La conjonction et peut s'employer en début de phrase pour marquer une opposition ou un sentiment, ou pour souligner l'enchaînement des idées, accélérer un dialogue ou un récit : Vous avez tout dépensé. Et vous venez me réclamer de l'argent, à moi qui n'ai plus un sou.
*On écrit 'et' lorsqu'il s'agit d'une conjonction de coordination qui joue le rôle de lien entre deux mots ou groupe de mots ou phrases et qu'on ne peut pas conjuguer à l'imparfait .
Accord avec des sujets unis par ou
Le verbe qui suit des sujets au singulier liés par ou se met au pluriel ou au singulier selon l'intention de l'auteur. On emploie le pluriel pour marquer la coordination (ou prend valeur de et).
L'expression par exemple, employée au sens de « comme, entre autres, notamment » pour relier deux mots ou deux groupes de mots en apposition, n'est jamais suivie d'une virgule : Une plante exotique, par exemple le yucca. Choisissez une couleur, par exemple le jaune ou le rouge, vous constaterez que […]
on peut aussi remplacer "et" par Puis, enfin, ...
Elle peut être introduite par des expressions comme : « Ainsi, selon vous… », « Vous voulez dire que… », « Si je vous ai bien compris… », « Donc, à votre avis… » ; « Jusqu'à présent, nous avons évoqué les aspects suivants… ». Le formateur peut aussi reprendre en écho les derniers mots de l'interlocuteur.
L'idéal : Généralement, on commence par relier ce qui va suivre à l'amorce, puis on reformule le sujet, soit en le paraphrasant, soit en se posant des questions qui se rapportent au sujet.
« Non, mais… » : On reste dans la négation, mais on ouvre la discussion sur autre chose. Non seulement les interlocuteurs perçoivent cette volonté d'être constructif, mais en se forçant à entamer sa phrase de cette manière on s'oblige à garder l'esprit ouvert.
Le mot « et » est un mot de liaison (une conjonction de coordination) qui peut être remplacé par « ainsi que », « et puis », ou « et aussi ». Le mot « est » est le verbe « être » (ou un auxiliaire du verbe) qui peut être remplacé par « était ».
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
a = a est le verbe avoir conjugué à la troisième personne de singulier. Donc, voici un truc si vous pouvez remplacer -a- par -avait- dans votre phrase et que la phrase conserve son sens et bien c'est ce type de a qu'il faut. à = à est pour montrer quelque chose comme par exemple : Je vais à la montagne.
Et puis, introduit un deuxième ou un énième terme d'une énumération : Je veux une robe, un chemisier et puis des chaussures.
Les conjonctions de subordination « quand » et « que » introduisent les deux propositions subordonnées conjonctives (coordonnées entre elles par la conjonction de coordination « et »), ayant toutes deux pour fonction : complément circonstanciel de temps du verbe « aiderai ».
Il s'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il accompagne ; il s'écrit quel(s) ou quelle(s) : Quelle heure est-il ? Quelles maisons sont à vendre ? Quel âge as-tu ?
- ADDITION : Aussi, de même, de plus, encore, et, également... - LIAISON / RÉSUMÉ : Bref, d'ailleurs, donc, ensuite, en somme, en outre , or, par ailleurs, puis... - EXPLICATION : C'est-à-dire, en effet, effectivement, étant donné que, puisque... - ILLUSTRATION : Entre autres, notamment, par exemple, autant dire que...
On emploie parfois des termes ou des expressions pour signaler l'introduction d'un exemple : par exemple, ainsi, c'est notamment le cas de, on peut illustrer ce propos par, on peut mentionner, on peut citer I'exemple de, comme en temoigne, comme on peut le voir dans, on peut signaler, comme le signale, comme l'indique…
Pour être efficace, une introduction se déroule en 4 étapes : l'approche, l'explication du sujet, la formulation de la problématique, et enfin l'annonce du plan. L'accroche peut se faire notamment par le biais d'une citation ou d'un fait d'actualité.
Comment faire une introduction ? L'introduction doit amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. Le rédacteur commence par une accroche pour capter son attention, puis pose un contexte, énonce une problématique et aborde le plan à suivre.
Une bonne introduction éveille l'intérêt du lecteur.
Doivent y figurer le contexte, la justification du sujet, la problématique abordée, la méthodologie ou encore le plan du texte. De quelques lignes à plusieurs pages, les introductions s'adaptent au texte dont elles font la présentation.
Si le sujet demande un ensemble de réponses correspondant à plusieurs éléments de l'entrée, on peut l'exprimer sous la forme : « Pour chaque …, quel est le … ? ». Par exemple : « Pour chaque intervalle fourni, quelle est la somme des nombres couverts par l'intervalle ? ». Les détails demandés sur la solution.