En ville, priorité aux bus, métros et tramways. Pour les longs déplacements, vous laisserez votre voiture et opterez pour les trains ou les avions. Les déplacements en bateaux seront peut-être privilégiés dans quelques années pour passer d'un continent à l'autre.
En 2100, nous vivrons toujours sur la planète Terre. Nous mangerons des légumes, des fruits et de la viande, un peu de tout ce qu'on mande aujourd'hui : en 2020. Nous nous déplacerons à pied, en bus, en voiture etc... Les voitures pourront voler.
Le vélo est le moyen de transport le plus rapide en ville. Dès lors que la distance à parcourir est comprise entre 1 et 5 km, le vélo est imbattable. Selon l'ADEME, la moitié des déplacements intra-urbains sont inférieurs à 3km, donc le vélo est le moyen de transport le plus rapide (15 minutes pour 3km).
Entre 2,5 km à 6 km, le vélo reste le véhicule le plus rapide. Il est suivi par la voiture, la marche à pied, le bus et enfin le métro. Pour parcourir plus de 6 km, la voiture reste le moyen de déplacement le plus rapide. Puis, vient le vélo, le bus et enfin la marche à pied.
EN CHIFFRES
En 2050, 30% les déplacements s'effectueront avec des véhicules partagés, 20% avec des véhicules individuels, 25% en transports collectifs, 15% à vélo et 10% en deux roues motorisés.
Des véhicules électriques intelligents
Plusieurs expérimentations sont actuellement menées à Nantes, à Vincennes, à Lyon avec de petites navettes électriques sans conducteur. Limitant la pollution en ville, connectées et autonomes, elles pourraient révolutionner les transports en commun de demain.
Nous serons tous des cyborgs
La première grande évolution repose sur le fait que nous ne serons plus 100% humains en 2050. En effet, chaque être humain sera augmenté, car doté de micro-robots circulant dans son corps et d'un assistant personnel greffé à son cerveau (bot cérébral*, appelé Mini-Moi).
Des modes de transport autonomes d'ici 2030
Annoncé depuis des années par de nombreux constructeurs automobiles (Tesla, Toyota) et d'autres sociétés réputées (Google, Uber), la voiture autonome sera le premier transport de demain, assurément.
Au total, la voiture de demain, construite selon un nouveau modèle, sera à la fois électrique, autonome et connectée. Elle fournira des bénéfices pluriels à l'ensemble de la société : moins de pollution, plus de sécurité, plus de temps libre et de services.
En outre, selon le rapport publié récemment par l'organisation EPM, 96% des nouveaux véhicules dans le monde seront dotés d'une connectivité intégrée, soit une multiplication par deux en 10 ans. La voiture de 2030 permettra la multiplication des interactions entre l'écosystème digital du véhicule et le vôtre.
Les modes de transports du futur se veulent être fluides, rapides et non polluants, comme le ET3 : The Evacuated Tube Transport. Ce moyen de transport hybride, que l'on ne verra pas avant 2070, sera silencieux, plus rapide qu'un jet, sécurisé et low cost. Un projet très ressemblant à l'Hyperloop.
Selon les données de l'ADEME, le train est le mode de locomotion le plus écolo et moyen de transport le moins polluant! En effet, le TGV équivaut à environ 14 g de CO2 par kilomètre. Il a notamment une faible consommation d'énergie, permet d'éviter le stress des embouteillages et la fatigue lors d'un long voyage.
Les résultats de son étude ne sont finalement pas si favorables aux solutions respectueuses de l'environnement : 37% des jeunes interrogés vont étudier en véhicule motorisé, tandis que 22% recourent aux transports en commun, 19% optent pour le covoiturage, 16% privilégient la marche et 6% seulement emploient leur vélo.
Une ville écologique
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
Favoriser les espaces verts en ville en limitant la circulation des véhicules pour dégager de l'espace. Créer des espaces verts dans les résidences autour des logements, créer plus de jardins publics. Laisser croître plus la nature en ville, à chaque pied d'arbre, des plantations à chaque place publique, des arbres.
Cependant, les projets des villes de demain comportent aussi des limites : ils peuvent être pensés sans l'avis des populations concernées, n'être accessibles que par une minorité et avoir pour conséquence une surveillance accrue des citoyens.
Pour réduire les émissions du transport routier, il est nécessaire d'actionner de multiples leviers : efficacité énergétique, nouvelles motorisations, augmentation du taux d'occupation des véhicules, report modal, choix d'aménagement du territoire pour réduire le besoin en transport.
Transports en commun (bus, tramway) et solutions individuelles propres (vélo, trottinette électrique). Si ces nouvelles solutions de mobilité constituent une première réponse à la saturation des villes engendrée par l'augmentation du nombre de véhicules particuliers, elles en sont aussi la cause.
Le scooter, le véhicule le plus pratique en ville
Faites un même trajet avec une voiture ou un quelconque deux-roues (moto, scooter, vélo électrique ou non) en pleine période de pointe, le deux-roues arrivera à coup sûr en tête ! Et oui, le deux-roues permet réellement d'améliorer la mobilité de chaque citadin.
Rapide et efficace : le roller !
Le roller est un moyen efficace et très rapide. En 8 ou 6 roues, cela reste une alternative très sportive pour se déplacer dans les rues encombrées d'une capitale. Les 3 roues vont plus vite et les 4 roues sont, eux, plus maniables. À vous de faire votre choix !