Ouvrez la vue d'ensemble des Activités et démarrez l'application Disques. Dans la liste des périphériques de stockage à gauche, il y a les disques durs, les lecteurs/graveurs de CD et DVD, et d'autres périphériques physiques.
Ouvrez l'application Utilisation en utilisant la vue d'ensemble des Activités. Sélectionnez l'onglet Stockage pour afficher l'espace disque total utilisé et disponible du système, ainsi que celui utilisé par le système d'exploitation et les répertoires des utilisateurs communs.
df -k – Est utilisée pour afficher des informations sur l'utilisation du système de fichiers en Ko . df -T – Cette option affiche le type de système de fichiers (une nouvelle colonne apparaît). df -ht /home – Cette option vous permet d'afficher des informations sur un système de fichiers spécifique (en format lisible).
Pour visualiser et gérer les volumes et les partitions de votre ordinateur : Ouvrez Disques à partir du Tableau de bord. Dans le volet de gauche, vous trouverez une liste des disques durs, des lecteurs de CD/DVD, des autres périphériques physiques et des périphériques de boucle.
Les commandes fdisk
Une fois que vous avez trouver le nom du périphérique du disque, on l'indique dans la commande fdisk pour travailler avec. Les commandes et actions se font en saisissant une lettre. Pour afficher la liste des lettre et commandes, appuyez sur m et validez.
fdisk est un outil de base pour réaliser des opérations sur les tables de partitions des disques durs.
La commande p du menu principal permet d'afficher les partitions du disque dur sélectionné.
Afin d'afficher la partition de récupération cachée, veuillez utiliser la commande DiskPart : Entrez cmd dans la zone de recherche Windows pour ouvrir l'invite de commande. Ensuite, tapez diskpart. Tapez list disk pour répertorier tous vos disques durs dans l'ordinateur.
FDISK est une commande (externe) DOS, donc si vous voulez l'exécuter à partir de Windows, il faut le faire dans une session Ms-DOS. Donc à l'invite MS-DOS tapez FDISK, puis entrée.
df (abréviation de disk free en anglais) est une commande UNIX utilisée pour afficher la valeur d'espace disque disponible des systèmes de fichier dont l'utilisateur possède l'accès en lecture.
L'espace disque sous Linux avec df. Commencez par vous connecter sur votre machine et exécutez la commande df, sans option. D'ailleurs, "df" signifie "disk free", ce qui s'annonce plutôt de bien par rapport à ce que l'on cherche à faire !
Si vous connectez votre disque pour la première fois à votre système Linux, vous devez alors créer une partition au préalable. Pour cela, vous pouvez entrer la commande fdisk. Une fois qu'une partition est créée, vous pouvez utiliser la commande "mkfs. ext4" pour formater le disque.
Allez dans Gestion des disques, cliquez sur «Action» dans la barre d'outils, puis sélectionnez « Analyser des disques de nouveau » pour permettre au système d'identifier à nouveau tous les disques connectés. Voyez si le lecteur D apparaîtra après cela.
Faites un clic droit sur le menu Démarrer puis choisissez Gestion du disque. Le gestionnaire de disque de Windows s'ouvre et affiche les différents disques et partitions présents sur votre machine.
fdisk est en général fournit par défaut dans la plupart des distributions Linux. De plus il indique le type de partition de disque (Linux, Windows, etc). On peut aussi lister les disques avec la commande lsblk.
Nommage des partitions
Par exemple, la première partition du premier disque IDE se nomme hda1, de même, la troisième partition du disque SCSI d'ID 1 se nommera sdb3. D'autre part, la plupart des ordinateurs utilisent le modèle MBR : une petite zone de disque dur (appelée MBR) est réservée en début de disque.
Partition principale
La partition active est la partition sur laquelle un des système d'exploitation est démarré au lancement de l'ordinateur.
Le partitionnement avec fdisk peut entraîner la perte de toutes les données présentes sur le disque sur lequel on effectue les opérations.
Si vous ne spécifiez pas de lecteur après le signe +, fdisk utilise des secteurs comme lecteur. Par exemple, +10000 signifie que la fin de la partition est de 10 000 secteurs après son démarrage. Cela ne formatera pas la partition avec le système de fichiers sélectionné. Cela doit être fait plus tard en exécutant mkfs.
Depuis la version 20.04. Quel que soit le type de partitionnement du disque (MSDOS ou GPT) et quel que soit le type de boot (LEGACY ou EFI) une partition FAT32 de taille minima 36 Mo avec un espace libre minima de 6 Mo est nécessaire.
Le choix le plus judicieux est le Ntfs : C'est le seul système de fichiers moderne supporté par Windows, et il est supporté par Ubuntu. Le désavantage est la non-prise en charge des droits d'accès, et la lenteur due au pilote ntfs-3g.
Ubuntu a besoin d'un minimum de 20 Go pour fonctionner correctement. Vous pouvez conserver le système de fichier Ext4 par défaut. Par exemple, s'il ne reste qu'une partition principale et que toutes les autres sont créées en tant que partitions logiques par le programme d'installation.