Les chats sont très sensibles aux affections respiratoires. Des éternuements à répétition ou une difficulté à respirer sont des signes à prendre au sérieux. Les rhinites sont fréquentes et entraînent généralement des éternuements et des écoulements au niveau des yeux et/ou des narines.
Ces petits bruits respiratoires peuvent être le signe de diverses atteintes du nez, des cavités nasales ou du pharynx. Certaines affections sont bénignes et ne nécessitent pas de traitement particulier tandis que d'autres doivent vous alerter et motiver une consultation chez le vétérinaire.
Respiration du chat
La fréquence respiratoire est de 20 à 40 fois par minute, légèrement supérieure à celle des chiens. Les chats respirent toujours par le nez et normalement ne haleèent pas, comme le font les chiens pour se rafraîchir.
Ces maladies qui touchent l'appareil respiratoire atteignent le chat lorsque celui-ci a attrapé froid, comme l'homme. Il émet alors un miaulement faible, voire muet, car ses cordes vocales sont irritées et enflammées, et sa toux est sèche et rauque.
Les signes qui doivent vous alerter
- Des yeux rouges ou bien qui coulent, des éternuements, une toux ou des difficultés à respirer…
Symptômes de l'asthme chez le chat
Un chat souffrant d'asthme a des difficultés respiratoires de degrés variés. Les autres symptômes sont la toux, des éternuements et la respiration avec la bouche ouverte.
Un animal qui souffre présente souvent un regard éteint, il est replié sur lui-même et moins « vivant » qu'à son habitude. Un chat qui souffre à souvent les yeux abattus, moins ouverts et « fronce les sourcils ».
Le liquide « tend » les poumons qui ne peuvent plus se « gonfler » puis se « dégonfler » assez lors la respiration : le chat respire donc très difficilement, et doit parfois ouvrir la gueule pour inspirer et expirer au maximum.
Traitement de la bronchite asthmatiforme chez le chat
Un apport d'oxygène est parfois nécessaire et la gestion de l'inflammation indispensable. Par injection ou via des inhalations, le vétérinaire s'applique à calmer l'inflammation et à dégager les voies respiratoires.
Quels sont les signes du coryza chez le chat ? Après une incubation courte (2 à 5 jours), apparaissent les signes respiratoires (sifflements, toux, éternuements), les écoulements des yeux et du nez, la perte d'appétit et parfois les ulcères dans la bouche, de manière plus ou moins importante selon les animaux.
Dans la plupart des cas, les virus comme le Parainfluenza ou le Calzi attaquent les poumons du chat suite à une inhalation de corps étrangers.
Nos vétérinaires vous répondent: Si votre chat est bruyant quand il dort, c'est peut-être parce que son gosier est un peu étroit. Les raisons peuvent aussi provenir d'autres parties des voies respiratoires. Vous devriez le conduire chez le vétérinaire.
Les symptômes du rhume chez le chat sont pour la plupart les mêmes que chez nous autres humains : écoulements des yeux et du nez, éternuements, légère fièvre, perte d'appétit et parfois, quoique rarement, toux. Il s'agit en réalité d'une infection respiratoire, qui peut être causée par une bactérie ou un virus.
La respiration laborieuse des chats ressemble beaucoup à l'halètement des chiens. S'il n'y a pas de problème à ce qu'un chat respire comme un chien, ce comportement doit être peu fréquent et ne pas s'accompagner de narines dilatées ou d'autres symptômes inquiétants.
dégradation respiratoire et apparition d'un œdème pulmonaire qui entraînent une détresse respiratoire pouvant aller jusqu'à la mort. la mort subite ! Nettement plus fréquente chez le chat que chez le chien ! Elle peut survenir avec 1 seul ver et chez un chat totalement dépourvu de symptômes.
La cause la plus fréquente de l'insuffisance cardiaque est l'infarctus du myocarde. Celui-ci crée une lésion irréversible d'une partie du muscle cardiaque et ne permet plus au cœur de fonctionner normalement. L'angine de poitrine grave peut également se compliquer d'insuffisance cardiaque.
PRINCIPALES CAUSES POSSIBLES LORS DE LA TOUX CHEZ LE CHAT
Les plus fréquentes sont : Maladies respiratoires pouvant toucher le larynx, la trachée, les bronches, les poumons et dont l'origine peut être infectieuse (virus, bactéries, …), parasitaire, tumorale, corps étrangers, … mais aussi de l'asthme bronchique félin.
Ronronnements : Le ronronnement ne signifie pas nécessairement que votre chat souffre. Il est au contraire synonyme de caresses et de moments câlins avec votre animal. Cependant si les ronronnements accompagnent un autre signe relatif à une éventuelle douleur, il s'agit surement d'une douleur significative.
Un chat qui souffre d'une douleur chronique « peut avoir une apparence négligée et se comporter de façon très différente de la normale. Il se recroqueville sur ses membres, la tête et le cou courbés, et il émet un cri distinctif ou des sifflements et des crachotements. Ses oreilles sont aplaties.
Il arrive aussi que le miaulement soit très fort, plaintif, parfois avec une voix tremblante ; ce genre de bruit exprime alors la peur, l'inconfort, la douleur. Le grognement et le feulement (le chat "crache") sont des signes d'agacement ou d'avertissement : le chat est prêt à attaquer ou quelque chose l'énerve.
Il se manifeste par des crises, caractérisées par des épisodes de gêne respiratoire (essoufflement), de respiration sifflante, de toux sèche ou de sensation d'oppression dans la poitrine. Les crises d'asthme peuvent durer de plusieurs minutes à quelques heures.
Toux : douleur, expectoration de fluides (sang, pus, mucus), aiguë ou chronique. Autres symptômes respiratoires : éternuements, difficulté à respirer, bruits lors de la respiration (sifflements, cliquetis), écoulement nasal, difficulté à avaler, étouffement.
La bronchite chronique féline est une inflammation des voies respiratoires qui est due une réaction d'allergie à des allergènes inhalés. Le signe clinique le plus fréquent est la toux. Dans les cas plus graves, des difficultés respiratoires apparaissent.