Le manioc est une plante-racine que l'on retrouve dans les pays tropicaux. Mais attention, le manioc contient des glycosides cyanogéniques (la linamarine) qui peuvent se transformer en acide cyanhydrique et provoquer de graves intoxications, voire la mort.
Les bienfaits du manioc
De par sa richesse en glucides, en amidon et en fibres alimentaires, le manioc représente un réel avantage pour la santé. Il est à la fois très digeste, rassasiant et a un effet régulateur sur le transit intestinal.
Le manioc, malgré ses apparences est un tubercule très fragile parce qu'il est gorgée d'eau. Gardez-le au sec et à l'ombre et à l'abri de la chaleur, comme dans le bac à légume de votre réfrigérateur. Il est préférable de le consommer rapidement, il ne se converse pas plus de quelques jours.
Le manioc regorge également de minéraux comme le zinc, le cuivre et le magnésium, qui donnent de l'énergie au corps. C'est une source extraordinaire de potassium, qui contribue à produire des fluides cellulaires, et il régule le rythme cardiaque et la tension artérielle.
La manière la plus courante de détoxifier le tubercule est la fermentation par des lactobactéries naturelles. On peut cloner les gènes de ces microorganismes pour améliorer cette méthode.
La linamarine est un glucoside cyanogénétique qui est transformé en acide cyanhydrique toxique ou acide prussique lorsqu'il entre en contact avec la linamarase, une enzyme qui est libérée quand les cellules des racines de manioc se rompent.
Un rapport de la FAO a confirmé que tremper le manioc dans de l'eau pendant cinq jours avant de le sécher puis le manger permet de réduire fortement le niveau de cyanure et ainsi le rendre comestible.
La tension artérielle au repos chez les hommes de 20 à 29 ans était de 106/68 mm Hg, comparativement à 120/70 mm Hg chez les hommes de 70 à 79 ans. La tension artérielle moyenne au repos des femmes de 20 à 29 ans était de 99/65 mm Hg, comparativement à 128/70 mm Hg chez les femmes de 70 à 79 ans.
Une simple lecture indique les aliments qu'il faut interdire aux diabétiques : la farine de manioc, le tapioca indigène, toutes les céréales (sauf peut-être le pain en quantité contrblée), les fruits très sucrés et les fruits secs, les beignets de tous ordres, et les sucreries en gknéral.
En effet, la forte teneur en glucides constatée dans le manioc est principalement due à de l'amidon léger qui n'impacte pas vraiment la glycémie. Par ailleurs, ne contenant que peu de protéines et de matières grasses comme démontré plus haut, le manioc peut aisément être intégré dans un régime amaigrissant.
Sa forte teneur en amidon et en fibres le rend facile à digérer. En outre, il favorise le transit intestinal et permet de soulager les problèmes d'estomac et les irritations du côlon mais également de lutter contre la constipation et la diarrhée. Autre vertu du manioc : il est rassasiant.
Le manioc est une excellente source de vitamine C, un antioxydant favorisant la santé immunitaire et la production naturelle de collagène. Une tasse du légume-racine cuit en contient 29 mg, soit environ 39% de votre apport quotidien recommandé.
Le manioc, très riche en glucides, peut remplacer la pomme de terre, le riz, les pâtes, le blé, … Ensuite, vous pouvez consommer ce super féculent soit en le faisant bouillir, soit en le faisant frire, soit encore en vapeur (après être bouilli), soit enfin en en faisant de la purée.
L'ingestion de la racine, en créant un afflux de sang dans le corps, entraîne bouffées de chaleurs et excitation sexuelle.
Selon plusieurs méta-analyses, la consommation d'amidons résistants peut aider à réduire la glycémie à jeun et celle postprandiale, de même qu'améliorer la sensibilité à l'insuline, en particulier chez les diabétiques avec surpoids ou obèses2,3.
Il n'existe donc aucun fruit à éviter. Le fruit fait partie de l'équilibre alimentaire. Certains sont plus sucrés que d'autres en termes de goût mais cela ne signifie pas que leur index glycémique est élevé.
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
réaliser 3 mesures espacées d'une à deux minutes, le matin avant le petit–déjeuner et avant d'avoir pris vos médicaments ; effectuer également 3 mesures espacées d'une à deux minutes le soir avant de vous coucher ; répéter ces mesures biquotidiennes pendant 3 jours de suite.
Manihot esculenta est le manioc dit "amer" : ses racines longues doivent être minutieusement préparées pour éviter sa toxicité. Manihot opi, quant à lui, est le manioc "doux" : les racines sont plus petites et peuvent être consommées telles quelles, tout comme ses feuilles.
Après l'ébullition, il faut attendre 10 à 15 minutes avant de mettre fin à la cuisson. Les morceaux de manioc deviennent plus tendres et sont facilement pénétrés par une fourchette. La cuisson doit être stoppée aussitôt lorsque le tubercule est cuit afin d'éviter qu'il absorbe l'eau dans laquelle il est cuit.
Une bonne racine de manioc sera dure, sèche et propre. sans moisissures ni surfaces gluantes. Évitez un manioc qui dégage une forte odeur ou qui présente des parties de couleur gris-bleu qui traduisent un fort taux d'acide cyanhydrique.