Voici les causes les plus fréquentes de douleur à la jambe : Les fractures osseuses, qui se caractérisent par des douleurs vives, suite à un traumatisme. Les tendinites. Les blessures musculaires, plutôt fréquentes chez les sportifs, et qui peuvent être plus ou moins graves (contusion, élongation ou déchirure)
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
L'alcool peut aussi avoir une influence très négative sur la goutte. Il s'agit d'une forme particulière d'arthrite qui entraîne des crises de douleur intenses et soudaines. Elles seraient provoquées par un taux anormal d'acide urique, l'alcool venant stimuler sa production.
Une consommation d'alcool trop abusive dérègle le système immunitaire et vient renforcer les problèmes d'arthrite. Face à une maladie chronique articulaire, comme l'arthrose, il est déconseillé de boire de l'alcool. À l'inverse, il est conseillé de boire beaucoup d'eau.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
On peut penser que ces crampes sont dues aux sulfites, un additif alimentaire largement utilisé en œnologie, pour ses propriétés antiseptiques et antioxydantes. Les quantités de sulfites autorisées sont deux fois supérieures dans les vins blancs et mousseux par rapport aux rouges.
La polynévrite est une maladie inflammatoire qui affecte l'extrémité des nerfs du système nerveux périphérique. Les causes sont multiples (diabète, alcoolisme, médicaments...) et son évolution est généralement lente. Environ 5 % de la population est touchée et sa fréquence augmente avec l'âge.
La consommation d'alcool est associée à des crampes aux jambes nocturnes.
Les douleurs musculaires, également appelées myalgies, peuvent être liées à des lésions ou à une accumulation d'une substance précise dans les tissus musculaires. Elles apparaissent souvent après un effort physique ou des étirements trop intenses, bien que certains médicaments puissent également provoquer des myalgies.
Il était déjà bien établi qu'une forte consommation d'alcool pouvait augmenter le risque de souffrir de la goutte. En effet, la transformation de l'alcool dans le corps produit une substance appelée acide urique qui est la principale coupable dans le développement d'une crise de goutte.
Les pathologies vasculaires et nerveuses :
insuffisance veineuse : sensation de jambes lourdes. présence de varices : veines dilatées et tortueuses. une sciatique (ou inflammation du nerf sciatique) : la douleur part d'une fesse et descend dans la jambe en suivant le trajet du nerf sciatique.
Il peut donc s'agit d'une maladie chronique ou encore d'une insuffisance veineuse. L'insuffisance veineuse chronique survient lorsque les valvules des jambes ne fonctionnent pas de manière optimale et que le sang ne peut pas circuler de manière fluide dans les jambes.
Vous pouvez aussi lever les jambes en l'air pendant quelques instants, et faire de petits mouvements de pédalage pour soulager vos jambes lourdes et douloureuses. Il est enfin possible de surélever les pieds du bas de son lit de quelques centimètres.
Dans un rapport de l'OCDE publié mercredi, on apprend qu'une consommation excessive fait perdre en moyenne près d'un an d'espérance de vie aux populations de 52 pays, en raison des maladies et des accidents qu'elle cause.
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
Une sensation de «paralysie» des pieds ou des mains, une sensation de «léthargie» au niveau des membres, des picotements douloureux, semblables à des aiguilles, une sensation de brûlure. Un affaiblissement musculaire au niveau des bras et des jambes, accompagné parfois de crampes.
Troubles de l'appareil locomoteur : arthrite ou arthrose, blessure ou pathologie des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires ou neuromusculaires. Troubles de l'équilibre, souvent causés par des maladies de l'oreille interne, ou par certaines des affections neurologiques citées plus haut.
Effectivement, tout type d'alcool, peut importe que ce soit du vin rouge ou de la bière, peut exacerber l'oedème. L'alcool exerce une action sur le foie qui empêche de produire adéquatement certains types de protéines comme l'albumine ce qui entraîne une accumulation de liquides dans les membres inférieurs.
Une consommation excessive d'alcool peut entraîner des lésions des nerfs et de certaines parties du cerveau. Lorsque les nerfs des bras et des jambes (nerfs périphériques) sont touchés, les personnes peuvent présenter une perte de sensation ou des picotements au niveau des mains et des pieds.
La pauvreté, l'isolation sociale, une éducation déficiente et la timidité peuvent aussi constituer des facteurs de risque. En outre, la façon dont le corps d'une personne traite l'alcool peut avoir des répercussions sur le risque de dépendance à l'alcool.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.