La serpentine et l'alstonine sont des alcaloïdes indoloquinolizidine pentacycliques ; l'alstonine est le principal composant d'un remède à base de plantes servant à traiter la psychose et d'autres problèmes du système nerveux.
Médicaments et suivi médical
Différents médicaments peuvent être utilisés pour traiter les symptômes et prévenir de nouveaux épisodes psychotiques. Ces médicaments sont appelés « neuroleptiques » ou « antipsychotiques ».
Un épisode psychotique se soigne. Il est même possible d'en guérir. Le traitement doit pour cela être adapté aux symptômes et aux causes de la psychose. Il combine généralement médicaments et psychothérapie.
La psychose peut être associée à d'autres affections, dont les traumatismes crâniens, la consommation de drogues et plusieurs types de maladie mentale. Elle peut être un signe avant-coureur de la schizophrénie, une maladie mentale qui peut être débilitante si elle n'est pas traitée.
Lorsque nous renversons ainsi la question, le psychotique, s'il répond, prend le risque de se tromper : c'est là un risque majeur pour lui, lui qui éprouve si douloureusement le sentiment du vide de sa pensée, la menace de l'imbécillité. C'est bien pourquoi souvent il ne pose des questions que sur ce qu'il sait déjà.
Le traitement pour un épisode psychotique doit être le plus précoce possible. Un traitement débuté tardivement peut entraîner un rétablissement plus lent ou incomplet. Il est donc essentiel de consulter un médecin généraliste ou un psychiatre devant des signes évocateurs de psychose.
La psychose est une maladie mentale qui entraîne, par périodes, une incapacité à discerner le réel de l'irréel. Les psychoses se traduisent par des hallucinations et des délires (c'est-à-dire des propos irrationnels tenus sans que leur auteur soit en mesure de les critiquer ni d'en percevoir l'étrangeté).
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
L'approche émotionnelle du dialogue ouvert. Pour les thérapeutes finlandais du dialogue ouvert, la cause sous-jacente de ces symptômes et de ces maladies réside dans la vie émotionnelle de la personne affectée. Des non-dits liés à des événements traumatiques sont la racine de la psychose.
La prise en charge de la dépression psychotique fait intervenir des anti-dépresseurs tricycliques comme la clomipramine. Certains spécialistes recourent à des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. Ce traitement peut être suppléé par un antipsychotique.
Dépression psychotique : la personne fait une grave dépression accompagnée de symptômes psychotiques, sans la phase maniaque caractéristique du trouble bipolaire.
Parlez-vous comme à un ami
Prenez quelques minutes pour vous détendre de manière active : faites des mots croisés, buvez un thé, assemblez un bouquet de fleurs… Occupez-vous avec plaisir.
Demande à la personne concernée si vous pouvez échanger.
Parle à la personne d'une manière prudente et agréable pour vous deux. Garde à l'esprit que si la personne est en plein épisode de psychose, ce n'est peut-être pas le meilleur moment pour en discuter.
Il n'est pas nécessaire de parler pour être empathique. L'empathie passe d'abord par un regard authentique, la position corporelle et les gestes du clinicien pendant qu'il pose des questions, et surtout pendant qu'il écoute. Il faut éviter de prendre des notes, sauf après le départ du patient.
L'halopéridol est l'antipsychotique le plus couramment utilisé dans de nombreux pays et, avec d'autres antipsychotiques de forte puissance, est souvent considéré comme plus efficace que les antipsychotiques de faible puissance.
Anxiolytique léger : exemples, quelles indications ? Il n'y a pas d'anxiolytique anodin. "Toutefois l'oxazepam (Seresta®) a une durée d'action plus courte et est souvent prescrit chez la personne âgée.
Psychose et névrose sont des notions très différentes, quoiqu'elles concernent toutes deux des troubles du psychisme. La psychose se distingue essentiellement de la névrose par le fait que le sujet psychotique n'a pas conscience de ses troubles et qu'il perd contact avec la réalité.
De la même manière, le plus apaisant pour une personne délirante est d'être comprise. Que quelqu'un, enfin, entende et croit à ce qu'elle dit ! Il est possible, sur cette base, de construire ensuite une histoire avec laquelle toute la famille peut vivre.
La psychose hallucinatoire chronique
Dans cette psychose, les hallucinations sont nombreuses et touchent tous les sens. Le délire s'organise en général autour des thèmes de la persécution, du mysticisme ou de la mégalomanie. Cette psychose se déclare le plus souvent chez les femmes au moment de la ménopause.
Elles ont toutes des caractéristiques communes qui permettent de faire le diagnostic de la maladie : délires, hallucinations et troubles du court de la pensée très invalidants qui entraînent souvent des troubles du comportement.