Du soutien psychologique à l'hypnose, en passant par la kinésithérapie, la relaxation, ou encore la méditation de pleine conscience, les soins non médicamenteux – en complément des médicaments antalgiques et des traitements du cancer – permettent d'apporter un bien-être physique mais aussi moral.
La méditation est une pratique de libération : elle permet de libérer l'esprit de ses mécanismes destructeurs. Lorsque l'on parle de méditation comme pratique de transformation de l'esprit, on dissout la souffrance.
Une douleur mentale (psychologique) intense «insupportable» est définie comme un sentiment émotionnellement extrêmement aversif qui peut être ressenti comme un tourment. Il peut être associé à un trouble psychiatrique ou à un traumatisme émotionnel grave tel que la mort d'un enfant.
Exprimer sa souffrance pour la libérer.
Il s'agit d'abord d'observer afin d'identifier la souffrance. Puis, au rythme possible pour chacun d'entre nous, il faudra pouvoir la reconnaitre, la ressentir pleinement, la laisser nous traverser, l'accueillir.
La pire des souffrances est celle de ne plus pouvoir aimer. La pire souffrance est dans la solitude qui l'accompagne. Notre pire souffrance n'est-elle pas de ne pouvoir imaginer l'endroit où ceux que nous aimons nous évitent ? La souffrance est pire dans le noir ; on ne peut poser les yeux sur rien.
isolement ou sentiment de solitude, absence de vie sociale et/ou affective, situation de maltraitance, sentiment d'échec pour elle ou pour un proche, antécédents d'épisodes dépres- sifs, etc.
Pleurer va vous permettre d'évacuer tout ce ressenti négatif, mais également de vous soulager. Les larmes vont vous aider à vider votre cerveau de toutes ces tensions accumulées, mais surtout de la fureur qui le submerge. C'est une façon comme une autre d'extérioriser sa colère sainement.
La somatisation est l'expression par des symptômes physiques de phénomènes mentaux. Elle est généralement associée à une détresse et à un handicap significatif qui altère souvent la vie quotidienne des personnes atteintes.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc. Ces réactions contribuent à entretenir votre douleur.
On parle de troubles psychiques lorsque l'état de bien-être est perturbé. L'individu est alors dans l'incapacité de s'adapter aux situations difficiles voire, douloureuses et de maintenir son équilibre psychique.
Elle peut s'appeler dépression, angoisse, anxiété, sentiment de solitude, tristesse, mélancolie, désespoir, sentiment de vide, d'abandon, de rejet,…
La douleur (comme sensation), la nausée, la détresse respiratoire, et la démangeaison sont des exemples de souffrance physique. L'anxiété, le deuil, la haine, l'ennui sont des exemples de souffrance mentale.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Courrez, marchez, pédalez, dansez, sautillez ! Profitez-en pour étirer vos muscles qui doivent être bien engourdis et respirez à pleins poumons pour chasser vos toxines. Ainsi vous allez déclencher la production d'endorphines, véritables hormones du bien-être. Et plus vous bougerez, mieux vous vous sentirez.
Mangez de façon équilibrée et buvez au moins 1 litre et demi par jour. On peut se sentir fatigué juste parce qu'on ne boit pas assez. Si vous le pouvez, faites 5 à 20 minutes de sieste chaque jour. La sieste rééquilibre le système nerveux et calme le stress.
Aujourd'hui, une prise en charge adaptée, une psychothérapie ciblée et des antidépresseurs permettent de briser le cycle infernal pour retrouver la joie de vivre. A condition d'être bien entouré et surtout de bien suivre son traitement.
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.
Changements physiques, par exemple fatigue, manque d'énergie, perte ou prise de poids. Changements psychologiques, par exemple tristesse, isolement, irritabilité ou manque de considération pour autrui. Changements cognitifs, par exemple troubles de la prise de décision, problèmes de mémoire ou erreurs plus fréquentes.
Les symptômes maniaques comprennent l'euphorie ou l'irritabilité, une activité ou une énergie accrue, et d'autres symptômes comme une plus grande loquacité, des pensées rapides, une meilleure estime de soi, un moindre besoin de sommeil, une distractibilité, et un comportement impulsif et téméraire.
Les principales causes de souffrance sont les maladies (dépression, maladies psychiques ou physiques). Mais aussi l'isolement qu'il soit social, familial ou lié à une séparation affective. Enfin, de nombreuses femmes citent également des violences (sexuelles ou autres).