1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
Cependant, pour de nombreux muphtis, le baiser entre deux personnes devient "haram" (illicite) quand il est accompagné d'un "désir", généralement sexuel. Une logique qui veut dire, tout simplement, qu'un homme n'a pas droit d'avoir envie de sa femme quand il l'embrasse et vice versa.
Les relations sexuelles sont interdites.
Mais si des pratiquants ont une relation sexuelle pendant la journée, ils doivent non seulement faire une journée de jeûne supplémentaire, car leur journée est perdue, mais ils doivent également expier leur faute.
Les relations sexuelles hors mariage sont formellement prohibées.
La présence d'un imam de mariage ou d'un cadi (magistrat) n'est pas obligatoire pour conclure le mariage musulman. Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur.
Les malékites estiment un tel mariage invalide et exigent sa dissolution, qu'il y ait eu consommation ou pas. On tient compte non pas de l'intention de la femme, mais de celle du mari. Les hanbalites sont très exigeants. Un tel mariage tahlil est invalide, que la personne ait déclaré l'intention ou pas.
Le fatḥa (فتحة en arabe, littéralement « ouverture ») est un signe diacritique de l'écriture arabe indiquant la vocalisation brève [a] de la lettre qu'il modifie. Il est composé d'un trait placé au-dessus de la lettre.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
Si une femme se lave après que son mari a fait l'amour avec elle, si ensuite le sperme de son mari s'écoule de son vagin, elle doit procéder aux ablutions mineures non aux majeures.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Les rapports sexuels ne sont pas permis du lever au coucher du soleil. Ce sont les 3 principaux interdits durant la période du ramadan. Il est en revanche autorisé de s'embrasser, bien sure sans échange de salive, de se caresser, de s'enlacer, tant que ça n'aboutit pas à l'orgasme.
Amour prééternel
Il est un amour préexistant et éternel. Dans sa petite épître consacrée au thème de l'amour, Mahmûd al-Uskudârî explique ceci : « Dieu, exalté soit-Il les aime en vertu de Sa préexistente bienveillance, non en vertu d'une cause quelconque. Il les aime pour ce qu'ils sont intrinsèquement.
Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
Pour qu'un mariage puisse avoir lieu en Islam, le consentement de la femme est indispensable. Elle dispose aussi du droit de demander le divorce à condition que celui-ci soit validé devant un tribunal. Cependant, le droit de se répudier elle-même peut être prévu dans le contrat de mariage.
Pour le Coran, c'est essentiellement le verset 6 de la sourate 31 qui est interprété comme un interdit de la musique : « Tel homme ignorant se procure des discours futiles (lahw) pour égarer les autres hors du chemin de Dieu et prendre celui-ci en dérision.
il commençait par se laver les mains avant de les plonger dans l'eau , puis il versait de l'eau et lave ses parties intimes, faisait ses ablutions comme pour la prière, mouillait ses cheveux, lavait sa tête trois fois, puis versait de l'eau sur tout le corps et enfin il se lavait les pieds."
Le lavage et le transport du mort : selon les preuves, il convient seulement de se laver les mains comme l'a dit Ibn 'Abbas. Les vomissements. Embrasser sa femme/son mari même avec désir. Saigner du nez ou de toute autre blessure.
Le nikah est la cérémonie traditionnelle du mariage islamique. Il repose sur trois composants principaux : un couple désireux de s'engager, des témoins et un mahr ou cadeau offert par le marié à sa promise. Si ces éléments sont rassemblés, il vous faudra ensuite trouver un imam qui mènera la cérémonie.
Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit non plus les droits de la femme en cas de litige, ni la reconnaissance des éventuels enfants ou les droits de succession.
La cérémonie religieuse est suivie d'une fête qui se déroule généralement sur plusieurs jours (parfois jusqu'à une semaine), selon le désir des familles. Dans les pays musulmans, les festivités ont souvent lieu les jeudi et vendredi.
Le mariage halal institue donc bien le couple par rapport au cadre légal français. La dimension religieuse est importante, voire incontournable, mais elle ne peut suffire seule à valider le mariage. Le mariage civil représente l'acte social qui entérine l'engagement pris devant le groupe d'appartenance.
Points clés à retenir : Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
Le mariage civil est donc suffisant en lui seul pour être reconnu et officialisé devant Dieu. Ceci est donc pratiqué en l'état par diverses confessions protestantes.
Des époux peuvent conclure un mariage musulman même si la femme n'est pas musulmane ; en revanche, l'homme non musulman qui veut épouser une femme musulmane de manière religieuse devra se convertir.