La conscience est le jugement pratique par lequel le sujet distingue
Lorsque quelque chose résiste à l'individu et qu'il la juge avec son âme d'enfant, il cherche "tout naturellement" un coupable, même un objet. Tout ce qui correspond à son désir ou plaisir est "bien" et tout ce qui lui fait obstacle est "mal".
Opposé au Bien, le Mal désigne tout ce qui blesse l'individu et fait obstacle au bonheur.
le mal et le bien
Le mal est à comprendre, le bien est évident La notion de « bien » est inclut à la racine même de l'humanité. Elle est le pilier central de notre évolution. C'est pourquoi, nous allons nous pencher en priorité sur la notion de « mal ». Le « mal » pris au sens moral et universel du terme*.
- Anatole France. Le mal est nécessaire. S'il n'existait pas, le bien n'existerait pas non plus. Le mal est l'unique raison d'être du bien.
A titre de corollaires, nous retiendrons les définitions kantiennes : le mal absolu est «celui qu'une sagesse ne peut permettre ou désirer ni comme fin, ni comme moyen », tandis que le mal «conditionnel» «ne peut jamais être une fin, mais..., comme moyen, peut se concilier avec une volonté sage (4) ».
1. Ce qui est contraire au bon, à la vertu ; ce qui est condamné par la morale (seulement singulier, avec article défini) : Faire le mal pour le mal. 2. Ce qui est susceptible de nuire, de faire souffrir, ce qui n'est pas adapté : Le mal est fait.
Le bien est plus intéressant que le mal parce qu'il est plus difficile.
La notion de bien est la notion centrale de la philosophie morale depuis l'Antiquité jusqu'à la fin du xviii e siècle. En effet, le concept de bien a été traditionnellement attaché aux concepts de bonheur, de bon état de choses à réaliser par tous les moyens, de bonnes conséquences à promouvoir ou de vie bonne.
C'est à ce titre que le mal qui, en tant qu'idée, fait peur (notamment par la peur des représailles), « bloque » le déploiement de notre volonté de puissance – ou vie, qui se doit d'être aimée par notre action forte. Le seul mal que l'on pourrait dire réel est la souffrance.
L'idée de mal est associée à tous les événements accidentels ou non, aux comportements ou aux états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et qui sont sources de souffrances morales ou physiques.
C'est le mal que l'homme subit, et non commet : autrement dit le malheur. Le mal que l'homme fait est le mal moral. Le mal moral peut se se réduire, de manière universelle, à la violence et au mensonge.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
À chaque fois, le bien est l'objet d'un mouvement, d'une orientation, d'une visée. Les ressources psychologiques qui permettent une telle orientation vers le bien sont essentielles en l'homme. Elles correspondent à la catégorie entière des états mentaux qu'on désigne sous le nom de désirs, volitions, émotions.
L'homme moral, c'est-à-dire celui qui se veut moral, qui a choisi de vivre moralement, n'est plus immergé dans la pure particularité de ses désirs individuels, il est entré, librement, dans le monde de l'universalité.
Un bien est une chose utilisable pour combler un besoin fondamental ou un désir. Entendu le plus souvent comme étant une chose concrète et physiquement tangible, il se différencie du service qui par opposition est dit « intangible ».
Kant distingue « agir par devoir » et « agir conformément au devoir » : dans le premier cas, on agit avec vertu, moralement, dans le second, on agit comme quelqu'un de moral, mais cela ne prouve pas que l'on est moral ou vertueux.
De ce point de vue, est autorisé à me dire « tu dois » le supérieur hiérarchique. Mais ce tu dois est relatif, et ceci d'un double point de vue : relatif à ma fonction, tout d'abord. Or, ayant tous des fonctions différentes, les devoirs de l'un ne sont pas ceux de l'autre.
Le mal revient toujours un jour ou l'autre à celui qui l'a fait. Citations et proverbes.
Mais ce sont les moralistes français, en particulier La Rochefoucauld et Vauvenargues — on parle alors d'« aphoristes » — qui consacrent l'aphorisme et en font même un genre littéraire.
Le centre anti douleur est un établissement médical où sont reçus les patients souffrants de douleur chronique. Ces établissements ont pour objectif d'évaluer et de mettre en place des traitements antalgiques spécialisés et d'autres protocoles pour diminuer la douleur ressentie par le patient.
La personne sadique prend plaisir aux souffrances physiques et psychologiques des êtres vivants, animaux et humains. Il aime tenir les autres sous son emprise et restreindre leur autonomie, cela par la terreur, l'intimidation, l'interdiction.