Symptômes (attention : les poissons ne présentent pas forcément tous les symptômes à la fois!): les poissons sont léthargiques, se nourrissent peu ou pas du tout. Ils ont un comportement craintif et reposent sur le gravier les nageoires recroquevillées ou alors aspirent constamment l'air en surface.
Le poisson peut être piquant ou amer. Des rougeurs faciales et éventuellement des nausées, des vomissements, des douleurs épigastriques et une urticaire, se produisent dans les minutes qui suivent l'ingestion et disparaissent en 24 heures.
De manière générale, il vaut mieux éviter le thon rouge, le requin et les poissons de grands fonds (flétan, grenadier, empereur, sabre noir, lingue bleue etc.), qui font partie des espèces menacées. D'autre part, il vaut mieux varier les espèces que l'on consomme pour répartir la pression exercée.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon…
L'observation est essentielle pour savoir si vos poissons ont un comportement normal ou pas. Ils doivent nager aisément, manger, garder une coloration soutenue et une bonne apparence générale. Impossible de prendre la température d'un poisson, de l'entendre respirer ou éternuer.
« Lorsqu'il mange du poisson à l'état cru, pas assez cuit, ou juste mariné dans des préparations à base de sel, citron, huile ou vinaigre, le consommateur peut être contaminé par ce ver, responsable de troubles digestifs graves », poursuit la préfecture du Finistère.
En quantités excessives, le mercure est très toxique, et particulièrement le méthylmercure, qui représente 90 % du mercure dans le poisson. Mais il n'y a pas lieu de paniquer pour autant. La loi fixe la quantité de mercure acceptable dans le poisson, et ce seuil n'est normalement jamais dépassé en pratique.
Pour les polluants organiques, les poissons les plus contaminés sont : l'anguille, la sardine, l'empereur, le bar, la daurade, l'étrille et le crabe. Les produits en conserve contaminés par les métaux lourds sont notamment : la sardine, le crabe, le thon et l'anchois.
Les grands poissons prédateurs (qui mangent d'autres poissons) comme le brochet, l'achigan et le doré jaune ont une plus grande probabilité d'avoir une forte teneur en mercure, ayant mangé de nombreux poissons plus petits qui ont accumulé du mercure par l'ingestion de plancton.
Enfin, le saumon, la truite et l'aiglefin figurent parmi les espèces les moins contaminées. Les moules, palourdes ou pétoncles sont considérées sans risque. Par contre, le homard américain semble accumuler beaucoup de mercure, à ne consommer qu'une fois par mois.
Ce poisson est un des plus susceptibles de contenir des polluants. Non seulement il est gras et les lipides concentrent les polluants, et c'est un prédateur qui, en consommant des poissons plus petits, absorbe les toxiques que ceux-ci peuvent contenir.
Pourquoi une trop grande consommation de poisson peut-elle être néfaste ? Les poissons peuvent être contaminés par des polluants présents dans l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthylmercure, qui peuvent avoir des effets néfastes sur la santé en cas de surexposition.
Manger du poisson issu de pratiques de pêche intensive a donc un effet catastrophique sur les émissions de gaz à effet de serre.
Maux de ventre, diarrhées, vomissements… Voici autant de symptômes qui indiquent une potentielle intoxication alimentaire.
Le traitement est le plus souvent symptomatique : diète, hydratation, correction des désordres hydro-électrolytiques pour les formes simples, réanimation cardio-vasculaire et respiratoire pour les formes graves évoluées.
Les poissons qui peuvent être consommés sans restriction
Selon le rapport, l'aiglefin et le saumon sont les deux espèces de poisson qui présentent le moins de mercure et peuvent donc être consommés librement.
Les éruptions cutanées, la transpiration excessive, l'irritabilité, la fibrillation musculaire, la faiblesse et l'hypertension artérielle sont autant de symptômes de l'exposition à des niveaux élevés de composés inorganiques du mercure.
Tilapia : un poisson très bien accepté par les consommateurs
Le tilapia rencontre également un certain succès car son élevage demande peu de main d'œuvre. Par ailleurs, il est particulièrement bien accepté par les consommateurs dans le monde.
Les poissons prédateurs (en haut de la chaîne alimentaire) comme le requin, l'espadon et le marlin, le siki, les lamproies et, à un moindre degré, le thon, le brochet ou le barracuda, sont les poissons qui contiennent les concentrations les plus élevées de métaux lourds.
Pour les premiers, attention à ne pas choisir n'importe lequel. Il vaut mieux privilégier les petits poissons type sardines, maquereaux, harengs. On peut sans problème les consommer tous les jours car outre une teneur en protéines, ils sont riches en omega 3, excellent pour le cœur. Attention au saumon et au thon.
Appartenant à la famille des Scorpaenidae, le poisson-pierre est tout simplement le poisson le plus venimeux du monde.
Très créatifs, les natifs du poisson sont souvent doté d'un sens artistique pointu et d'un don pour les arts. Leur plus grande faiblesse: La naïveté. Intuitif et romantique, ce signe a tendance à accorder sa confiance trop facilement... Les natifs du poisson sont également très indécis, leur deuxième plus grand défaut.
Pas de steak de thon, trop riche en protéines
Espadon, requin, maquereau roi, marlins, roussette, thon… Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes.
De précieux minéraux aux nombreux bienfaits
Parmi les minéraux présents dans les sardines, le calcium3 est sans doute celui dont les bienfaits sont les plus connus. Le rôle du calcium sur la formation et le renouvellement osseux en fait un partenaire à tous les âges de la vie.
Véritable allié santé, le maquereau est riche en oméga 3, notamment en Acide Eicosapentaénoïque (EPA) et en Acide Docosahexaénoïque (DHA). Ces acides gras polyinsaturés sont spécifiques aux animaux marins : poissons et fruits de mer. Ils contribuent notamment au fonctionnement normal du cerveau1 et des yeux1.