La cystite interstitielle est une maladie de la vessie rare mais invalidante qui a changé de nom. Elle s'appelle désormais le syndrome de la vessie douloureuse. Elle se caractérise par des douleurs au bas-ventre et des envies fréquentes d'uriner, le jour comme la nuit.
L'infection urinaire : inflammation ou infection de la vessie. Principaux symptômes : douleurs au niveau du bas-ventre et parfois du dos, envie fréquente d'uriner, volume d'urine faible, émission d'urine difficile et douloureuse, brûlures en urinant.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
(Cystite) On appelle cystite l'infection de la vessie. Les agents responsables de la cystite sont généralement des bactéries. Les symptômes les plus courants sont un besoin fréquent d'uriner et une douleur ou une sensation de brûlure à la miction.
Le symptôme principal est la présence de sang dans les urines en fin de miction (hématurie) : ce sont les dernières gouttes d'urine qui seront teintées de sang. Le polype peut aussi se manifester par des brûlures en urinant ou par des envies douloureuses d'uriner.
(Syndrome de la vessie douloureuse)
La cystite interstitielle produit une douleur au-dessus de la vessie, dans le bassin ou dans la partie inférieure de l'abdomen et provoque une nécessité fréquente et impérieuse d'uriner, parfois accompagnée d'incontinence.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.
En bas de la vessie, on trouve l'urètre, autre fin "tuyau" par lequel l'urine va s'écouler à chaque miction. Chez l'homme, la vessie se situe devant le rectum, avec en dessous la prostate, une glande qui entoure l'urètre. Chez la femme, la vessie est devant le vagin et l'utérus.
L'inflammation de la vessie est due le plus souvent à des bactéries qui pénètrent dans l'urètre et parviennent jusque dans la vessie. Les agents pathogènes de l'infection sont la plupart du temps des bactéries Escherichia coli (E. coli).
La fistule colo-vésicale désigne une connexion anormale entre la vessie et le côlon. Il s'agit par exemple d'une complication rare de la diverticulose colique, une maladie se caractérisant par la présence de diverticules à l'intérieur de la paroi du côlon.
Traditionnellement, on fait appel à des plantes médicinales telles que les feuilles de bouleau, les feuilles d'ortie, les feuilles d'orthosiphon ou le solidage verge d'or : une infusion avec Sidroga Feuilles d'ortie, Sidroga Feuilles de bouleau ou avec Sidroga Tisane pour la vessie et les reins.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
Les facteurs de risque de la vessie hyperactive
l'infection urinaire. la présence de calculs rénaux. des troubles du système nerveux. une consommation accru de boisson contenant de la caféine.
Un spasme de la vessie est une contraction musculaire au niveau de la paroi de la vessie. Les spasmes entraînent fréquemment une incontinence par impériosité. Examinons ce que sont ces contractions, qui peuvent être extrêmement dérangeantes, pourquoi elles se produisent et comment calmer les spasmes de la vessie.
Le principal symptôme lié au cancer de la vessie est l'hématurie, c'est- à-dire la présence de sang dans les urines. On le retrouve chez 90 % des patients environ. Le saignement apparaît souvent à la fin de la miction. Les urines peuvent être légèrement rosées, rouge foncé ou bordeaux selon l'intensité du saignement.
Des douleurs dans le bas du ventre, ou d'autres signes plus alarmants (perte de poids, fatigue persistante, douleurs osseuses…) marquent la propagation du cancer de la vessie (métastases).
Lorsqu'on suspecte un cancer de la vessie, des examens d'imagerie sont essentiels pour affirmer la présence de la tumeur. Ces examens sont centrés sur la réalisation d'une imagerie en coupes, principalement un uroscanner.
La cystoscopie ou fibroscopie vésicale (en cas d'appareil souple en fibres optiques) est l'exploration endoscopique de la vessie. Cet examen consiste à explorer le canal de l'urètre et l'intérieur de la vessie, après introduction d'une petite caméra dans la verge ou au niveau de l'urètre chez la femme.
Le tabagisme actif est le premier facteur de risque de cancer de la vessie : il est classé cancérogène certain (groupe 1) par le CIRC. En France, le tabagisme serait responsable de 53% des cas de cancers de la vessie chez les hommes, et de 39% chez les femmes.