La douleur musculaire peut affecter tous les muscles du corps et est un symptôme d'hypothyroïdie. Les symptômes musculaires du corps tels que la raideur, la douleur, la faiblesse et les courbatures affectent 30 à 80% des personnes atteintes d'hypothyroïdie.
Fatigue et faiblesse. Augmentation du rythme cardiaque et palpitations. Douleurs et faiblesse musculaires. Troubles oculaires.
C'est une inflammation de la thyroïde d'origine virale (virus coxsackie, ourlien ou adénovirus). Dans ce cas, la glande thyroïde est le plus souvent douloureuse. Douleur à la face antérieure du cou pouvant irradier vers les oreilles et augmentée par la déglutition, la toux ou les mouvements du cou.
On retrouve initialement un tableau grippal avec fatigue, courbatures, rhinopharyngite. Puis apparaissent des douleurs en avant du cou irradiant vers les mâchoires et les oreilles, une difficulté à avaler, une fièvre modérée. Il existe une augmentation douloureuse de volume de la thyroïde (goitre).
La douleur musculaire peut affecter tous les muscles du corps et est un symptôme d'hypothyroïdie. Les symptômes musculaires du corps tels que la raideur, la douleur, la faiblesse et les courbatures affectent 30 à 80% des personnes atteintes d'hypothyroïdie.
Le goitre (l'augmentation du volume de la glande thyroïde)
la maladie de Basedow – dans laquelle la thyroïde augmente de volume et produit trop de thyroxine. la thyroïdite (inflammation de la thyroïde) – qui peut avoir plusieurs causes, notamment une infection virale.
Les états d'hypo et d'hyperthyroïdie peuvent s'accompagner de troubles psychiques. Dans l'hypothyroïdie, il s'agit souvent de manifestations dépressives avec fatigue, ralentissement, perte d'intérêt, repli sur soi et plaintes somatiques.
Pratiquez une activité physique régulière et adaptée
En cas d'hypothyroïdie, la dépense énergétique compense légèrement le dysfonctionnement de la glande thyroïde. En effet, les sports d'endurance (course à pied, marche, musculation, natation…)
Fatigue, perte de poids, bouffées de chaleur, palpitations, ongles cassants… Tous ces signes peuvent indiquer un dérèglement thyroïdien (hyperthyroïdie ou hypothyroïdie). Un dysfonctionnement qui touche 10% de la population en France.
Le stress chronique a pour conséquence, un taux de cortisol élevé, une hormone qui peut causer certains dommages à la glande thyroïde et ralentir l'absorption des hormones thyroïdiennes.
En cas d'hypothyroïdie fruste, si le taux de TSH est > 10 mUI/l lors de 2 examens successifs, un traitement substitutif doit être discuté avec le patient pour prévenir l'évolution vers une hypothyroïdie avérée et ses conséquences.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les observations sont : fatigue/asthénie, céphalées, insomnie, vertiges, dépression, douleurs articulaires et musculaires, alopécie.
Traitement de la thyroïdite subaiguë
L'aspirine ou les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent soulager la douleur et traiter l'inflammation. Dans les cas graves, les médecins peuvent recommander la prise de corticoïdes, tels que la prednisone, dont la dose est progressivement diminuée sur 6 à 8 semaines.
Si celui-ci soupçonne un problème thyroïdien, il commencera par palper la glande suspecte pour en vérifier le volume et la régularité. Trop grosse, elle révèle un goitre. Une surface irrégulière et bosselée signifie, quant à elle, la présence de nodules, des excroissances qui sécrètent parfois des hormones.
Il arrive donc, parfois, que cette glande se dérègle. Dans le cas de l'hyperthyroïdie comme de l'hypothyroïdie, une maladie auto-immune en est souvent la cause principale : maladie de Basedow pour la première, maladie d'Hashimoto pour la seconde.
La dépression et les déséquilibres de la thyroïde font partie des problèmes de santé les plus fréquents chez les Français. Pourtant, malgré des tableaux cliniques qui se ressemblent souvent (fatigue, problèmes de sommeil, troubles de l'humeur, etc...) le lien entre les deux est largement sous-évalué par les médecins.
enflure des ganglions du cou; elle peut se présenter sous la forme d'une masse importante ou de plusieurs ganglions enflés dans la glande thyroïde. enrouement ou autres modifications de la voix, notamment de la difficulté à parler normalement. douleur persistante dans la gorge ou le cou. diarrhée.
Goitre. Le goitre désigne une thyroïde plus grosse que la normale ou dont la taille a augmenté, provoquant généralement une enflure ou une bosse dans le cou. Un goitre volumineux peut causer une toux, une voix enrouée ou de la difficulté à respirer.
Ce syndrome peut entraîner la formation de plusieurs masses non cancéreuses appelées hamartomes dans la thyroïde. Le syndrome de Cowden est lié à un risque plus élevé de certains cancers, dont le cancer de la thyroïde.
Le soya, le café, de même que les suppléments de calcium et de fer peuvent interférer avec l'absorption des médicaments pour l'hypothyroïdie (Synthroid)4. Ainsi, il est recommandé de ne pas les consommer en même temps.
Il joue un rôle dans la conversion de T4 en T3 active. Le magnésium permet ainsi d'éviter la baisse de l'activité de la thyroïde notamment chez les sujets agés mais aussi chez les sportifs après des efforts intenses.
Le sélénium contribue à une fonction thyroïdienne normale. Les vitamines B aident à réduire la fatigue, signe fréquent lors d'un ralentissement de l'activité thyroïdienne mais aussi elles contribuent au bon fonctionnement du métabolisme énergétique et du système nerveux.