Pour devenir une femme leader, prenez conscience de votre force, de comment vous avez résisté aux difficultés et surmonté les échecs. Il faut également vous obliger à faire connaître vos réussites.
C'est-à-dire de la capacité à faciliter l'accès des femmes à des fonctions de leader afin de piloter des projets, manager des équipes et diriger des services. La notion de leadership féminin est un sujet sensible, comme toutes les questions qui touchent au genre.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Une vision claire, la capacité d'influencer et de motiver, et de bonnes compétences en matière d'écoute et de communication sont les trois qualités essentielles des grands leaders, selon notre dernière étude Executive Horizons.
Le leadership féminin influence la performance des entreprises. En effet, la performance des entreprises dépend de la performance organisationnelle. Laquelle performance se nourrit de la diversité des comportements.
Que l'on ait de grosses responsabilités dans le monde de l'entreprise ou que l'on s'attèle à faire bouger les choses via une association ou un parti politique, ce que l'on peut retenir, c'est que toutes ces femmes qui donnent l'exemple ont des projets et s'assument telles qu'elles sont.
Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer.
Pour la majorité d'entre nous, le leader jongle avec les mots, entraîne, motive, inspire, prend des postures courageuses et se veut en rupture avec le statu quo. Il ne se contente pas de gérer l'existant, il crée de nouvelles brèches, des ouvertures, de véritables opportunités de développement.
Lorsqu'on parle de chef, on fait référence à une autorité hiérarchique. Lorsqu'on parle de leader, on se réfère à une personne qui conduit les autres dans une direction donnée. Voilà qui nous donne un aperçu de la différence entre ces deux termes.
Les femmes sont au cœur des équilibres familiaux, culturels, sanitaires et sociaux. Elles jouent un rôle central en matière de santé, de développement et d'éducation. A ce titre, leur autonomisation est un indispensable facteur de paix et de progrès social, économique et environnemental.
Qu'il soit féminin ou masculin, le vrai leader est avant tout une personne qui rassemble, fédère, entraîne, influence et impulse tout en individualisant son accompagnement.
La participation effective des femmes et l'égalité des chances en matière de leadership sont reconnues à l'échelle mondiale comme des facteurs essentiels à la réalisation du développement durable.
La féminité traditionnellement valorisée s'oppose aux attributs masculins : douceur, beauté, soumission, dépendance, repliement sur soi, finesse, souplesse en sont des attributs historiquement construits et constitutifs.
Le leadership est la capacité de créer une relation émotionnelle véritable avec les membres d'un groupe afin de les amener à transcender leurs besoins individuels au profit d'objectifs communs.
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.
Naturellement autoritaire, le leader rassure et inspire confiance. Egalement populaire et charismatique, son influence lui permet de galvaniser les foules. Quand le manager serait un simple gestionnaire, le leader aurait une vision.
Le leadership autoritaire (ou autocratique)
Le leadership autoritaire implique une réelle supériorité hiérarchique avec des dirigeants qui exercent un certain contrôle sur leurs subordonnés. La prise de décision est centralisée, ce qui signifie qu'une seule personne prend toutes les décisions importantes.