Il s'agit d'abord de se pardonner soi-même en arrêtant de se croire responsable des comportements du père toxique. En effet, les enfants de parents toxiques ont tendance à culpabiliser pour ne pas avoir à blâmer leur parent, chose qu'ils s'interdisent.
Si votre père est en colère ou violent, vous devez éviter de vous disputer avec lui ou de le raisonner. Dans ce genre de situation, la meilleure des choses à faire est de rester silencieux(se) et de ne parler que s'il s'adresse directement à vous.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Mieux vaut répondre calmement et avec de la distance : “ça c'est l'avis de ton père, ce n'est pas la réalité”. - Si le parent manipulateur porte des attaques concernant la garde et que l'enfant en parle : "Expliquez-lui que tout ça n'est pas votre faute.
Un parent manipulateur pervers narcissique se projette sur son enfant, il ne l'accepte pas tel qu'il est. Son enfant n'a d'intérêt que s'il peut en faire un objet de jouissance. S'il ne correspond pas à l'image souhaitée. Il sera rejeté, brimé, humilié...
Le parent manipulateur se projette sur son enfant, qui n'a pour lui qu'un intérêt de jouissance. Il le rejette et l'humilie, fait même en sorte qu'il échoue : il n'est jamais assez bien, jamais parfait. Lorsqu'il réussit, le pervers narcissique s'approprie la victoire : c'est grâce à lui que l'enfant réussit.
Généralement ce comportement arrive quand quelque chose le contrarie, ou qu'il est jaloux. C'est un homme un peu alcoolique par moment, ayant eu une vie pas facile, mais est ce une raison pour nous faire souffrir comme cela. Ces insultes font beaucoup de mal, il ne s'excuse jamais.
Un parent toxique s'immisce dans la vie de son enfant, quitte à violer son intimité. Il ne se sentira jamais de trop et ne pensera pas un seul instant que son enfant peut se passer de son avis ou de ses conseils. En règle générale, un parent toxique est incapable de faire confiance à son enfant.
Renforcez votre estime de vous.
Affronter vos propres voix intérieures négatives est un moyen efficace pour vous libérer de cet environnement toxique. Si votre père se moque souvent de vous ou vous rabaisse, vous pourriez avoir l'habitude de vous critiquer de façon acerbe, peut-être même en prenant sa voix.
Comme son nom l'indique assez bien, le parent négligent est celui qui «vit le travail parental comme une insupportable responsabilité supplémentaire» et fait tout pour s'en acquitter le moins possible.
Dans ce cas, la meilleure chose à faire si vous vous aimez et que vous tenez à votre bonheur et santé mentale est de les quitter, de vous éloigner d'eux, voir couper la relation avec eux. Une autre option, à défaut de complètement couper les ponts, est de ne plus partager vos histoires personnelles avec eux.
Toujours dans une approche stratégique que l'on pourrait qualifier de salutairement égoïste, pardonner, non pas pour absoudre l'autre de sa responsabilité, mais dans le simple but d'aller mieux, peut-être en leur trouvant des circonstances atténuantes, peut permettre de sortir de la position de victime et de dépendance ...
Le dénigrement de l'autre parent sera sanctionné par le juge. L'article 388-1 du Code civil prévoit la possibilité pour l'enfant de demander à être entendu par le juge aux affaires familiales (JAF). Cette demande doit être adressée directement au magistrat par lettre manuscrite de l'enfant.
Soit on s'éloigne du parent toxique, on met des distances, on coupe les ponts mais sans culpabiliser. Soit on agit avec suffisamment de recul, presque comme si c'était une personne étrangère, comme un infirmier qui gère un malade, mais cela demande beaucoup de stabilité émotionnelle.
Même s'il l'est en apparence. Ce n'est que pour mieux le manipuler et le rendre redevable et dépendant. Le parent PN considère son enfant comme un objet qui peut servir ses intérêts et son image sociale. Il est incapable de considérer que son enfant a des désirs, des émotions et des besoins qui lui sont propres.
Les pervers narcissiques donnent à l'extérieur une image irréprochable de leur famille. La première chose qu'ils exigent d'un enfant sera de correspondre à l'image figée de leur décorum social. Difficile donc pour l'enfant de se construire.
Être un bon papa c'est savoir adapter sa manière de communiquer avec un tout petit, consacrer des moments exclusifs et de qualité à son enfant, en veillant d'abord, à être disposé soi-même, à vivre ce moment de partage.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Comment le contrer : il est essentiel de ne pas se soumettre au harceleur. Plus on cède, plus ses exigences seront nombreuses et intenses. La meilleure alternative est de lui faire prendre conscience de la situation anormale qu'il génère, expliquer ce que l'on ressent sans critiquer directement son comportement.
Pour déjouer sa tactique et pour protéger vos petits ou vos adolescents, vous devez leur faire comprendre que quoi qu'il arrive ils n'y sont pour rien dans le comportement du parent manipulateur. Il faut leur expliquer qu'ils ne doivent pas rentrer dans son jeu.