le travail est nécessaire a la vie par le seul fait qu'il apporte un salaire qui lui est nécessaire a la survie.
Il est important de savoir que le travail rend libre comme il peut également aliéner l'homme. Tout dépend donc de nous. Le travail a permis à l'homme de se libérer de la nature, de se sociabiliser et d'emmagasiner des connaissances, donc de devenir quelqu'un de meilleur.
Le travail, c'est la liberté. La liberté, c'est celle des autres. Le travail, c'est celui des autres.
Non, il ne faut pas renoncer à faire du travail une valeur
Le travail exige un effort et une tension de la volonté: par lui, l'homme exploite ses capacités individuelles et canalise l'énergie de ses passions (son ambition, son désir d'acquérir ou d'être reconnu par exemple), dans un but d'utilité commune.
Toute activité visant à la production d'une oeuvre utile. Spécialement, ensemble des activités accomplies par l'homme pour produire des biens et des services en contrepartie desquels il est rémunéré.….