Généralement, selon les secteurs, un à deux ramonages sont obligatoires par an pour les appareils brûlant du bois, du fioul ou du charbon. Le premier est conseillé en début de saison de chauffe et le second au cours de celle-ci. Les appareils au gaz peuvent se contenter d'un ramonage annuel.
Aucun impératif n'étant fixé, l'idéal est d'effectuer le premier ramonage avant la période de chauffe et le second durant celle-ci. Sachant que le printemps est une saison plus calme pour les ramoneurs, vous pouvez en profiter pour faire appel à eux sans risquer d'avoir à attendre trop longtemps.
Sachez que vous avez tout à fait le droit de ramoner vous-même votre cheminée. Il est possible d'acheter des kits dans le commerce, comprenant une brosse et une canne. Il existe également le système de bûche de ramonage à faire brûler dans la cheminée : attention, ce système ne remplace pas un ramonage total.
En règle générale, ce sont les occupants de la maison qui prennent en charge les frais relatifs au ramonage. Ainsi, dans le cas d'une maison louée, le locataire est contraint de payer les services du ramoneur. Le rôle du propriétaire de la maison est de vérifier l'exécution des travaux.
Idéalement, avant le début de la saison de combustion au printemps, en été ou au début de l'automne, c'est le moment idéal pour faire inspecter et / ou nettoyer votre cheminée. Avant de penser à faire un feu ou à démarrer votre fournaise parce que le temps a changé, c'est le moment d'appeler votre ramoneur.
La bûche de ramonage atteint sa pleine efficacité lorsque le conduit à nettoyer est chaud. En effet, les éléments catalytiques à base de sel métallique ne se dégageront que lorsque la bûche sera à l'état de braise.
Pour réaliser un ramonage maison, vous avez la possibilité d'utiliser un kit de ramonage – qui comprend notamment une brosse hérisson qui décolle la suie et le goudron des parois du conduit – ou d'utiliser une bûche de ramonage qui agit par nettoyage chimique.
Le ramonage des cheminées obligatoire une à deux fois par an. Procéder au ramonage de tous vos conduits de cheminée, de poêle ou de chaudière est une obligation légale. L'intervention doit se concrétiser par un Certificat de ramonage rempli par un professionnel qualifié.
Elle varie toutefois en fonction de la taille de l'installation. Le ramonage régulier d'une cheminée permet principalement de prévenir les risques d'intoxication au monoxyde de carbone ou d'incendie du conduit de cheminée. Le monoxyde de carbone est un gaz qui peut être mortel.
En cas de défaut de ramonage, ces résidus, présents en quantité importante, aggravent la propagation de l'incendie. Le principal risque est donc l'éclosion d'un feu, puis sa propagation à l'extérieur du conduit. Le second risque encouru est l'intoxication par des gaz, et notamment le monoxyde de carbone (CO).
Le certificat doit obligatoirement être fait par un professionnel qualifié. Conservez ce certificat, il peut vous être demandé par votre assurance. Ne pas faire de ramonage est une infraction. Elle est sanctionnée par une contravention de troisième catégorie.
Passez au nettoyage proprement dit : avec une brosse dure trempée dans un mélange eau chaude / détergent (ou, plus écolo, vinaigre blanc coupé à l'eau), frottez, frottez, frottez… Autre solution : du bicarbonate de soude. Rincez à l'eau claire afin qu'il n'y ait pas de résidus de produits, et essuyez.
Cela consiste à enlever par martellement le goudron durci à l'aide de masselottes rotatives. Les bistres et les suies apparaissent dans des conduits non isolés dans lesquelles les fumées chaudes se refroidissent avant d'être évacuées, ce qui provoque de la condensation.
Fréquence obligatoire
Lorsque les appareils raccordés sont alimentés en gaz, les conduits spéciaux gaz, les conduits de V.M.C. gaz et les conduits tubés pourront n'être ramonés qu'une fois par an.
Le ramonage de l'intérieur du conduit du poêle à bois se fait donc par sa sortie. Le professionnel monte sur le toit et utilise un hérisson. Par des mouvements de va-et-vient avec le hérisson, il fait tomber le bistre et la suie dans le foyer du poêle à bois.
Le ramonage
Comme pour tous les appareils de chauffage au bois, qu'il s'agisse d'une cheminée, d'un insert ou d'un poêle à bûches, il faut effectuer deux ramonages par an, l'un en dehors de la période de chauffe (de préférence avant le démarrage) et un autre pendant.
L'entretien annuel et le ramonage sont à la charge de l'utilisateur du poêle, c'est-à-dire : – Au propriétaire si vous habitez le logement, que ce soit votre résidence principale ou secondaire. – Au locataire si le bien est loué. Ce dernier effectuera le ramonage à sa charge.
Pour enlever les dépôts de bistre d'un conduit de cheminée, il existe 2 solutions, que l'on va choisir en fonction de l'importance des dépôts : Si le dépôt de bistre est peu important : on peut utiliser une poudre chimique spéciale débistrage. Cette poudre va ramollir un peu le bistre, le rendant friable et cassant.
S'il persistait des traces de suie incrustées ou anciennes, ajoutez 10 cl d'ammoniaque ou de substitut d'ammoniaque par litre à votre mélange eau-savon noir, puis enduisez-en vos pierres à l'aide d'un gros pinceau. Laissez agir plusieurs heures puis servez-vous d'une pierre ponce pour finir le nettoyage des taches.
Plusieurs problèmes peuvent être la cause du dépôt de goudron dans le conduit de cheminée : la qualité du bois : trop humide par exemple. la qualité du tirage, qui dépend du diamètre et du type de conduit. l'amenée d'air insuffisante.
Le débistrage permet l'intervention d'une machine électrique à rotation qui, elle, aura la force et la puissance nécessaires pour décoller le bistre. Généralement, il est recommandé de faire un débistrage tous les 5 ans afin d'éviter la formation de bistre de façon trop important et de s'exposer à un éventuel danger.
Conduit de poêle à bois qui coule
Le bois en se consumant produit des vapeurs et des gaz. Lorsque le conduit est mal isolé et trop large, ou même relativement haut, il se produit un effet de condensation : les gaz et la vapeur se liquéfient et traversent ainsi la maçonnerie.