Laissez-lui le temps de se faire à cette nouvelle situation. Pour vous aider à entrer en empathie, pensez que vous serez peut-être un jour belle-mère à votre tour ! Cela vous aidera à comprendre son point de vue et à vous montrer plus indulgente face à certains de ses commentaires ou comportements.
Évitez les recettes trop épicées ou trop pimentées. Ça serait bête que votre belle-mère s'étouffe en plein milieu du repas, quand même. Pensez généreusement, mieux vaut en avoir trop que pas assez ! Au pire, s'il vous en reste, vous le mangerez demain en faisant un debrief du dîner avec votre moitié.
Faire preuve d'empathie envers sa belle-famille
Écouter ses beaux-parents avec empathie et essayer de comprendre leurs attentes est essentiel pour faire grandir le respect mutuel. Être écouté est souvent la chose que les beaux-parents attendent le plus.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Quelles distances garder avec sa belle-famille ? La distance que vous gardez avec vos beaux-parents, et notamment le fait d'employer le tutoiement ou vouvoiement, est à jauger selon votre ressenti. N'hésitez pas à en parler avec eux : pour être plus à l'aise, le mieux est souvent de leur poser directement la question.
On est plus proche de sa propre mère que de sa belle-mère, sauf cas rare. Mais il faut faire un effort pour lui donner une place, maintenir un équilibre entre les deux grand-mères pour éviter d'éventuelles jalousies entre elles. On peut essayer de la solliciter un peu pour lui montrer qu'elle a une place.
Il est important de s'ouvrir à l'idée qu'une belle-mère toxique est prête à tout et n'a aucune limite. Elle aime donner son avis et imposer son opinion à tout va. Elle ne prend pas du tout en compte le fait que les individus face à elle sont des adultes au même titre qu'elle.
Posez-lui des questions sur la façon dont elle a élevé ses enfants, ou sur son métier, sur sa façon de concilier vie de famille et vie professionnelle. Deux avantages à cela : une proximité possible avec elle, mais aussi un terrain de confiance.
Parce qu'elle aussi a besoin de temps précieux … avec vous ! « T'es super belle, ! », « Tu rayonnes ! », « 'Tu as bonne mine maman. » Tous ces mots doux qui donnent le sourire.
La chemise doit impérativement être bien ajustée. Vous pouvez avoir le plus beau tissu du monde, mais si la chemise est trop ample ou au contraire qu'elle vous boudine, l'effet escompté ne sera pas en rendez-vous. Misez de préférence sur une chemise sur-mesure.
La belle-mère est une matriarche : elle peut être celle qui réunit tous les membres de la famille et endosser un rôle de gardienne de clan quand ça se passe bien, mais parfois elle n'est pas autorisée à rassembler, à se mêler, ça dépend des cas", explique l'experte. "Elle peut aussi les désunir si ça se passe mal."
“Son rôle va aussi dépendre de la place que lui donne le père dans la vie des enfants : simple aide auprès du père pour faire respecter les rituels déjà mis en place ou bien implication plus ou moins importante dans l'éducation des enfants”, ajoute-t-elle.
Pour trouver sa place de belle-mère ou de beau-père, le conjoint est un allié. Il connaît ses enfants et surtout les éventuelles difficultés à l'origine de la séparation. Il peut donc aider les différents membres de la famille recomposée à s'apprécier mais aussi à vivre ensemble.
Constamment elle essaie de faire partie de votre vie mais ne tombe pas à pic. Résultat, elle se sent rejetée. La façon dont cela s'exprime: elle multiplie les arrivées improvisées, ne part pas quand elle tombe mal, se plaint d'être mal reçue, dit à votre chéri que vous n'êtes pas accueillante et que cela la peine.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Le modèle d'une mère trop présente peut traduire un manque de reconnaissance de vos propres valeurs, de la part de votre compagnon. Entraînant chez vous un manque de confiance en vous, ou de la déception face à son manque d'adaptabilité à une nouvelle situation. Dans les deux cas, le couple en pâtit.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Éviter sa belle-mère. Éloignez-vous d'elle. Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation.
Utilisez le principe du « merci positif ». « Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.