Le syndrome du côlon irritable n'est pas détecté par des tests de laboratoire, des rayons X ou une endoscopie. Votre médecin peut toutefois demander que vous subissiez d'autres tests, surtout si vous présentez des signes avant-coureurs.
Une coloscopie est légitime chez les patients SII-D (SII avec diarrhée prédominante) pour éliminer une colite microscopique ou une MICI; dans les autres cas elle ne doit être réalisée qu'en présence de signes d'alarme ou de facteur de risque de cancer colo-rectal.
Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
Ces symptômes surviennent généralement après les repas. D'autres symptômes, qui ne sont pas directement reliés aux intestins, sont parfois présents. Par exemple, des maux de tête, des nausées, des brûlures d'estomac, une douleur pelvienne chronique, des maux de dos (bas du dos) et des troubles du sommeil.
Lombaires : vessie, utérus, prostate, ovaires, côlon
Le côlon et la fin de l'intestin grêle donneront également ce type de lombalgie. Des constipations, des diarrhées, des crampes ou également des ballonnements illustrent plutôt une souffrance du côlon.
Eviter les chewing-gums. Boire beaucoup d'eau plate. Éviter les aliments glacés (qui provoquent des crampes). Réduire les matières grasses (qui stimulent les mouvements intestinaux).
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
Parfois aussi des symptômes extradigestifs, comme des maux de tête, des douleurs musculaires ou une grande fatigue... Bien que bénin, le syndrome de l'intestin irritable (SII) peut avoir un retentissement très important sur la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes.
Quel est le risque de complication ? Affectant l'ensemble du côlon, la pancolite est une forme grave de colite. En l'absence d'un traitement médical adéquat, le développement de l'inflammation peut entraîner des effets néfastes pour la santé. Une pancolite augmente notamment le risque de cancer du côlon.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
La colopathie fonctionnelle ou syndrome du côlon irritable est une maladie intestinale fréquente qui touche 1 français sur 4. Elle cause des douleurs abdominales qui irradient parfois dans le dos et/ou le haut des cuisses.
Les causes du syndrome du côlon irritable ne sont pas connues. Environ la moitié des personnes qui en souffrent se décrivent comme stressées et rattachent les crises de colopathie à des périodes de fatigue ou de stress intense. De plus, le repos et les vacances semblent réduire la fréquence et l'intensité des crises.
Aussi ennuyeux qu'il puisse être, le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Les intestins ne sont pas enflammés et il n'y a pas de risque accru de cancer de l'intestin. La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire de l'intestin. Ici, les intestins sont chroniquement inflammés.
Lors de poussées de maladie de Crohn, les patients souffrent de maux de ventre (en particulier après les repas), d'épisodes de diarrhée pouvant durer plusieurs semaines, d'émissions de selles contenant du sang (parfois en quantité importante) ou des glaires, ainsi que de nausées, de vomissements et de perte d'appétit.
Les plus courants sont la gastroscopie et la coloscopie. Le premier nous permet de voir d'éventuelles lésions le long de l'oesophage, l'estomac, jusque dans le duodénum (première partie de l'intestin grêle). Grâce au deuxième, nous pouvons examiner le rectum, le colon et le début de l'intestin grêle.
D11 / D12 : Intestin grêle - Circulation lymphatique. D12 / L1 : Gros intestin ou côlon - Anneaux inguinaux.
Dans la plupart des cas, les individus souffrant de colopathie fonctionnelle ressentent des douleurs abdominales se caractérisant par une tension abdominale persistante associée à une sensation de spasme ou de crampe.
Les signes et les symptômes de la lombalgie
Vous pourrez souffrir de douleur au bas du dos, dans les fesses, les jambes. La douleur peut aussi irradier vers le bas du ventre, dans l'aine ou les organes génitaux.
Habituellement, 1 seul diverticule est en cause, situé dans le sigmoïde. Douleur : - Début brutal, persistante. - Localisée en FIG, irradiant dans le dos fréquemment.
Parfois qualifiée d'appendicite gauche, les symptômes les plus courants de la diverticulite sont, dans 90 % des cas, des douleurs dans la partie gauche basse du ventre, la fièvre chez un patient sur 2, de la constipation et, parfois, une augmentation du taux de globules blancs dans le sang.
Potentiellement grave par ses complications (abcès, fistule, hémorragie, péritonite, rétrécissement de l'intestin), la diverticulite peut récidiver et devenir invalidante. Dans ce cas, un traitement chirurgical peut être prescrit pour enlever la zone du côlon qui porte les diverticules.
Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Oui ! Le fromage contient des acides aminés qui aident à prévenir les maladies intestinales. Présents en grandes quantités dans les protéines du lait, ces acides aminés assurent l'intégrité de la muqueuse intestinale sur la paroi intestinale et stimulent les bactéries saines de la flore intestinale.