Tout contact physique à connotation sexuel, non désiré et effectué sans le consentement de l'autre peut être considéré comme une agression sexuelle. Ces attouchements ne se font pas nécessairement sur des parties intimes. Un baiser, une caresse peuvent aussi être considérés comme une agression sexuelle.
L'amnésie peut ne pas apparaître immédiatement après un événement traumatique ou stressant. Elle peut prendre des heures, des jours, voire plus avant d'apparaître. Peu après la perte de mémoire, certaines personnes semblent confuses. Certaines sont très angoissées.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
avoir le sentiment de ne plus vouloir ou de ne plus pouvoir vivre. épisodes répétés de violence physique ou sexuelle. sentiment de haine envers soi-même ou faible estime de soi.
L'abus et la négligence envers les personnes aînées peuvent être d'ordre physique, psychologique, financier, sexuel et spirituel. L'abus physique suppose le rudoiement ou la violence, même si ces manifestations ne causent pas de blessures. L'abus physique peut aussi se manifester par la menace de l'usage de la force.
Les souvenirs refoulés peuvent vous revenir de diverses façons, y compris par un déclencheur, des cauchemars, des flashbacks, des souvenirs corporels ou des symptômes somatiques. Cela peut entraîner un sentiment de déni, de honte, de culpabilité, de colère, de blessure, de tristesse, d'engourdissement, etc.
1. Une mauvaise mémoire. L'un des signes les plus persistants d'un traumatisme infantile aussi grave est que les gens ne se souviennent souvent pas de l'abus infantile. Dans ces cas, il est important de ne pas forcer la mémoire.
Pour faire " sortir " les souvenirs traumatiques enfouis, le médecin psychiatre ou le psychologue pourra notamment avoir recours à l'hypnose ou à l'eye movement desensitization and reprocessing (EMDR), une thérapie brève qui repose sur des mouvements oculaires répétés.
Les attouchements non voulus aux seins, au vagin, au pénis, à l'anus ou à d'autres endroits constituent un abus sexuel. Il en est de même lorsqu'une personne en force une autre à avoir une relation sexuelle (ce qu'on appelle un viol) ou à la toucher de façon sexuelle.
L'abus émotionnel est un comportement psychologiquement destructeur de la part d'une personne en position de pouvoir, d'autorité ou de confiance, qui comprend une attaque continue sur l'estime de soi d'une personne.
L'abus physique sous-entend l'utilisation d'une force physique envers un enfant qui peut lui causer des blessures ou lui en a causées.
Les traumatismes infantiles
Des traumatismes plus graves peuvent entraîner des cas de trouble de stress post-traumatique chez les enfants et les adultes, avec des conséquences telles qu'une perte de conscience ou de mémoire, des problèmes relationnels, une vision déformée de la réalité et des problèmes émotionnels.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
Il y a aussi un aspect physique des lésions cérébrales impliquées. Lorsqu'elles subissent un abus émotionnel constant, les victimes subissent un rétrécissement de l'hippocampe et un gonflement de l'amygdale, ces deux circonstances conduisent à des effets dévastateurs.
Les différentes formes d'abus de pouvoir
Quelques exemples : intimidation, humiliation, harcèlement, menace, chantage et coercition. Exemple : un dirigeant abuse de son pouvoir d'employeur pour demander la démission d'un salarié, alors qu'une démission doit résulter de la volonté claire et sans équivoque d'un salarié.
Au contraire, l'invalidation émotionnelle consiste à ignorer, nier, critiquer ou rejeter les sentiments d'une autre personne. Plusieurs études se sont intéressées aux effets que peut avoir l'invalidation. Les conclusions sont claires : elle est très nocive pour la santé mentale.
Attendez-vous à une période de déni et de refoulement.
Ces actions ont un rôle important dans le processus de gestion et de guérison. Une victime passe souvent par une phase pendant laquelle elle fait comme si le viol n'a aucun effet sur sa vie et comme si ce n'était qu'une mauvaise expérience sexuelle.
Cette amnésie de notre enfance s'expliquerait donc par cette mise en place progressive des processus fondamentaux de la mémoire. Ces processus servent à la formation, la consolidation et la récupération de souvenirs. En pleine formation à cet âge, ils ne seraient donc pas en mesure de remplir pleinement leur rôle.
Cette amnésie de l'enfance est connue de longue date, toutefois les recherches menées ces dernières années ont montré que non seulement les adultes n'ont pas de souvenirs de moments vécus avant l'âge de 2 ans, mais qu'ils en ont également très peu pour les moments vécus entre 2 et 6 ans.
«La mémoire n'est pas quelque chose de fixe, c'est un processus actif et dynamique. Lorsque le bébé naît, son cerveau n'est pas encore mature au niveau neuronal, explique-t-il, car de nouveaux neurones vont se créer. En se mettant en place, ils vont déstabiliser les souvenirs existants.
Lorsque le cerveau se sent en danger, il enclenche en effet un système d'autoprotection menant à deux possibilités : prendre de plein fouet le moment présent associé au mauvais souvenir et réagir sur le coup des émotions, ou mettre de côté ces flashs anxiogènes pour continuer d'avancer.