Prendre conscience des risques liés à une catastrophe naturelle, adopter des mesures préventives de sécurité et mettre en place une gestion de crise sont les trois axes pour ne plus rester passif devant ces phénomènes dévastateurs.
Pendant : Suivez tous les ordres d'évacuation mais ne traverser jamais de zones inondées. Allez à l'étage le plus de votre maison ou de votre immeuble. Après : Faites attention aux débris qui se trouvent dans l'eau. Surveillez les moisissures dans les zones endommagées par les inondations + papiers assurances.
Dressez une liste de coordonnées des personnes à joindre en cas d'urgence – membres de votre famille, garderie, école, municipalité, etc. Faites le plan d'évacuation de votre maison, convenez d'un lieu de rassemblement et procédez à des exercices d'évacuation.
les mesures de conservation préventive, telles que le conditionnement, le microfilmage et la numérisation constituent aussi des moyens efficaces de réduire les conséquences des catastrophes. Il est beaucoup plus aisé d'évacuer des documents bien conditionnés.
La réduction des risques de catastrophes est réalisée grâce à des efforts qui visent: à réduire le niveau d'exposition aux aléas; à réduire le degré de vulnérabilité des personnes, collectivités, infrastructures, actifs, processus, services, etc .; à augmenter le niveau de préparation des communautés.
Les députés suggèrent de restreindre la monoculture et d'encourager le reboisement pour lutter contre les inondations et la désertification. Les zones du réseau Natura 2000 touchées par des incendies ou des inondations de- vraient aussi être réhabilitées par les fonds communautaires.
L'objectif est de diminuer les pertes de vies humaines et de moyens de subsistance. Des initiatives simples peuvent y contribuer, notamment la formation aux opérations de recherche et de sauvetage, la mise en place de systèmes d'alerte rapide, la planification d'urgence ou le stockage de matériel et de fournitures.
Les habitants peuvent directement bénéficier d'une meilleure gestion des catastrophes. Aux termes des directives de la DDC, la gestion des risques doit être systématiquement prise en consi- dération dans des programmes sélectionnés de l'aide humanitaire et de la coopération au dévelop- pement.
Les catastrophes peuvent être causées par des dangers naturels, artificiels et technologiques, ainsi que par divers facteurs qui influencent l'exposition et la vulnérabilité d'une communauté.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur la préparation aux urgences, visitez le site Preparez-Vous.ca. 1-900-565-4455; des frais de 2,99 $ la minute s'appliquent.
La construction parasismique est un des meilleurs moyens de réduire les dégâts que pourrait produire un fort séisme. C'est une mesure de long terme qui nécessite une bonne évaluation de l'aléa sismique pour que les normes soient adaptées.
Les trois sphères ainsi définies vont être celles de l'amour, du droit, et de la solidarité.
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
Pour protéger les populations des risques, plusieurs mesures sont mises en œuvre : On édifie des digues pour faire face aux inondations. On reboise pour lutter contre la désertification. Face aux séismes ou aux cyclones, on adopte des normes parasismiques ou paracycloniques pour la construction des bâtiments.
Une catastrophe naturelle est un phénomène naturel qui entraîne des conséquences dramatiques (victimes humaines ou animales, dégâts matériels). Ces phénomènes sont nombreux et difficiles à classer. On distingue toutefois habituellement les catastrophes géologiques, climatiques, biologiques ou écologiques.
Lorsque l'événement relève du domaine du probable ou du potentiel, cela renvoie à la notion de risque. En revanche, lorsqu'il est effectif, l'événement peut être qualifié de perturbation, d'accident, de crise, de désastre ou de catastrophe.
La notion de prévention décrit l'ensemble des actions, des attitudes et comportements qui tendent à éviter la survenue de maladies ou de traumatismes ou à maintenir et à améliorer la santé.
Mais l'action de l'homme est de plus en plus liée aux catastrophes : marées noires, explosion chimique ou industrielle (catastrophe de Bhopal en Inde, Tchernobyl), famine due à la sécheresse mais aussi au processus de désertification engendré par l'homme (au Sahel et en Éthiopie)…