Amener le public à intégrer sans crainte les personnes vivant avec le VIH dans la vie de tous les jours; Donner de l'information sur la prévention combinée aux personnes vivant avec le VIH tout en leur adressant un message de soutien et de solidarité.
Une vaste étude confirme une nouvelle fois que les personnes sous trithérapie chez qui le virus est indétectable ne transmettent pas l'infection lors de rapports sexuels non protégés.
Il est habituel de retrouver dans le sang une charge virale (quantité de virus dans le sang) exceptionnellement élevée. Si des signes peuvent se manifester (des signes communs à toute infection virale comme de la fièvre, des douleurs aux articulations), il n'y a pas de maladie grave ou spécifique.
Les progrès thérapeutiques leur permettent de vivre sans effets indésirables handicapants. Elles bénéficient d'une durée de vie égale à celle d'une personne séronégative. Elles travaillent, aiment, se marient (y compris les gays et les lesbiennes depuis l'adoption du mariage pour tous en 2013).
Dans l'étude, les femmes VIH+ traitées par ARV (antirétroviraux) avaient une espérance de vie supérieure de 10 ans à celles des hommes, et les usager-ères de drogues une espérance de vie inférieure de 20 ans à celles des non-usager-ères.
Le cas des ARV en général
D'une façon générale, et on s'en doute depuis quelques années, les personnes vivant avec le VIH sous traitement ARV prennent du poids plus facilement que les personnes séropositives, et ce, quel que soit leur poids initial.
Les médecins veulent procéder à d'autres tests après l'annonce selon laquelle un Écossais atteint du virus du sida serait redevenu séronégatif. Un Écossais de 25 ans affirme être la première personne à redevenir séronégative, quatorze mois après une analyse ayant montré la présence dans son organisme du VIH.
Après déclenchement du sida et en l'absence de traitement, l'espérance de vie ne va plus que de quelques mois à trois ans.
On parle de charge virale indétectable lorsque, grâce au traitement pris par la personne séropositive, la quantité de VIH est tellement faible (nombre de copies du virus inférieur à 20), qu'elle ne peut plus être détectée au laboratoire grâce aux techniques actuelles.
Le sida, la syphilis
Les pathologies infectieuses sexuelles sont bien connues pour provoquer une perte de poids en raison d'une augmentation du métabolisme de base.
Le traitement antirétroviral doit être débuté avant que le taux de CD4 ne soit trop abaissé, de manière à éviter les infections opportunistes et à préserver le devenir à long terme de la personne. De nombreux facteurs sont à prendre en compte pour décider du moment d'initiation du traitement.
Seule solution : suivre un régime équilibré. Nausées, diarrhée, perte d'appétit... tels étaient les effets indésirables des premières trithérapies qui ont longtemps perturbé la vie des malades du sida. Même si les nouveaux antirétroviraux sont moins agressifs, pris à long terme, ils perturbent quand même l'organisme.
Les médicaments recommandés en première intention sont Truvada® ou Kivexa®, associé : – soit à l'efavirenz (Sustiva) – soit à une antiprotéase parmi le lopinavir/r (Kaletra®), le fosamprénavir/r (Telzir®) ou l'atazanavir/r (Reyataz®).
Amener le public à intégrer sans crainte les personnes vivant avec le VIH dans la vie de tous les jours; Donner de l'information sur la prévention combinée aux personnes vivant avec le VIH tout en leur adressant un message de soutien et de solidarité.
Les mères séropositives devraient arrêter d'allaiter leur bébé au sein sur une période plus courte que d'ordinaire (par exemple, le passage de l'allaitement maternel exclusif à une alimentation de remplacement ne devrait durer qu'environ deux semaines au maximum), parce que le bébé risque davantage d'être contaminé par ...
Les IST sont exclusivement contagieuses lors de ce type de contact. Un seul contact sexuel suffit pour la transmission d'une IST, sans qu'il n'y ait besoin d'avoir pénétration vaginale ou éjaculation. L'infection peut se faire par la bouche en cas de rapport oral.
Sur ces huit infections, quatre peuvent être guéries : la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose et la trichomonase. Les quatre autres sont des infections virales incurables : l'hépatite B, le virus de l'herpès (HSV), le VIH et le papillomavirus humain (PVH).
La chlamydiose, la gonorrhée, la trichomonase et la syphilis sont quatre conséquences possibles des rapports sexuels que nous aimerions tous pouvoir éviter. Or, d'après de nouvelles estimations mondiales, plus d'un million de nouveaux cas de ces IST sont enregistrés chaque jour.
La chlamydia
Elle peut de temps en temps se manifester par des brûlures, des écoulements inhabituels, des douleurs lors des rapports sexuels, des maux de ventre ou de la fièvre. Les signes apparaissent généralement 1 à 2 semaines après la contamination.
La contamination par le VIH passe le plus souvent inaperçue (absence de symptômes). Mais elle peut se manifester par l'apparition de fièvre, une éruption, de la fatigue ou une diarrhée. Ces signes peuvent survenir 15 jours après le rapport sexuel contaminant.