L'hypopituitarisme est une carence en une ou plusieurs hormones hypophysaires. Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent de l'hormone déficitaire et peuvent inclure une petite taille, une stérilité, une intolérance au froid, une fatigue et une absence de production de lait.
L'endocrinologue est un médecin spécialisé dans les hormones à sécrétion interne. Il est donc capable d'évaluer le fonctionnement du système hormonal, et de traiter les troubles qu'un dérèglement peut engendrer, aussi vastes que ces troubles puissent être.
Des recherches ont démontré que la lumière du jour, via l'hypothalamus, augmente le niveau de sérotonine. Attention! Ce n'est pas une raison pour ne pas prendre les effets néfastes du soleil au sérieux. L'idéal, c'est de profiter des premiers rayons du matin, moins intenses que ceux qui brillent entre 11 h et 16 h.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui à leur tour libèrent le cortisol. Le cortisol a pour but de fournir au cerveau un apport en énergie suffisant pour nous préparer à faire face au stress.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
De causes variées dont tumeurs, traumatismes, baisse du débit sanguin hypophysaire, infection, sarcoïdose, processus auto-immun, radiothérapie, exérèse chirurgicale de l'hypophyse, ou effet indésirable d'une opération de l'hypophyse, il en résulte en général en une baisse de la production d'hormone hypophysaire.
Parmi les anomalies de l'hypothalamus, on peut noter : Le syndrome hypothalamique dû à un dérèglement des centres nerveux, suite à une encéphalite (inflammation du cerveau), une méningite (inflammation des méninges, enveloppes du cerveau) ou un traumatisme crânien.
L'insuffisance hypophysaire correspond à un déficit de production de l'une ou plusieurs hormones sécrétées par l'hypophyse. Lorsque l'antéhypophyse (partie antérieure de l'hypophyse) est détruite par une tumeur, l'insuffisance antéhypophysaire hormonale qui en résulte est massive.
L'hypothalamus est le centre de contrôle de fonctions telles que la faim, le dynamisme, le stress ou l'éveil. Il contrôle aussi la sécrétion de différentes hormones en interagissant avec l'hypophyse.
Analyses biochimiques sanguines
Elle permet d'évaluer la qualité de fonctionnement de certains organes et aussi de détecter des anomalies. Le médecin mesure le taux de certaines hormones dans le sang s'il y a des signes ou des symptômes d'une tumeur de l'hypophyse.
L'IRM, l'Imagerie par Résonance Magnétique
L'IRM est l'examen de référence pour étudier la région hypophysaire. Elle peut également être utilisée pour explorer les surrénales.
L'IRM hypophysaire est indiquée quand il existe un soupçon de présence d'adénome hypophysaire. Il s'agit d'une tumeur bénigne placée au niveau de l'hypophyse qui, si elle grossit, peut engendrer des symptômes variables.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Faut-il être à jeun pour faire un bilan hormonal ? La plupart des examens sont effectués par prise de sang, à jeun le matin. Le médecin peut également préciser d'effectuer les analyses à un certain moment du cycle : au début des règles ou en deuxième partie de cycle par exemple.
S'offrir des massages régulièrement. En plus de l'effet anti-stress, un massage va favoriser les échanges entre les tissus et drainer les toxines qui "encrassent” l'organisme. Ils sont très intéressants s'il y a un excès d'œstrogènes, comme ça peut arriver avec certaines pilules. De bonnes nuits de sommeil.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
Les hormones du stress sont les catécholamines que sont l'adrénaline, la noradrénaline et la dopamine. Le cortisol est également considéré comme une hormone de stress. Les états d'anxiété peuvent donc très bien être d'origine hormonale. Les crises de panique peuvent également être dues à des hormones.