Je suis tellement désolé de t'avoir fait du mal. Je sais que mon comportement est inexcusable et je suis déterminé(e) à tout faire pour réparer les dégâts que j'ai causés. Je t'aime plus que tout au monde et je veux réparer ce que j'ai brisé dans notre relation. Je suis vraiment désolé pour tout le mal que j'ai causé.
En pardonnant
Il s'agit d'abord de se pardonner soi-même en arrêtant de se croire responsable des comportements du père toxique. En effet, les enfants de parents toxiques ont tendance à culpabiliser pour ne pas avoir à blâmer leur parent, chose qu'ils s'interdisent.
La meilleure façon de bien s'excuser reste d'assumer sa responsabilité. Inutile d'adopter une posture défensive en disant: «Je ne le pensais pas» ou «c'était une blague». Des études montrent que mettre des mots sur ses sentiments peut permettre de mieux gérer l'anxiété et la dépression.
Le pardon renvoie pour eux à une faiblesse dans l'image qu'ils renvoient aux autres, ce qui leur est impossible. Sous les airs de confiance en soi se cache en réalité une estime d'eux-mêmes fragile qui n'arrive pas à se valoriser autrement : "je ne m'abaisserai pas à présenter mes excuses".
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
Un parent toxique critique et se moque de son enfant
Un parent toxique ne félicite jamais son enfant. Rien n'est jamais assez bien, assez parfait. Il dira des phrases comme : « c'est bien mais tu aurais pu… ». Ce comportement finira par faire perdre à l'enfant sa confiance en lui.
De manière générale, on désigne, par "mère toxique", une mère qui ne sait pas tenir compte de l'individualité et de la personnalité de son enfant. Tournée vers ses propres besoins, elle utilise l'enfant pour son principal profit et, au lieu de favoriser son bon développement, va contribuer petit à petit à le détruire.
Donc, tu peux par exemple dire : « Oh, je n'aurais pas dû arriver en retard » ou : « Je n'aurais pas dû dire ça ». En disant « je n'aurais pas dû », indirectement, tu t'excuses et tu demandes pardon. Pour ce qui est de l'oral, de la parole, tu peux aussi dire « je retire ce que j'ai dit ».
Utilisez les mots « Je suis désolé » ou « Je m'excuse » : pensez à utiliser ces mots afin de bien vous faire comprendre de votre interlocuteur. Évitez de dire des choses comme « Je ne voulais pas manquer la réunion » et préférez plutôt « Je m'excuse sincèrement d'avoir manqué la réunion. »
Définition de impardonnable
Si «grammaticalement, la forme «je m'excuse» est correcte, on considère qu'il est un peu impoli de s'excuser soi-même», précisent les sages. «C'est la personne offensée qui excuse ou non celui qui l'a offensée.» Conclusion? Selon les académiciens, il est préférable d'employer la formule: «Je vous prie de m'excuser».
« Nous sommes désolés pour tout désagrément causé. » « Veuillez accepter nos excuses pour ce désagrément, notre équipe va s'en occuper. » « Désolé pour le dérangement. Appelez ce numéro pour parler avec un représentant du service client. »
Surtout, elle utilise et exploite son enfant pour lui fournir attention, admiration et combler ses désirs et ses besoins. Elle le fait se sentir aimé, important et apprécié, renforçant sa dépendance. Mais ce n'est qu'à son gré. Par conséquent, sa sur-implication avec son enfant peut camoufler sa parentalité toxique.
Il faut aussi faire le deuil de ses attentes d'enfant, car la mère toxique ne changera sans doute pas. Enfin, le meilleur conseil que l'on peut donner est de tenter de ne plus la voir comme une mère, mais comme une simple femme. De cette manière, ses dires auront moins d'impact et on pourra prendre du recul.
Les mères manipulatrices sont plus courantes que nous ne le pensons. Normalement, ce sont des femmes qui ne sont pas satisfaites de leur vie, ont peur de ne pas être aimées ou de perdre leur rôle maternel, donc elles veulent les attirer par la dépendance émotionnelle, le chantage émotionnel ou la coercition.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Parfois la tristesse n'apparaît pas en tant que telle et se traduit chez le patient dépressif par une irritabilité exacerbée. Il faut se faire à cette idée que le dépressif se fâche facilement : il est fréquemment énervé, irascible, susceptible et récriminateur contre ses proches et contre lui-même.
Je m'excuse sincèrement pour cela, car je sais que vous méritez toute mon attention et mon amour. Je vous aime et je suis reconnaissant(e) pour tout ce que vous avez fait pour moi. Je vais travailler sur notre relation pour la rendre plus forte et plus aimante de ma part. Je vous demande humblement pardon.
Il faut par conséquent qu'il y ait une reconnaissance par l'autre du mal commis. Si ce n'est pas le cas, le pardon ne sera pas complet, comme une expiration simple sans l'inspiration. Parlez en ensemble pour comprendre ce qui bloque le pardon et n'hésitez pas à prendre contact avec un thérapeute de couple.
I) On peut tout pardonner : cela découle de la nature et des fondements du pardon. Pardonner consiste à rompre l'engrenage souvent inéluctable des faits passionnels par lequel le mal subi suscite tout naturellement ressentiment, haine et désir de vengeance.