Depuis la loi du 11 juillet 1965, l'adultère a perdu son caractère péremptoire : elle n'est plus une cause automatique de prononcé du divorce. De plus, depuis cette loi, l'adultère n'est plus un délit pénal.
Il peut s'agir d'une violation des obligations et devoirs suivants : Fidélité, comme l'adultère (toutefois, l'adultère n'est plus une cause systématique de divorce notamment en cas de séparation de fait des époux)
L'infidélité peut justifier un divorce pour faute. La loi permet, en effet, à l'un des époux de demander le divorce lorsque des faits «constitutifs d'une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage sont imputables à son conjoint et rendent intolérable le maintien de la vie commune» (1).
L'adultère était considéré comme un délit pénal, il était puni de deux ans d'emprisonnement par les femmes qui commettaient ce délit (ancien article 337 du Code Pénal). Il ne l'est plus depuis la loi du 11 juillet 1965.
L'article 212 du code civil dispose « Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance ». La violation du devoir de fidélité constitue l'adultère et est vécu comme une trahison, qui pourra être appréhendée comme une tromperie, une grave inconduite, une injure.
Et devinez quoi, le plus souvent, c'est le cas. Parfois, l'infidèle a un trouble de déficit de l'attachement. Parfois, l'infidèle a un traumatisme d'enfance non résolu et utilise l'excitation du sexe et de la romance illicites comme une distraction des sentiments douloureux.
Un amant pour se sentir désirée
Pourtant la femme a besoin - du moins envie - de se sentir désirée. Avec un amant, c'est toute la période préliminaire de séduction qui reprend : la femme prend plaisir à faire de nouveau attention à elle pour plaire à son amant, et se délecte d'être courtisée par un nouvel homme.
L'adultère (nom masculin) est « le fait pour un époux ou une épouse de violer son serment de fidélité, de partage, et d'avoir des relations sexuelles avec une personne autre que son conjoint envers qui il a affirmé ce serment ». Couramment, on parle également d'infidélité.
Définition de maîtresse nom féminin
➙ bien-aimée, fiancée. vieilli Femme qui a des relations amoureuses et sexuelles plus ou moins durables avec qqn sans lui être mariée. Ils sont amant et maîtresse (➙ liaison).
Autre limite claire, selon Mireille Bonierbale : « L'infidélité débute avec la préméditation, quand on a l'intention de tromper son conjoint, que ce soit par vengeance ou par désir de piment sexuel. » Le contexte joue ainsi un rôle important, aussi bien dans le passage à l'acte que dans la vision qu'on en a.
Les sanctions de l'adultère sont, d'une part, le prononcé du divorce pour faute à l'encontre de son auteur (2.1) et, d'autre part, la condamnation au paiement de dommages et intérêts au profit de "la victime" (2.2).
Le non-respect de l'un de ces devoirs du mariage constitue une faute conjugale. L'adultère peut se définir comme la violation du devoir de fidélité. Elle constitue donc une faute conjugale, qui peut être sanctionnée par le prononcé du divorce aux torts exclusifs du conjoint ayant violé le devoir de fidélité.
Les conséquences de l'adultère
Néanmoins, si prouvé, l'adultère peut entraîner le divorce pour faute, dans la mesure où le maintien de la vie commune n'est plus possible. Les torts reviendraient alors exclusivement au conjoint infidèle.
L'aventure extra-conjugale répond alors à un besoin de confiance en soi ou de la peur de vieillir, de ne plus plaire, ou de toute autre question personnelle qu'elle vient alimenter.
Pour être de bons maris et afin que leur mariage dure, ils estiment devoir tromper leur femme.
Son problème : c'est un homme qui aime l'amour et quand il aime une femme, il peut s'éprendre d'une autre tout en continuant d'aimer la première. Il s'agit donc d'un homme à fidélités multiples. Il peut donc aimer et tromper à la fois… Effectivement.
POLYANDRIE, subst. fém. A. − SOCIOL., ANTHROPOL.
« Quand on aime, on ne trompe pas. Si tu as pu me tromper, je ne peux pas te pardonner. »
Quant au rythme idéal, 5 femmes sur 10 et 6 hommes sur dix se disent satisfaits dès lors qu'ils peuvent retrouver leur partenaire officieux une fois par semaine. En revanche, les femmes réclament des signes d'attention réguliers. 38 % attendent un appel ou un texto de leur amant au moins une fois par jour.
Il s'avère, tout d'abord, que l'homme marié affirme souvent aimer sa maîtresse bien plus que son épouse, et cela avec une grande sincérité. Si on lui demande : «Aimez-vous votre épouse ?», il hésite fréquemment : «Je ne sais pas», «Je ne suis pas sûr». «Aimez-vous votre amante ?». «Oui».
Une étude menée par chercheurs de l'Université de Denver (USA) affirme que la personne infidèle dans un couple aurait trois fois plus de chances de tromper à nouveau dans sa prochaine relation qu'une personne qui a toujours fait preuve de fidélité.