Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
La prolifération des boules de gui se fait par les oiseaux qui mangent les baies et participent à la dissémination des graines qui, lorsqu'elles se retrouvent sur la branche d'un arbre, s'y installent pour germer.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Le plus simple est de couper, à l'aide d'un sécateur, les touffes de gui à la base et de creuser ensuite cette base jusqu'à ôter complètement le pivot destructeur. Il ne faut pas avoir peur de s'enfoncer dans la branche de l'arbre, c'est pour son bien !
Des fleurs mâles et femelles très discrètes sur des pieds différents. Les fleurs mâles et femelles du gui sont portées sur des touffes différentes (le gui est une plante dioïque) se développant sur le même arbre ou sur des arbres différents.
Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Il est plus facile d'éliminer le gui lorsqu'il est encore jeune car cela provoquera moins de dégâts sur les arbres. Le plus simple est de couper la touffe à ras avec une sécateur, une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Ensuite, creusez l'écorce afin d'extraire le suçoir dans sa totalité.
La tradition veut que s'embrasser sous le gui porte bonheur pour la nouvelle année. D'où vient cette habitude et pourquoi le gui, cette plante hémiparasite, jouit-elle d'une si bonne réputation ?
Toxicité et danger du gui pour les arbres
Le gui est une plante toxique qui est absolument défendu d'ingérer, tant ses feuilles que ses baies blanches. L'ingestion de gui peut provoquer de graves troubles digestives et cardiaques.
Elle produit des baies blanches à l'automne et en hiver qui la rende très décorative et largement utilisée lors des fêtes de fin d'année. Les jeunes rameaux, les feuilles et les baies sont toxiques. L'intoxication au gui chez le chien résulte surtout de l'ingestion des baies à l'occasion des fêtes de fin d'année.
Le ackee (Jamaïque)
Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l'hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d'empoisonnement.
Le gui, porte-bonheur
La plante, toujours verte, symbolise la vigueur et l'éternité. Mais, à l'instar du muguet du 1er mai, c'est aussi un porte-bonheur… à condition de respecter un certain rituel! Il faut le récolter avant Noël, s'embrasser dessous et, dit-on, le brûler la nuit du 6 janvier!
Il est habituel aujourd'hui d'accrocher dans les maisons cette plante décorative à l'occasion du nouvel an, en souhaitant qu'elle porte bonheur à tous ceux qui s'embrassent dessous. Cette tradition remonterait aux Gaulois.
Le gui est une plante druidique
Les druides l'utilisaient déjà comme hypertenseur, d'ailleurs, et traitaient aussi bien la coqueluche que la stérilité.
Le gui est un sous-arbrisseau très rustique qui vit pendant une trentaine d'années sur son arbre hôte. Il préfère les endroits ensoleillés ou mi-ombragés et pousse sur un sol.
Pour les druides : l'union du soleil et de la lune
Ils partaient le cueillir en hiver, lorsqu'il est à maturité avec ses baies blanches.
Dans le cas d'une greffe, le cambium va contribuer à la soudure et permettre de garantir une bonne reprise. Le mastic à greffer "Pelton" vendu en jardinerie est le plus connu : composé de 40% de résine, 15% d'huile végétale et 10% de cire d'abeille, il a une consistance assez pâteuse permettant de ne pas couler.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Il était alors d'usage d'accueillir les invités en les embrassant sous le gui pour leur porter chance, leur souhaiter de bonnes récoltes, la fécondité ou encore pour éloigner les mauvais esprits. Cette croyance a amené l'idée que s'embrasser sous du gui assurait pour l'année à venir prospérité et longue vie.
La plante devait rendre les récoltes plus abondantes et les femmes fécondes. Le gui faisait éloigner aussi le mauvais sort .
Sur quel arbre pousse le gui ? Le gui est facilement reconnaissable. Il forme des boules plus ou moins volumineuses sur les arbres d'ornement (érables, peupliers…) et les fruitiers (pommiers, noyers surtout, plus rarement sur les Prunus (prunier, cerisier) et très peu sur le châtaignier.
Alors que le gui est fait de boules blanches et de petites feuilles lisses, le houx, lui, se caractérise par des boules rouges et un feuillage piquant et denté.
Selon les résultats de leur recherche, publiés dans le Journal of Experimental Psychology: Human Perception and Performance, garder les paupières ouvertes nous rendrait aveugles aux autres sens et, donc, au toucher.