1 – La nuit, lorsque vous êtes couché(e), votre portable est-il allumé et posé sur votre table de nuit ou à côté de votre oreiller ? 2 – Au moment des repas, posez-vous votre smartphone sur la table ou à côté de vous ? 3 – Lorsque votre téléphone sonne, bipe ou vibre, accourez-vous pour regarder ?
Les manifestations caractéristiques de l'addiction et de la dépendance au téléphone sont : une utilisation incessante du téléphone, dans la rue, chez les commerçants, dans les transports, pendant les courses et parfois même chez un médecin.
Commencez alors par instaurer des moments dans la journée où vous laissez votre téléphone de côté. Cela peut être le matin au réveil, le soir en rentrant chez vous ou pendant la pause déjeuner. Cela vous permettra d'être plus présent lors de vos moments en famille.
Qu'est-ce que la nomophobie, l'addiction au téléphone portable ? Derrière ce drôle de nom, se cache une névrose pourtant très sérieuse ! Cette contraction de "no mobile phobia" désigne la peur d'être sans smartphone.
Vous êtes "nomophodes". Contraction de "no mobile phobia", la "nomophobie", touche principalement les accros aux réseaux sociaux qui ne supportent pas d'être déconnectés.
En effet, le téléphone mobile a déjà séduit près de 20% de la population française mais, au grand dam des scientifiques et des constructeurs, pourrait être dangereux pour la santé. Migraine, perte de mémoire, fatigue, dépression, voire cancer et apparition précoce de la maladie d'Alzheimer...
"L'addiction aux écrans professionnels est reliée elle au phénomène du workaholism, l'envahissement par le travail.
En pratique, cela se fait en nommant à l'enfant le temps pendant lequel il va utiliser l'écran et en renommant ce temps lorsque l'enfant est invité à arrêter l'écran. En nommant le temps pendant lequel l'enfant utilisera un écran en amont, cela l'aide à attendre le bon moment.
Se dit de quelqu'un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir.
Le test IAT (Internet Addiction Test) est composé de 20 items qui permettent de mesurer le niveau d'addiction à internet d'une personne. Il est le seul le test validé et fiable connu à ce jour pour coter cette dépendance.
3 à 6 ans : 20 min. 6 à 8 ans : 30 min. 8 à 10 ans : 45 min. après 10 ans : 1 h.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
Je vous conseille d'organiser un emploi du temps afin de ne pas tourner en rond et de programmer des sorties, des activités pour pas céder à la tentation des écrans. Commencer petit à petit si vous avez envie de tenter l'expérience, genre de 8h à 20h sans téléphone ou sans écran.
la solitude qui est souvent mentionnée comme un facteur de vulnérabilité majeur face aux écrans de même que les périodes de rupture (chômage, deuil, divorce…) ; le manque d'estime de soi : la plupart des personnes ayant un usage problématique des écrans souffrent d'une image de soi défaillante.
Faites-lui porter une montre pour éviter qu'il regarde constamment l'heure sur son téléphone… et équipez sa chambre d'un réveil analogique : pas d'excuse pour garder son portable la nuit ! Encouragez-le à faire du sport, proposez autant que possible des activités en famille et/ou avec ses amis loin des écrans.
ne pas s'exposer aux écrans le soir au lit : la mélatonine se sécrète dans l'obscurité. laisser de côté smartphones, tablettes, ordinateurs... 1h30 avant l'heure du coucher. attendre le lendemain matin pour lire, sms, mails et actualités.
Troubles de la vue
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Le smartphone vous empêche en même temps de dormir
Dans tous les cas de figure, l'utilisation du smartphone retarde l'heure de dormir pour de nombreux utilisateurs. Par ailleurs, les lumières bleues des écrans ont là encore des conséquences sur le sommeil. Elles fatiguent mais excitent en même temps le système nerveux.
Cette prodigalité ne sert pas la qualité de la communication qui demande du temps, de l'attention et du contact personnels. Le portable peut minimiser l'attention portée à l'autre et à son propre environnement.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.