Il y a trois principales méthodes d'euthanasie appropriées à la ferme : la surdose de barbiturique; l'étourdissement par un pistolet à cheville percutante, suivi d'une exsanguination, et l'abattage par balle.
Le pistolet à tige perforante (ou matador) est principalement utilisé pour l'étourdissement des bovins, mais également pour celui des moutons, chèvres, porcs, chevaux… Posé sur le front de l'animal, l'outil permet de perforer le crâne jusqu'au cerveau, ce qui génère une onde de choc et la destruction des tissus.
Le pentobarbital est un narcotique appartenant au groupe des dérivés de l'acide barbiturique. La DL50 chez les chiens et les chats est approximativement de 40 à 60 mg/kg de poids corporel par injection intraveineuse. Pour l'euthanasie des animaux, de fortes surdoses sont administrées.
Les veaux de boucherie sont des bovins abattus au plus tard à l'âge de 8 mois. Ils sont élevés pour la consommation de leur viande. Afin d'être conforme aux habitudes de consommation des français, la viande doit avoir une couleur rose pâle.
Ainsi, selon la loi, un animal peut-être étourdi à l'aide d'un pistolet à tige perforante (un procédé légal qui est par ailleurs mis en cause dans la vidéo publiée par L214), par percussion à l'aide d'un pistolet d'abattage (un procédé également critiqué par L214 mais pourtant légal), par électrocution ou ...
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
« Si ce type d'animaux bénéficiait effectivement de bons prix début 2017, vendus alors autour de 350 €, aujourd'hui, ils se situent plutôt autour de 180 € en moyenne », brosse Laurent Chupin, de l'agence ActiOuest, entreprise spécialisée dans l'analyse des marchés.
Dans l'Union européenne, seule peut être commercialisée sous l'appellation « veau » ou « viande de veau » la viande issue de carcasses de bovins juvéniles catégorisées « V », c'est-à-dire âgés de huit mois au plus au moment de l'abattage.
L'euthanasie ne provoque en rien une souffrance animale. Votre chien ou votre chat peut garder les yeux ouverts après le décès car ce sont des muscles qui se chargent de les fermer. Il peut également avoir quelques spasmes musculaires ou avoir des pertes de selles ou d'urine.
Comme chez l'humain, l'euthanasie se pratique aussi chez le chien. Il s'agit d'une opération effectuée faisant suite à une prise de décision mûrement réfléchie. C'est au vétérinaire que revient l'ultime responsabilité, car même si on en est propriétaire, on ne peut pas euthanasier un chien soi-même.
Face à une agonie interminable, une souffrance insupportable, l'acte euthanasique est moins cruel que la nature. C'est dans ce sens un bien. Le paradoxe de l'euthanasie, qui provoque un mal, s'efface donc lorsqu'intervient le jugement selon lequel hâter la mort est un bien relatif.
Le pistolet d'abattage, aussi appelé pistolet à projectile captif ou pistolet à tige perforante captive, est un outil d'étourdissement utilisé dans les abattoirs, destiné à assommer les gros animaux de boucherie (porcs, bovins, chevaux) avant l'égorgement, lors du processus de l'abattage.
Projecteurs hypodermiques pour la capture d'animaux
De même, le projecteur permettra d'endormir l'élément ciblé ou l'anesthésie animalière. Ainsi, l'utilisation de votre fusil projecteur et des sarbacanes est facile. Aussi, l'administration du produit tranquillisant devient une tâche simple.
La dhabiha se pratique par une incision profonde et rapide avec un couteau effilé sur la gorge, de façon à couper les veines jugulaires et les artères carotides bilatéralement et rapidement, mais en laissant la moelle épinière, afin que les convulsions améliorent encore le drainage.
De faible valeur marchande, considérés comme des « sous-produits » de la production de lait, ils sont alors engraissés pour leur chair dans des élevages de « veaux de boucherie ». This opens in a new window. À l'échelle mondiale, la France est le 2e producteur et le 1er consommateur de viande de veau4.
Pour saigner l'animal, soit on le décapite, soit on sectionne au moins une jugulaire et une artère carotide. La décapitation n'est admise qu'après un étourdissement réussi. L'habillage ne commence pas avant que le lapin soit mort.
Dans la production laitière conventionnelle, les veaux sont séparés de leur mère immédiatement après la naissance. Le but de cette pratique est de permettre à la vache laitière de produire directement du lait pour la consommation humaine.
Sa valeur dépend du pedigree, de la conformation de l'animal, de son âge, de sa famille, de sa rareté. le prix ne veut pas dire grand chose... » On peut néanmoins parler d'un prix de 2200 à 3000 euros pour un bel animal, sachant que parfois un tel atteindra 7000, voire 11 000 euros aux enchères.
Ce genre de cas est rare mais cela arrive.» En temps normal, un veau comme celui-ci, de race holstein laitier, est coté entre 130 et 160 euros et se vend entre 50 et 70 euros, mais parfois beaucoup moins pour des petits gabarits (10 à 30 euros), précise un article de Paysan Breton.
Une vache coûte en moyenne 1 500 € et l'investisseur doit en acheter une au minimum.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
"La souffrance de l'animal ne fait aucun doute et est reconnue de tous. Des études scientifiques ont été menées et le prouvent", explique-t-il à L'Express. Pour lui, aucun doute: "Seul l'étourdissement permet d'éviter la souffrance."
En Europe, l'abattage rituel est aujourd'hui interdit en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Slovénie, en Islande, au Danemark et en Belgique.