Indique la conséquence logique de quelque chose. Exemple : Ses aventures étaient narrées avec fougue et originalité, si bien que la foule s'est passionnée pour ce personnage hors du commun qui la faisait rêver.
La locution est suivie d'une conséquence, qu'elle se réalise, ou bien qu'elle soit réalisée, ou pas. Si elle est réalisée, c'est l'indicatif, ou le subjonctif. Si elle ne l'est pas, c'est le subjonctif.
4. Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
Pour " si bien que " , elle exprime une idée de conséquence et doit être suivie de l'indicatif . On peut la remplacer par " par conséquent / donc / alors / c'est pourquoi / c'est pour cette raison que ...
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Locution adverbiale
Oui vraiment, aussi surprenant que cela paraisse.
soit la condition, soit l'interrogation, soit l'intensité, soit, encore, une comparaison à la place de 'aussi '.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
b) Après une principale négative ou interrogative, la subordonnée de conséquence se met également au subjonctif. a) Je connais trop peu l'affaire pour que je fasse cette démarche. b) Vous n'êtes pas si bêtes que vous ne puissiez comprendre ce texte.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
IF A2 (25) est supérieur à 0, ET B2 (75) est inférieur à 100, retourner VRAI, sinon retourner FAUX. Dans ce cas, les deux conditions étant vraies, la valeur VRAI est retournée. Si A3 (« Bleu ») = « Rouge », ET B3 (« Vert ») est égal à « Vert », retourner VRAI, sinon retourner FAUX.
Ici ,"si" est une conception de subordination exprimant une interrogation indirecte. C'est ça sa valeur.
s'il s'avère que, s'il est vrai que, dans la mesure où ... adv.
racli. Un raclo est un garçon, un jeune homme de cité. Il s'agit d'un terme argotique employé par les jeunes de cité pour parler d'un garçon, sans pour autant que ce soit forcément péjoratif. Exemple : Je déteste ce raclo.
“proposition subordonnée conjonctive” est la nature du groupe de mots introduit par “si“. La proposition subordonnée introduite par “si” introduit un complément circonstanciel de condition du verbe de la proposition dont elle dépend.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.