Les chercheurs expliquent que cela s'opère avec un catalyseur composé de carbure de molybdène, un matériau peu coûteux et résistant à la chaleur, qui est associé à du potassium et de l'alumine gamma. Il faut extraire le dioxyde de carbone présent dans l'eau, puis le transformer en monoxyde de carbone.
À partir de l'eau, avec de l'électrolyse, on va décomposer en oxygène et en hydrogène la molécule d'eau, on va obtenir de l'hydrogène qui est un carburant sauf qu'il faut beaucoup d'énergie, pas mal d'électricité.
Électrolyse de l'eau
La molécule d'eau, soumise à un courant électrique au travers de deux électrodes, se dissocie en oxygène et hydrogène gazeux : c'est l'électrolyse. Le courant électrique dissocie la molécule d'eau en ions hydroxyde (OH)- à la cathode et en protons H+ à l'anode.
Le processus de séparation de l'eau en hydrogène et en oxygène est connu sous le nom d'électrolyse. Cette méthode fonctionne en faisant passer un courant à travers l'eau qui contient un électrolyte soluble. Ce courant électrique brise l'eau en ses composants séparément aux deux électrodes.
Problématique. L'eau étant plus dense que le gasoil, les particules d'eau plus lourdes tombent au fond de la cuve et s'y accumulent. Lors du pompage de carburant, si une quantité d'eau trop importante est pompée, celle-ci peut engendrer une casse moteur puisque l'eau ne peut pas être compressée comme le gasoil.
Verser une canette de coca dans le réservoir, le but étant de ne pas colmater les choses trop vite mais que le liquide sucré se répande bien et bousille les injecteurs et autres pièces couteuses.
Un injecteur ou la pompe à injection d'un moteur diesel sont des pièces mécaniques de haute précision. De l'eau dans le gasoil peut créer des points de rouille qui les endommageraient définitivement.
Il existe trois méthodes pour fabriquer de l'hydrogène : l'électrolyse de l'eau, le reformage du gaz (ou vaporeformage) et la pyrolyse de méthane.
Il suffit de fabriquer un entonnoir conique en cuivre, dont le sommet est fermé et terminé par une structure pointue. On remplit ce cône d'azote liquide (température -192 °C) et l'oxygène de l'air, qui bout à -185 °C, se condense sur les parois externes du cône et coule goutte à goutte en bas le long de la pointe.
La cellule électrolytique est constituée de deux électrodes — habituellement en métal inerte dans la zone de potentiel et de pH considérée, typiquement du groupe du platine — immergées dans un électrolyte (ici l'eau elle-même) et connectées aux pôles opposés de la source de courant continu.
Mais l'hydrogène n'est pas une solution miracle du point de vue écologique. Il génère des pollutions, et son faible rendement le rend peu avantageux pour les usages où l'électricité peut déjà remplacer les énergies fossiles.
Où trouve-t-on de l'hydrogène ? L'hydrogène est un élément naturel qui peut être extrait à partir d'autres molécules telles que l'eau. Par exemple à partir des énergies renouvelables par électrolyse ou à partir d'autres sources d'énergies, telles que le gaz naturel ou le pétrole, par reformage.
Le procédé d'électrolyse consiste à faire passer un courant électrique dans l'eau (H2O), afin de la décomposer en dioxygène (O2) et dihydrogène (H2). Le dihydrogène est la forme moléculaire de l'hydrogène, qui peut être ensuite utilisé comme vecteur énergétique.
Comme on le voit, le moteur à eau existe bien, sous la forme de moteur à injection d'eau chez les constructeurs historiques, et plus artisanalement et loufoquement sous forme de kits à installer par des apprentis-sorciers nous promettant monts et merveilles (moteur Pantone ou kit d'injection Vix par exemple).
C'est par un processus de raffinage du pétrole que l'on obtient du gasoil. Assez proche du fioul domestique par sa composition chimique, le gazole est issu de la distillation fractionnée du pétrole brut, lorsque celui-ci est porté à une température de 200 à 350°C, à pression atmosphérique.
Composé à plus de 90% d'éthanol, ce carburant vert peut être utilisé par les poids lourds, les cars et les bus.
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L'azote industriel peut être produit soit par distillation fractionnelle cryogénique de l'air liquéfié, soit par séparation de l'air gazeux en utilisant l'adsorption ou la perméation.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a assuré dans un rapport qui date déjà de 2019 que l'hydrogène est une énergie d'avenir. En effet, grâce à son faible rejet de CO2 cette énergie paraît être une alternative crédible. Effectivement associée à une pile à combustible, cette énergie ne rejette pas de CO2.
Avec des procédés d'électrolyse industrielle, il faut aujourd'hui 1 l d'eau et 5 kWh d'électricité pour fabriquer 1 000 l d'hydrogène sous forme de gaz à la pression atmosphérique. Il faut ensuite comprimer ce gaz à 700 bars pour une utilisation automobile.
La présence d'un préfiltre décanteur à bord du bateau protège efficacement le moteur ; le bol doit être purgé de temps en temps pour vider l'eau. L'utilisation d'un préfiltre dans le bateau reste indispensable. Les marques garantissent généralement ces filtres pour une durée de 200 heures ou deux ans.
L'eau et le gazole
Les raisons sont les suivantes : Les variations de température créent des phénomènes de condensation sur les parois métalliques des cuves. Dans le gazole, la présence de plus en plus importante de "bio" EMAG (esters méthyliques d'acides gras) qui sont très hydrophiles.
On appelle cela densité, l'eau a une densité de 1 alors que l'essence est dans les environ de 0.9, elle va flotter sur l'eau car non soluble. Il faut se rappeler que l'essence est un mélange d'hydrocarbures légers et non un composé pur mais chacun des constituants est moins dense que l'eau.