Quelles sont les complications de l'hypertrophie de la prostate ? Une vessie qui ne se vide pas correctement augmente le risque d'infection urinaire et de problèmes rénaux. Certains hommes qui souffrent d'hypertrophie bénigne de la prostate sont victimes de calculs urinaires dans la vessie ou d'infections à répétition.
Une prostate volumineuse comprime l'urètre tout en faisant pression sur la vessie, ce qui engendre un besoin fréquent d'uriner et divers problèmes de miction, selon le cas (débit plus faible et intermittent, douleurs, etc.). Presque tous les hommes sont sujets à l'hypertrophie bénigne de la prostate, en vieillissant.
L'augmentation du volume de la prostate est à l'origine des symptômes . La prostate augmente de volume sous l'effet d'un déséquilibre entre deux mécanismes : l'un qui pousse les cellules prostatiques à proliférer, l'autre qui conduit à la mort cellulaire (apoptose).
Quelques précautions permettent de mieux vivre avec une HBP. Il est conseillé de cesser de fumer et d'éviter l'alcool, le thé et le café qui aggravent les problèmes urinaires. Il est toujours préférable de bien prendre le temps de vider complètement sa vessie et d'uriner régulièrement dans la journée.
La prostate joue un rôle dans la sexualité, mais uniquement dans l'éjaculation et la reproduction. Par contre, elle ne joue aucun rôle dans le phénomène d'érection. Elle est sous l'influence des hormones mâles (androgènes).
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes au début de son évolution. Des troubles urinaires peuvent ensuite apparaître. Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage des PSA dans le sang.
difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
L'hypertrophie bénigne de la prostate appelée HBP ou encore adénome de la prostate, correspond à l'augmentation de la taille de la prostate, qui survient en général chez les hommes avancés en âge. La prostate est située sous la vessie et autour du canal de l'urètre qui conduit l'urine de la vessie vers l'extérieur.
La solution: une combinaison de plantes. - Les graines de courge réduisent l'augmentation de volume de la glande. En consommer 1 ou 2 cuillères à soupe par jour, par exemple le soir en guise d'apéritif où elles remplaceront les cacahuètes, ou au petit déjeuner. - Les tisanes d'épilobe.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Une prostate dite « petite » a un volume compris entre 30 et 40ml et un poids compris entre 20 et 70g. Une prostate moyenne se situera entre 40 et 80ml pour un poids entre 20 et 125g. Enfin, une grande aura un volume entre 40 et 100ml et un poids entre 40 et 125g.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
Lorsque le cancer est qualifié d'évolutif et que la zone a une espérance de vie de plus de dix ans, on va proposer la prostatectomie.
En général, la plupart des hommes ayant reçu un diagnostic de cancer de la prostate ne meurent pas de cette maladie mais bien d'une autre cause. Il existe de nombreuses méthodes différentes pour évaluer et consigner les statistiques de survie au cancer.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Le cancer de la prostate est une maladie de mieux en mieux soignée en France et dans le monde. Le taux de survie est proche des 100% lorsque le cancer est localisé à la glande prostatique. Pour se faire, deux facteurs principaux entrent en jeux : le timing du diagnostic et la qualité du traitement.
Des études sur des patients atteints de cancer de la prostate ont révélé que: jusqu'à 74 % des patients souffrent d'une fatigue associée à la maladie. la fatigue est associée à tous les traitements du cancer de la prostate.
L'évolution du cancer de la prostate
Le cancer est une maladie qui évolue souvent sur plusieurs années. Contrairement à d'autres types de cancer, celui de la prostate a une croissance relativement lente. Son évolution peut se faire sur 10 ans et plus.
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
L'intervention chirurgicale, sous anesthésie générale, dure de 2 à 5 heures mais dépend du type de chirurgie. Par exemple, une prostatectomie par voie rétropubique avec dissection des ganglions lymphatiques dure environ trois heures.
Progression du cancer de la prostate - Dans une étude portant sur plus de 1 400 hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate à un stade précoce, les hommes qui marchaient rapidement (pas tranquillement) pendant au moins trois heures par semaine étaient 57% moins susceptibles de voir leur cancer progresser que ...