Pour visualiser toutes les couleurs contenues dans la lumière blanche, il suffit d'observer la surface d'une bulle de savon ou d'un disque laser. La lumière est alors décomposée : c'est le phénomène de diffraction.
ROUGE + VERT = JAUNE. VERT + BLEU = CYAN. BLEU + ROUGE = MAGENTA. ROUGE + VERT + BLEU = BLANC.
Tout simplement parce que le blanc est la somme de toutes les couleurs visibles. Une source de lumière (soleil, ampoule etc..) rayonne, globalement, sur un spectre très large de fréquences.
La lumière blanche est constituée d'un ensemble de couleurs différentes qui constituent le spectre lumi- neux. Ce spectre est polychromatique et continu : il contient toutes les nuances de couleurs entre le violet et le rouge. s'est décomposée et on peut observer les couleurs de l'arc-en-ciel à la sortie du prisme.
Isaac Newton fut le premier à démontrer la décomposition de la lumière. Il avait démontré que la lumière blanche pouvait être décomposée en un spectre de couleurs lorsqu'elle traverse un prisme, mais qu'elle pouvait être recomposée lorsqu'elle traverse un deuxième prisme.
- Une boule rouge éclairée en lumière blanche absorbe toutes les couleurs contenues dans la lumière blanche, exceptée la couleur rouge qu'elle diffuse. Eclairée en lumière bleue, la boule rouge ne diffuse plus de lumière : elle apparaît noire.
La décomposition de la lumière blanche peut être obtenue en utilisant un prisme ou un réseau: Un prisme est un bloc constitué de verre ou d'une autre matière transparente ayant une base triangulaire. Un réseau est lui constitué une surface striée de fines fentes parallèles espacés de manière régulière.
Plus la température est élevée, plus la luminosité sera blanche et « froide ». Pour un éclairage jaune, choisissez une ampoule dont la température est inférieure à 4000K. Pour une luminosité blanche, privilégiez les modèles qui vont au-delà de 5300K.
Les LED: elles durent très longtemps (jusqu'à 40 000h), et s'allument instantanément. Elles offrent le meilleur rendu lumineux pour le confort visuel: stable et homogène. Les LFC: moins chères, elles durent aussi moins longtemps (8 à 12 000h) et mettent parfois 30 secondes à atteindre l'éclairage maximal.
Il existe des ampoules de différentes « couleurs de lumière » qui se mesurent en kelvins (notés K sur l'emballage). Le blanc chaud (2700 / 3000 K) traduit une lumière jaune très chaleureuse, aux reflets ocre ou dorés. Le blanc froid (3500 / 4000 K) correspond à une lumière blanche aux reflets plutôt bleutés.
Avec une ampoule à 4 000 K, on obtient une lumière blanche plus douce. On parle alors de blanc neutre. Au delà de 5 300 K, la lumière est dite « blanc froid ». Si l'on souhaite obtenir un rendu se rapprochant de la lumière du jour, il faut alors opter pour une température d'ampoule comprise entre 4 800 et 6 500 K.
En 1666, lors de ses expériences d'optique, Newton fait passer de la lumière solaire blanche à travers un prisme de façon à la décomposer en rayons lumineux de différentes couleurs, comme le fait le rebord d'une lentille.
Le rouge, le bleu et le vert sont les trois couleurs principales et sont appelés couleurs primaires de la lumière. Le mélange de ces trois couleurs, dans des proportions différentes, permet d'obtenir toutes les couleurs du spectre (exemple : la télévision couleur).
Les couleurs qui reflètent le plus la lumière sont les couleurs claires sans en détériorer la qualité, le blanc ayant le meilleur coefficient de réflexion. Avec 0,70 et 0,80, les nuances de blancs reflètent le mieux la couleur. Les beiges et les jaunes pastel apportent une note plus conviviale à la lumière ambiante.
Un objet rouge absorbe toutes les couleurs de la lumière blanche, sauf le rouge, un objet vert absorbe toutes les lumières sauf le vert, etc. Éclairé par une lumière blanche un objet possède la couleur de la lumière qu'il n'absorbe pas.
La réponse est le rouge ! Contrairement à ce que l'on pourrait penser, un éclairage rouge dans une chambre a une longueur d'onde favorable à la sécrétion de mélatonine. En leds ou en ampoule sous un abat-jour, la lumière rouge est idéale pour mettre son esprit et son corps au repos avant de dormir.
En bref, les différences sont les suivantes : Blanc chaud : lumière tirant vers le jaune, idéale pour les ambiances cosy. Le « blanc neutre » : similaire à la lumière naturelle. Blanc froid : lumière tirant vers le bleu, idéale lorsqu'un éclairage intense est souhaité
Si le mode nuit est si populaire, c'est qu'il permettrait de réduire la fatigue visuelle liée aux écrans. Mais est-ce vraiment le cas ? En luminosité normale, plusieurs études ont montré que la lecture sur fond blanc est plus facile et plus rapide que sur fond noir.
Le phosphène se caractérise par l'apparition soudaine d'une lumière ou l'irruption de taches lumineuses dans le champ visuel d'un individu. Décrit comme un flash, un éclair ou une étincelle, le phénomène est parfois perceptible même si le sujet a les yeux fermés.
Noir. La couleur noir est le symbole de la tristesse et du prestige.
Cette couleur est particulièrement indiquée dans des espaces plutôt étroits ou ne bénéficiant pas beaucoup de luminosité tels que les lieux de passage (couloirs, entrées, escaliers…) mais aussi les salles de bains, ou les cuisines. Le blanc froid apporte une lueur bleutée dynamisante et énergisante.
Pour un éclairage de bureau, une cuisine ou même une salle à manger, c'est la lumière blanche qui vous recrée au mieux l'impression de lumière naturelle, et apporte de l'énergie.
Ce phénomène est lié à la notion de longueur d'onde. En effet, un filtre laisse passer les rayonnements de longueur d'onde correspondant à sa couleur mais absorbe toutes les autres parties du spectre correspondant à des longueurs d'onde différentes.
Enfin, on remarquera qu'une couleur primaire de la synthèse soustractive (couleur "matière") absorbe une région de l'arc-en-ciel correspondant à une couleur primaire de la synthèse additive (couleur "lumière") : le JAUNE "matière" absorbe le BLEU "lumière" le CYAN "matière" absorbe le ROUGE "lumière"
En effet, les couleurs présentes dans la lumière blanche incidente qu'il diffuse sont le rouge et le vert qui donnent, par synthèse additive, du jaune (couleur complémentaire de la couleur bleue absorbée).