Inflammation, dysfonctionnement immunitaire, hormonal, du système nerveux, du foie, des mitochondries : la maladie de Lyme est particulièrement complexe.
L'arthrite est le symptôme le plus fréquent de la borréliose, après les rougeurs cutanées. La maladie peut aussi provoquer une inflammation nerveuse, voire une paralysie. Elle répond normalement bien aux antibiotiques.
fatigue. maux de tête. des ganglions lymphatiques enflés. des douleurs musculaires et articulaires.
Les décès causés par la maladie de Lyme sont rares, mais peuvent cependant se produire. La maladie de Lyme peut être difficile à reconnaître : c'est pourquoi elle est souvent confondue avec d'autres maladies. Il importe que les personnes qui pensent être atteintes de la maladie de Lyme consultent leur médecin.
Les symptômes neurologiques sont variés : maux de tête, douleur le long des nerfs, paralysie d'une moitié du visage, inflammation des méninges… Il peut également survenir des symptômes oculaires (vision double notamment) (1,3).
Autre conséquence : "des troubles du sommeil avec hyper somnolence, sommeil non-récupérateur, en partie responsable de la fatigue invalidante observée dans les formes chroniques."
Une à deux semaines après la piqûre de tique, la maladie de Lyme provoque un syndrome grippal (fièvre, frissons, maux de tête, courbatures) accompagné, dans 30 à 60 % des cas, d'une tache rouge arrondie sur la peau. Elle peut parfois passer inaperçue et n'apparaît pas forcément là où la tique s'était fixée.
Il faudra adopter une alimentation saine et biologique, anti-inflammatoire, et antioxydante. Il faudra réduire les aliments riches en sucres et à indice glycémique élevé, éviter de trop consommer des graisses animales et saturées, mais aussi des céréales contenant du gluten et des produits laitiers.
La maladie de Lyme se traite avec des antibiotiques. La conduite thérapeutique (choix de l'antibiotique, posologie, durée du traitement) dépend de l'âge et des atteintes présentes, d'où l'importance de procéder à examen physique complet incluant un examen neurologique. L'efficacité du traitement s'évalue cliniquement.
Résumé Une approche optimiste et éclairée de la maladie de Lyme, une pathologie transmise par les tiques et encore mal diagnostiquée en France. Une malade raconte huit années d'errance médicale avant qu'un médecin pose enfin le diagnostic et qu'elle retrouve une vie normale grâce à un traitement adapté.
Le test « Elisa » est systématiquement utilisé depuis 2006 pour dépister la maladie, en vertu d'un protocole établi par les autorités sanitaires. S'il est négatif, le dépistage sérologique s'arrête là.
Stade 2. Le deuxième stade de la maladie est souvent appelé « maladie de Lyme disséminée ». Il dure plusieurs mois en l'absence de traitement efficace. Le malade, en plus d'une faiblesse et d'une fatigue généralisée, expérimentera différents troubles du système nerveux.
Comment diagnostiquer l'infection à Borrelia ? Par la sérologie de Lyme. Il s'agit d'une simple prise de sang qui permet de détecter les anticorps produits par l'organisme en cas d'infection. Les IgM apparaissent 4 à 6 semaines après morsure par une tique infestée par Borrelia, les Ig G apparaissant en 6 à 8 semaines.
Le traitement recommandé est : doxycycline1 ou amoxicilline pendant 14 jours en première intention ; • azithromycine pendant 7 jours si la première ligne impossible. Avant et après traitement, il est recommandé de demander au patient de prendre en photo l'érythème migrant aux diffé- rentes phases d'évolution.
Des plantes pour soigner naturellement la maladie de Lyme
L'olivier (et notamment la feuille d'olivier) est une plante dont le nom est très souvent cité pour soigner naturellement la maladie de Lyme. Il en est de même pour la samento, l'origan, le bois de gaïac et le clou de girofle.
C'est la combinaison du mouvement, de la chaleur, de l'odeur et du CO2 dégagé qui attire la tique. Pour éviter les tiques et leurs désagréments, mieux vaut savoir où l'on risque de les rencontrer.
Les adultes avec neuroborréliose précoce possible ou définitive devraient recevoir une antibiothérapie. Les antibiotiques classiques sont la ceftriaxone (2 g/jour) ou la pénicilline IV (24 MU/jour) pendant 14 à 21 jours. 2,7 Le traitement alternatif est la doxycycline PO (2 × 100 mg/jour) pour la même durée.
Inspectez en particulier la nuque, le crâne dans son ensemble, les tempes et l'arrière des oreilles. Les tiques s'y logent souvent. Soyez aussi vigilant à vos aisselles, à l'arrière de vos genoux et aux plis de l'aine, car elles aiment les zones où la peau est fine et un peu humide.
Si vous avez : toux + fièvre
Appelez un professionnel de santé ou du social si besoin. N'allez pas directement chez le médecin, à l'hôpital ou aux urgences. En général, la maladie guérit avec du repos.
La maladie peut commencer par une auréole rouge en forme de cocarde, centrifuge, autour du point de piqûre. Cette rougeur caractéristique, appelée érythème migrant, est présente chez la moitié des patients. Puis des signes généraux apparaissent progressivement : fatigue, sueurs nocturnes, amaigrissement...
Vous avez des nausées et des vomissements. Lorsque la maladie de Lyme est causée par la bactérie Borrelia mayonii, des nausées et des vomissements peuvent survenir.
Le système neurologique
Fatigue, syndrome de fatigue chronique, faiblesse, neuropathie périphérique ou paralysie partielle. Pression dans la tête. Engourdissement dans le corps, picotements et fourmillements. Équilibre fragile, vertiges, difficulté à marcher.
A l'inverse, les tests seront le plus souvent positifs chez les patients avec des formes disséminées de la borréliose de lyme (arthrite, manifestations neurologiques, etc.) survenant plus de 4 à 6 semaines après la piqure.