Le chirurgien fait une petite incision à l'intérieur du nez, tout au fond. Il glisse ensuite l'endoscope dans le nez avant de le faire passer à travers l'os sphénoïde et le sinus sphénoïdal pour atteindre l'hypophyse. Il insère de petits outils dans l'endoscope pour enlever la tumeur.
Certains adénomes hypophysaires sécrétants nécessitent une intervention chirurgicale, lorsque la sécrétion d'hormones de croissance est importante (GH), responsable alors d'une acromégalie (c'est-à-dire d'une taille excessive chez l'enfant ou d'une modification de la taille des mains et des pieds, ainsi que du visage ...
La chirurgie de l'hypophyse intervient sur les adénomes de l'hypophyse, des tumeurs qui se développent à l'intérieur du crâne, plus précisément dans l'hypophyse, une petite glande située à la base du cerveau qui contrôle toutes les sécrétions hormonales de l'organisme.
sinusite : 0,6 à 9,6 % des cas, selon les études, qui nécessite, si elle survient, un traitement approprié (antibiotique). méningite : (c'est-à-dire infection du liquide céphalo-rachidien, qui entoure et baigne le cerveau) : 0,3 à 1,9 % des cas selon les études.
Cette tumeur de la base du crâne peut être découverte en cas de production excessive de certaines hormones (troubles des menstruations, écoulement mammaire, modification du visage, des mains des pieds, diabète, hypertension artérielle…) ou par compression des structures à proximité comme le nerf optique (vision floue, ...
Le chirurgien fait une petite incision à l'intérieur du nez, tout au fond. Il glisse ensuite l'endoscope dans le nez avant de le faire passer à travers l'os sphénoïde et le sinus sphénoïdal pour atteindre l'hypophyse. Il insère de petits outils dans l'endoscope pour enlever la tumeur.
L'hypophyse contrôle la fonction de la plupart des autres glandes endocrines et est donc souvent appelée glande maîtresse ou chef d'orchestre. * Ces hormones sont produites dans l'hypothalamus, mais sont stockées et sécrétées par l'hypophyse.
Comme elle fait partie du système endocrinien, l'hypophyse fabrique de nombreuses hormones différentes qui circulent dans tout le corps. Ces hormones contrôlent certaines fonctions du corps et indiquent à d'autres glandes de fabriquer d'autres hormones.
Chez certains membres de la famille, le FIPA peut être causé par des changements dans le gène AIP. Ces changements engendrent souvent la formation de gros adénomes hypophysaires qui fabriquent trop d'hormone de croissance (adénomes à hormone de croissance).
L'hypopituitarisme est une carence en une ou plusieurs hormones hypophysaires. Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent de l'hormone déficitaire et peuvent inclure une petite taille, une stérilité, une intolérance au froid, une fatigue et une absence de production de lait.
L'IRM permet de détecter une tumeur de l'hypophyse ou de savoir si une tumeur de l'hypophyse a envahi des régions voisines. Elle peut aussi servir à mesurer la taille de la tumeur. On a souvent recours à l'IRM pour observer le cerveau, la moelle épinière et l'hypophyse.
Tumeur bénigne qui se développe au niveau d'une glande. Un adénome de la prostate est une augmentation du volume de la prostate ; un adénome du côlon ou du rectum est une tumeur bénigne de la paroi interne du côlon ou du rectum, tapissée de glandes.
Il permet de reproduire, en passant par l'urètre, la technique d'ablation du noyau central de l'adénome habituellement réalisée par voie chirurgicale. L'adénome est énuclée, c'est-à-dire retiré d'un bloc, à l'aide de la fibre laser, puis repoussé dans la vessie.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
L'IRM, l'Imagerie par Résonance Magnétique
L'IRM est l'examen de référence pour étudier la région hypophysaire. Elle peut également être utilisée pour explorer les surrénales.
L'insuffisance hypophysaire correspond à un déficit de production de l'une ou plusieurs hormones sécrétées par l'hypophyse. Lorsque l'antéhypophyse (partie antérieure de l'hypophyse) est détruite par une tumeur, l'insuffisance antéhypophysaire hormonale qui en résulte est massive.
Le diagnostic de cette déficience de l'activité de l'hypophyse est généralement basé sur l'analyse d'un échantillon sanguin, à la suite d'une stimulation de la thyroïde (glande également productrice d'hormones).
De causes variées dont tumeurs, traumatismes, baisse du débit sanguin hypophysaire, infection, sarcoïdose, processus auto-immun, radiothérapie, exérèse chirurgicale de l'hypophyse, ou effet indésirable d'une opération de l'hypophyse, il en résulte en général en une baisse de la production d'hormone hypophysaire.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
L'hypophyse, du grec ancien 'hupofusis' « excroissance par-dessous » ou glande pituitaire, est une petite glande de la taille d'un raisin, de 7 à 8 mm de diamètre; elle se situe à la base du cerveau. Elle est suspendue à une structure cérébrale, l'hypothalamus, par la tige pituitaire.
Amas de cellules non cancéreuses. Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
Comment se déroule l'examen ? La personne est couchée sur une table qui glisse à l'intérieur d'un tunnel de 2 m de longueur environ. Il n'est pas nécessaire d'être endormi pour passer une IRM. L'examen dure de 20 à 30 minutes.