Suivies d'un infinitif, les expressions à condition que, à la condition que, sous condition que, sous la condition que, à condition de et à la condition de indiquent non pas une hypothèse, mais une condition posée d'avance : Tu peux aller à la fête, à condition de revenir avant minuit.
À condition que, à la condition que, sous condition que, sous la condition que (condition) le subjonctif, moins souvent l'indicatif. Je t'attendrai, sois en sûre, à condition que tu ne viennes pas quatre heures après l'heure fixée. Vous pouvez me ramener en voiture sous la condition que vous resterez dîner chez moi.
au cas où, dans l'hypothèse où, quand, etc., suivies du conditionnel ; à condition que, à moins que, à supposer que, pour peu que, pourvu que, que… (ou) que, soit que…
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses.
Leçon. Il existe différents moyens d'exprimer la condition. La plus répandue est la proposition subordonnée circonstancielle de condition (ou d'hypothèse), introduite par la conjonction de subordination si. Exemple : Si tu viens ce soir, tu rencontreras ma famille.
Introduite par à condition que, en supposant que, à moins que, pourvu que, elle est au subjonctif. → Tu le verras ce soir, à condition qu'il vienne. Introduite par au cas où, elle est au conditionnel. → Au cas où tu aurais oublié, nous allons au théâtre ce soir.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").
Bonjour. SI peut introduire une subordonnée de condition ou une interrogation indirecte. Dans la subordonnée de condition introduite par si, le conditionnel est interdit. C'est ensuite la concordance des temps qui indique le temps à utiliser.
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Cette promotion, elle ne s'y attendait pas. On peut dire, en remplaçant « si » par se » : « Elle ne s'attendait pas à cette promotion. » C'est donc qu'il faut écrire « s'y », et non « si ».
La proposition subordonnée circonstancielle de condition (ou hypothétique) exprime la condition à laquelle est soumise la réalisation de la principale. Cette proposition est introduite par une conjonction, une locution conjonctive de subordination. Elle peut être au subjonctif, à l'indicatif ou au conditionnel.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple, c'est-à-dire qu'on conserve le verbe à l'infinitif mais on ajoute les terminaisons de l'imparfait : ais, ais, ait, ions, iez, aient. On retrouve ainsi toutes les irrégularités et les exceptions du futur.
Circonstance extérieure, fait, situation, contexte dont l'existence est nécessaire pour que quelque chose ait lieu, se produise, se fasse : La condition pour que je vienne est qu'il ne soit pas invité.
le mode indicatif exprime des actions réalisées ou dont on est certain qu'elles se réaliseront ; le mode subjonctif exprime des actions éventuelles ou dont on n'est pas certain qu'elles se réaliseront.
L'emploi de l'indicatif et du subjonctif en français. Le mode indicatif permet d'exprimer la réalité et la certitude. Le subjonctif est au contraire utilisé pour exprimer le doute, la possibilité, le souhait, l'ordre, la volonté, la crainte, etc.
On emploie le subjonctif si la valeur de vérité de ce qui est dit est mise en doute sinon on emploie l'indicatif.
● «Si j'aurais su»
C'est même tout le contraire! Rappelons la règle: lorsqu'on emploie la conjonction «si», qui traduit de fait une condition, il est inutile d'y ajouter un verbe conjugué au conditionnel. Ainsi, il faut écrire: «Si j'avais su, je ne serais pas venu.»
Notez : Après un conditionnel présent, si le verbe de la subordonnée doit être au subjonctif, il se met au présent ou à l' imparfait (Je voudrais qu'elle écrive ou Je voudrais qu'elle écrivît).
Dans une phrase subordonnée introduite par si exprimant l'hypothèse ou la condition, on emploie toujours le présent (jamais le futur ni le conditionnel présent) : « Je parlerai (futur simple) [si je veux (présent)]. » Tu pourras leur dire [qu'] il serait (conditionnel) temps de repeindre leur maison.
Pour reconnaître un verbe conjugué au conditionnel présent, tu dois mettre le verbe dans une phrase où il y a "si". Ex: Si tu veux venir, il faudrait que tu aies une invitation. Comme tu vois, le verbe conjugué au conditionnel présent est "falloir''. J'espère que ça t'aidera!
Les valeurs du conditionnel présent
Le conditionnel permet d'exprimer des faits dont la réalisation est soumise à condition. Il est généralement introduit dans une phrase avec un "si". S'il pleuvait plus souvent, la pelouse serait plus verte. J'aimerais qu'il vienne nous rendre visite.
Alors quelle forme privilégier et dans quel contexte ? J'aimerai est conjugué au futur simple de l'indicatif à la 1ʳᵉ personne du singulier. Il prend donc la terminaison « -ai ». J'aimerais est quant à lui conjugué au conditionnel à la 1ʳᵉ personne du singulier.
Le conditionnel peut avoir d'autres valeurs modales que l'hypothèse : il peut exprimer le doute, le regret, le souhait, l'incertitude ou l'atténuation. Exemple : pour ne pas brusquer quelqu'un, il est possible de dire « Tu pourrais ranger ta chambre » au lieu de dire « Range ta chambre ! ».
Les modes de la conjugaison : le conditionnel
Donner une information incertaine, non confirmée. D'après moi, il serait sur le point de partir. Il dit (présent) qu'il viendra (futur) avec nous. Il a déclaré (passé) qu'il viendrait (conditionnel) avec nous.
Que regrettez vous d'avoir fait quand vous étiez enfant ? Que regrettez-vous de ne pas avoir fait quand vous étiez enfant ? Quels reproches pourriez-vous faire à vos professeurs ? Quels reproches pourriez-vous faire à aux politiciens en général ?